Samedi 24 avril 6 24 /04 /Avr 23:11

bf stele ecartelée 015

Depuis 6 mois, J’ai pris l’habitude de retrouver la ‘’belle femme’’ pour des après-midi coquins. Les barrières ont été posées au début de notre relation :
‘’Nous sommes tous les 2 en couple donc  nous ne risquons rien ".
Au fur et a mesure que l’attirance devenait plus forte je me répétait :

‘’On ne risque rien’’ pour me rassurer.
Mais je sens bien que je suis en danger… en danger d’attirance violente. Ce que la belle femme m’a offert aujourd’hui va me marquer longtemps.

Je commence à sonder l’attirance de mon amante pour la douleur. Toutes les tentatives d’explications de son plaisir si particulier n’ont pas été réellement convaincantes.

-‘’Je veux être à toi,’’ –‘’ je veux que tu me possèdes’’, -‘’ je veux que tu me prennes’’….Ah oui ? Aujourd’hui je décide de franchir une étape dans mon désir de la posséder plus encore.

Ma belle femme arrivera à 12h 30. Quelques fessées lui ont fait passer l’envie d’être en retard.

12 heures : Je m’assure que le champagne est frais et les flûtes glacées.
 Ce matin, j’ai acheté 2 sangles d’épaisseur appropriée. Dans la chambre, je coince les sangles sur le haut des portes des placards.
Au passage je sors le sac à malice. Foulards en soie, plug, toys  sont étalés sur le lit.
Je prends la cravache qu’elle a apportée la semaine dernière. Je la contemple. Interrogations. Je la fais tomber délicatement sur ma main pour évaluer la douleur. Evidement il faut claquer un peu plus. J’essaie de nouveau avec un peu plus de nervosité. Mieux ! Je claque un peu plus fort sur ma cuisse. Quand même. Evidemment cela peut faire très mal. En attendant cela doit provoquer une peur terrible.
Je peux maintenant évaluer la douleur mordante que peut procurer un coup bien placé.
 Je la manipule malgré tout sans gène. Je la fais siffler en fouettant devant moi. J’examine la poignée de l’objet, de l’épaisseur d’un doigt…Evalue la petite languette à l’extrémité. Je me suis approprié l’objet…La peur sera dans son camp.

12h30 : Dans le jardin, le bruit de la décapotable annonce l’arrivée de la belle femme. J’ai compris que mes fessées pour 1 minute de retard ne l’effrayent plus réellement et je souris en cherchant une excuse pour la punir, la posséder…Bof !  je pense à l’adage un brin macho :

"Bats ta femme tous les jours, si tu ne sais pas pourquoi elle le sait "’ Y a-t-il un sens caché ? Re-sourire de serpent.

En bas, bruit de pas dans la cuisine. Eternel sourire. Tenue féminine au possible. Toujours ses bottes qui lui donnent 5 cm de plus. Je me sens toujours un peu petit quand je la prend dans mes bras. Nous en avons parlé. Nous avons appris à dominer notre différence de taille. Adolescente elle a souffert de sa grande taille. Aujourd’hui elle sait gérer l’allure  que cela lui procure. Tout est proportionné : ses épaules façonnées par la natation. Sa poitrine généreuse, sa taille fine et ses hanches tellement féminines. Je sais que quand je la baise tout devient petit chez elle. Elle a l’art de se mettre en boule.

Apres avoir discuté 5 minutes, je la prends par la main et elle comprend que j’ai envie de passer aux choses sérieuses…

DESHABILLEE

Dans la chambre elle découvre les foulards sur le lit et continue à sourire…C’est quelque chose qui m’a toujours épaté chez la belle femme : sa capacité à sourire en toutes circonstances…Elle comprend qu’elle va souffrir et elle continue à sourire de toutes ses dents. Cela ne va pas durer : elle doit avoir peur et elle va trembler…

Doucement je prends ses poignets et les noue chacun avec un foulard. Elle me regarde faire. Je scrute son visage pour voir quand va disparaître son sourire. Je dois l’embrasser. Elle sent bon et je boit une bouffée de son odeur. Je sais qu’elle n’a pas encore vu les sangles qui dépassent en haut des portes des placards.

Avec beaucoup de délicatesse je l’invite à se lever…Son tricot et son soutien-gorge volent au fond de la chambre….Je continue d’embrasser sa poitrine et je ne peux m’empêcher de mordiller ses tétons qui pointent. Elle n’a pas de chance. Ses tétons sont durs et de taille respectable. Donc ils sont faits pour attirer langue et dents.

-« La vie est injuste ».

Son sourire disparaît quand elle ferme les yeux. Je jubile. Elle ne sait pas encore ce qui l’attend vraiment….Moi je sais qu’elle est déjà devenue ma chose. Je trouve la fermeture minuscule de sa robe de bohémienne. Elle tombe à ses chevilles dévoilant ses longues jambes et ses bottes…J’ai l’impression qu’elle se sent forte et protégée avec ses bottes. Ses talons de 5 cm lui donnent encore plus d’allure.

« Mais c’est pas tes pieds que je vais baiser !!! »

ATTACHEE.

Je la guide alors vers la porte du placard. Elle ne rit plus. Elle a compris que ce ne serait pas une petite cartouche rapide sur le lit…Je monte ses bras par les liens qui entravent ses poignets. D’un geste rapide je fais passer la sangle installée en haut de la porte par les liens et je bloque le tout…

"C’est froid " me dit elle quand son dos touche la porte du placard.
Je la plaque fermement contre la porte. Au moins elle sait pourquoi elle a froid. Pour la première fois elle pousse un cri. Plaisir ? Peur ? Frisson ?
 Avec l’index sur ma bouche je lui fais comprendre que je ne veux plus l’entendre. Elle se tait et son sourire disparaît. Elle me regarde faire et je pense qu'elle doit, maintenant,  commencer à avoir peur. Enfin je noue un foulard sur ces yeux…Elle ne voit plus rien.

Je me recule pour la contempler. Les bras attachés et immobilisés au dessus de la tête. Ses cheveux lâchés sur ses épaules. Je regarde ses seins magnifiques et son ventre que j’aime lécher. Elle a toujours sa culotte. Violette. De la très belle lingerie. Mais ce n’est pas ce qui m’intéresse pour le moment. Mon regard descend le long de ses jambes. Longues, fines et musclées par des années de sports et de natation. Et je regarde ses bottes. Tant mieux, elle n’aura pas froid aux pieds.

Elle est complètement à ma merci et le sait…Je m’assieds sur le lit en face d’elle et la contemple en me touchant la queue….Je me lève et me rapproche d’elle. Je lui glisse dans l’oreille que c’est une salope et que je vais la traiter comme tel aujourd’hui. Je me frotte le gland contre sa cuisse. Je sais qu’elle aimerait toucher ma queue, me prendre dans la bouche, mais elle ne peut pas bouger. Elle ne peut que sentir mon excitation.

Je m’approche d’elle et je la lèche. Sous les bras d’abord. Elle gémit bien et cela me plait. Puis je lui lèche les seins et son ventre.
 Avec le pouce et l’index je prends le bord de sa culotte et le tire vers le haut. Le tissus pénètre dans sa chatte accentuant sa forme de fruit. Elle gémit fort. Il est temps d’aller vérifier son désir…J’écarte l’entre jambe de sa culotte et glisse un doigt dans sa chatte. C’est une inondation…Sa cyprine s’étire sur mon doigt en un long fil dont je touche la consistance. Elle sait qu’elle va se faire baiser et gémit maintenant sans retenue.

Sa culotte tombe sur ses bottes. Elle est complètement nue devant moi. Encore une fois je m’assois sur le lit et la contemple…

LA CRAVACHE :

Je prends la cravache. Doucement je la plaque contre son ventre et ses seins. Elle a reconnu l'objet et elle pousse un petit cri d’effroi. Un petit coup de cravache immédiat sur l’extérieur de la cuisse lui fait comprendre que je ne veux plus qu’elle crie. Avec la languette, je caresse ses seins et descends le stick entre ses cuisses. Jusqu’aux bottes. Je lui enlève le foulard. Elle découvre ce qu’elle avait deviné. Elle fixe la cravache que je lui présente devant les yeux. Elle va avoir mal. Elle va être marquée, elle le sait, elle le veut. Son regard ne lâche plus la cravache que je fais glisser sur sa peau de haut en bas et entre ses cuisses.

Que sait-elle de moi ? Je peux être un effroyable pervers qui va la martyriser jusqu’au sang ?
Nous nous regardons en nous défiant….Veut’elle me provoquer ? Elle veut me montrer qu’elle n’a pas peur et qu’elle est prête à tout pour s’offrir à moi. Elle me regarde fièrement et relève la tête avec un regard insolent…

«Je ne crierai pas, je subirai tout ce que tu veux m’infliger. Je suis à toi….’’

Je souris et lui glisse dans l’oreille :

«  Tourne toi belle salope »

La poitrine plaquée contre le bois de la porte, elle me présente maintenant ses fesses. Doucement, très doucement, je mets des petits coups de cravaches sur ses fesses qui marquent immédiatement. Des petits gémissement lui échappent et cela me fait immédiatement triquer. Les coups de cravache sont légers mais les marques sur les fesses m’excitent. Je dois contenir cette excitation. Elle a confiance en moi. Mais comment résister à ces flux de sang qui arrive dans mon bas ventre. Je ne sais pas si ce sont les cris ou la vue des traces sur ces fesses qui m’excitent à ce point mais ça m’excite sérieux…

Je m’empare de ses fesses que j’écarte doucement jusqu'à découvrir son anus et sa chatte. Je ne peux m’empêcher de m’agenouiller et la lécher. Elle continue à gémir et je m’aperçois qu’elle me tend son cul pour que je la lèche encore plus.

« Mais je ne suis pas là pour ça ! »

 Je mouille la poignée de la cravache et doucement j’en introduis 10 centimètres dans son cul.

« je te conseille de serrer les fesses car je te punirais si la cravache tombe au sol »

A chaque phrase sévère, elle gémit d’humiliation.  Je n’ai pas l’intention d’être mignon sur ce coup là. Deux claques bien placées lui laissent l’empreinte de ma main sur les fesses. El la cravache tombe sur la moquette.

«  Tu n’aurais pas dû »

Claques sur les fesses. Je ramasse la cravache et sans ménagement je la réintroduis dans son cul qui est de plus en plus mouillé. Elle ne pourra pas tenir mais je m’en fiche, elle serre les fesses. Je la matte se tortiller pour empêcher la cravache de lui échapper, pour la garder dans son anus. Elle est indécente et ça me plait. La cravache glisse de nouveau au sol. Re-claque sur les fesses.

Je veux l’humilier encore plus. Lui faire sentir qu’elle n’est plus qu’un sexe pour moi. Assis sur le lit je présente mon pied entre ses cuisses. Doucement je remonte jusqu'à son cul que je veux punir. Je présente mon orteil et lentement je la pénètre…Je vois mon gros orteil disparaître dans son cul. Elle crie et laisse échapper ses plaintes…

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ECARTELEE :

Je lui demande de se retourner. Elle me fait face de nouveau. J’attrape sa botte droite et je l’attache à la seconde sangle fixée sommet du placard. Je prends sa jambe sous le genou et je la monte à l'horizontale jusqu'à la hanche. Doucement je tends la sangle. La belle femme se retrouve écartelée. Elle est maintenant parfaitement indécente. Son sexe jusqu'à présent plus ou moins fermé est maintenant ouvert et offert à ma vue. Je distingue très bien tous les détails qui d’habitude disparaissent entre ses cuisses. La position obscène au possible lui gonfle la vulve et c’est une pêche bien mûre que j’ai devant les yeux. Ses petites lèvres qui dépassent de sa chatte sont dures et marrons. Son regard fier et insolent à maintenant disparu et ma belle femme ferme les yeux en gémissant. Je présente la cravache à l’entrée de sa chatte…Elle a pris une autre dimension.

Je m’approche de son oreille et je lui décrit ce que je vois avec des mots si crus qu’elle gémit en les entendant. Je lui décris sa chatte épilée, ouverte, ruisselante. Offerte à mes doigts qui la violent déjà. Le bout de la cravache lèche jusqu’au clito…Elle va finir par crier. Par demander une pause .Je me mets à genoux devant elle et je lèche sa chatte…J’aime vraiment cela…Sa consistance, son désir qui s’échappe, les cris qu’elle pousse quand ma langue perce son cul…

La belle femme jouit d’être possédée par mes coups de langue

Je la détache comme une poupée de chiffon et l’allonge sur le lit. Elle écarte ses jambes et je la pénètre pour jouir rapidement en elle. Les bras en croix, sa main serre la cravache.

Je l'embrasse tendrement et plaque sa tête contre mon torse

Par belle femme
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