Le journal d'une belle femme.
Le rendez-vous était prévu à 12 h 30. Elle est arrivée devant la maison à 12 h 15, elle a attendu, un peu... puis a fini par téléphoner à son amant avant 12 h 25... Elle n'y tenait plus... Ils en parlaient depuis le dimanche précédent, elle s'est endormie 5 fois en imaginant, réveillée 5 fois mouillée, excitée d'en avoir trop rêvé, obligée de se soulager seule, silencieuse...
"Bonjour Catherine" a-t-il dit en décrochant... "Viens, JE t'attends" Menteur... Je sais bien que tu n'es pas seul... Elle démarre la voiture, passe le portail, entre dans le garage et actionne la télécommande pour fermer le portail derrière elle... Son coeur bat la chamade... Elle a un sourire tendu... Un noeud dans l'estomac... Une boule chaude dans le ventre. Elle longe le couloir, traverse la cave, ferme les portes, éteint les lumières, gravit les marches. Au niveau du hall, elle s'arrête, sourit, soupire, frémit et hésite sur la direction à prendre... Elle l'entend marcher... Il arrive derrière elle... Sourires, baisers, regards, caresses... Elle sent que ses mains tremblent... Il la traîne dans la cuisine, ils parlent peu... elle pose son sac, son blouson ; elle n'est pas surprise par l'homme qui se met à genoux devant elle, soulève sa jupe, écarte son string, lui lèche le sexe en guise de bonjour... Elle le laisse faire... elle le laisse toujours faire tout ce qu'il veut... tout... elle se sent totalement à lui, toute indécence lui est égale, toute violence aussi... aucun acte entre eux ne lui semble impossible. Il se redresse et sans plus aucun sourire l'entraîne vers l'escalier qui accède aux chambres. La première pièce est pour elle... Un genre de boudoir, pour la préparer. En passant, elle a vu que la porte de leur chambre est fermée. Ses yeux encore libres font le tour de la pièce : 2 lits séparés par un guéridon sur lequel est posé un seau à champagne garni et... trois coupes. Une fenêtre donne sur le jardin. Des tableaux au mur vite oubliés lorsqu'elle aperçoit sur la commode deux foulards, une cravache, un sex toy... ainsi qu'un collier et une laisse... "Ah ! Quand même..." Elle tremble... Confusément, elle sent son sexe devenir humide, son ventre devenir chaud, ses yeux qui picotent... Le feu dans son ventre explose. Va-t-elle pouvoir ? Quel combat se livrent le désir et la peur... ! Il n'en a cure, il la déshabille... le gilet, le fin tshirt, elle porte un soutien-gorge pigeonnant qui fait ressortir sa poitrine généreuse. La jupe de bohémienne est otée... Elle est en bottes, sous-vêtements sexy, une parure violette... Elle est offerte. Il la caresse, écarte ses dentelles pour mordiller ses tétons, lècher ses lèvres ruisselantes de désir. Ensuite, il lui pose le collier de chienne dans la main. "Mets-le."
"Tu exagères..." Mais... elle le met... Elle sent une vague inonder son sexe... Collier, laisse, coupe de champagne, foulard qui lui bande les yeux... Il la guide d'un coup de laisse. Ils sortent
de la petite pièce pour pénétrer dans leur chambre...
A l'entrée, elle résiste un peu... En réalité, elle a peur. Elle a honte, elle se sent humiliée, attachée et menée comme une chienne, vêtue comme une pute. Le projet d'être baisée par un inconnu,
d'être offerte à lui dans cet accoutrement... Un bruit feutré, une présence inconnue, un tapis au sol qui n'était pas là les autres fois... Elle laisse échapper un petit rire nerveux qui
ressemble à une plainte.
"Alors, tu la trouves belle ?"
"Un fantasme"
Elle baisse la tête, non, la relève...
Enfin la deuxième queue remplace les doigts... Soupir de satisfaction, elle s'étouffe avec le gland durci enfoncé loin dans sa bouche. Elle arrête de bouger... Les coups de queue la pilonnent
devant et derrière, bouche et chatte, baisée...
Des mots obscènes survolent son dos, des claques stimulent ses fesses, des mains tiennent fermement sa tête...
Baisée, indécente, excitée, sans complexe, sans retenue... Et c'est bon... La sensation lui semble incroyable...Elle tente de s'imaginer dans cette humiliante posture... Ca n'a aucune
importance... Elle s'éclate !
Les deux hommes arrêtent leurs jeux, la retourne, lui écartent les bras, les jambes... Jeux de langues, jeux de bouches, jeux avec les seins, jeux avec la chatte. Le foulard est enlevé... Les
yeux de son amant plongent dans les siens. Sourires.
Des doigts s'enfoncent en elle, chatte, cul et même bouche...Elle a l'impression d'avoir trois sexes, trois parties d'elle, très sensibles qui s'ouvrent pour laisser passer tout ce qui veut y
rentrer...
La langue sur son clitoris la rend folle, elle est cambrée, ruisselante, son sexe se contracte, le plaisir est immense... Augmenté par la douleur qui irradie de son téton mordillé...
Son excitation atteint son paroxisme... Elle suce à nouveau avec avidité cette belle queue durci qu'elle aime tant. La langue déclenche des vagues dans son sexe, ses gémissements deviennent
rauques. Elle est tendue....
Lorsque les doigts et la langue la lâchent, c'est un sexe qui pénètre sa chatte. L'homme est à bout... sa queue dure réclame délivrance, les reins douloureux il la prend sans ménagement, entame
des vas-et-viens de plus en plus secs, rapides... Il la fixe des yeux, la regarde sucer avec application mon maître. La vision de cette bouche gourmande déclenche sa jouissance...
La femme se retourne totalement vers la bite qu'elle n'a pas lâchée... Les mains de l'homme attrapent les cheveux bruns, son sexe d'homme lui viole la bouche... Elle sait qu'il va jouir au fond
de sa gorge, elle est prête, elle l'attend... Lorsqu'elle le sent jouir, elle passe une de ses mains derrière les fesses de l'homme pour appuyer son corps contre ses lèvres, pour enfoncer au
maximum la queue dans la bouche, pour sentir son sperme couler dans sa gorge. Elle le boit, l'avale, sans lâcher la queue, son regard de femme planté dans ses yeux d'homme.
Ils se laissent tomber tous les trois sur le lit, en riant, miment des présentations plus officielles, boivent une coupe de champagne, se frôlent, se regardent... Des mains se remettent à danser
sur des corps... Gémissements...
On connaît la suite...
Mar 6 avr 2010
1 commentaire
je les comprens les bien heureux...
erick - le 06/04/2010 à 19h39