Dimanche 4 septembre 7 04 /09 /Sep 11:16

17 mai 2011

NYC, l’hotel Sofitel, chambre 2806.

 Un homme sort de la douche ou il a passé 10 mn à se frictioner. Nu, il se regarde  dans le miroir de la salle de bain. Il roule les épaules et  sourit… Il sourit de travers en baissant le la tête.  Nanou aime quand il sourit comme cela.

-         Cela te donne un air sauvage.

Il se touche  le sexe encore humide et l’empoigne a pleine main. Il s’est parfumé avec un échantillon Hugo Boss. Il sent la chaleur du parfum sur son gland et commence à bander..

Je suis bien ….
Je bande comme un âne et j’ai toujours envie de baiser… C’est terrible…
Je suis encore bien foutu.  Les Françaises sont sensibles aux hommes qui sont bien foutus. Et ce sont les Françaises qui portent le candidat à l’Elysée….On peut leur raconter n’importe quoi : Elles s’en foutent… Elles veulent un homme bien foutu.

Et puis je n’ai plus besoin de rentrer le ventre… Encore un peu d’effort et on verra mes abdos…. A Sarcelles, je prendrai un coach…L’ancien gendarme qui  est à la police municipale…Il est stupide mais il patient et il est entouré de belles femmes… Il a monté son affaire de coaching et je le prendrai à l’Elysée…

François aurait dû prendre un coach…Il a bien maigri mais il fait mou….Les femmes n’aiment pas les mous… En 2012, Il faudra que je lui trouve un portefeuille…Il ne se contentera pas d’un ministère d’état… Il se prend au sérieux et cela ne lui va pas.  Si  je m’écoutais je le placerai à la culture. Il ferait du bon boulot avec Jack. Il le te le dériderai le mou. Et il ne fera pas de vagues…

Ils vont me faire suer…. C’est couru d’avance… il y a Emanuel qui va se rouler par terre pour  l’intérieur…Parce qu’Il a mis 10 caméras à Evry il se prend pour un spécialiste de la sécurité….Le pire c’est Mosco, il n’a que ça en tête… 2012 on va les tuer….J’ai rendez-vous avec lui demain et ils ne me lâcheront pas

J’ai une belle queue quand même…. Les femmes aiment les hommes qui ont des belles queues… Depuis que je me suis fait épiler à l’institut,  elle fait plus « en demande »…. On ne voit qu’elle…

Les femmes aiment les queues «  en demande « 

Nanou a raison … Cela me va bien l’épilation totale. Elle s’y connait en queue, ma Nanou….. Elle a souvent raison, Nanou…  Je devrais l’écouter quand elle me demande de laisser tomber à l’Elysée et les cons du parti…. C’est une idée fixe chez elle : Marrakech, Marrakech, ….. Elle pourra y aller à Marrakech et moi je resterai à Paris…. Je la rejoindrai une fois par mois pour les parties

 

Il va falloir changer le mobilier de l’Elysée… Quelques dorures pour les femmes et je vire tous les reste… Les femmes aiment les dorures… Faudra faire attention….  Les grenouilles  du parti seront toujours à mes basques… j’Irai à la Lanterne.
Je vais etre obligé de mettre la grosse à Matignon mais ce n’est pas elle qui ira se faire démonter la boite à la Lanterne…. Ce n’est pas le genre de la grosse Martine…

C’est sur ce sera moins discret qu’à  Washington…

Ahhhh, Va falloir que je rappelle Sylvio pour  la stagiaire Italienne du FMI… Elle était partante pour une fessée… Un cul à fessée… Elle était toujours à se coller contre moi après les réunions…. Pour me montrer qu’elle ne porte jamais de   culotte … Je sais reconnaitre une femme à fessée …
 Je la ferai venir à Paris  mais je n’ai pas son mail …. Toute des salopes.

Sauf Nanou…. Enfin Nanou,  c’est une salope aussi, mais la classe au-dessus. Ce qui m’énerve avec elle c’est son côté mère juive….

-Et protege toi…. Et Rentre ton ventre…et ne te fait pas embarquer per cette pouffe…

Putain je bande comme un âne en pensant à cette brune que m’a envoyé Silvio…
J’aime me taper le bâton contre le lavabo… J’ai l’impression que je pourrai casser le lavabo avec ma queue….

Et voilà…. je suis encore en train de me branler…
C’est terrible cela… A mon âge je me branle encore comme un  ado… Depuis que j’ai 14 ans je me suis branlé tous les jours.. C’a en fait des litres de spermes dans les lavabos.
Je te lui mettrai ma queue dans la bouche à cette salope d’Italienne du FMI… Je suis sûr que c’est une ex à Sylvio. Et il me l’a envoyé en mission au FMI. Le vieux beau gominé  tourne au Cianis,». Elle va voir la différence avec moi

Finalement je suis heureux de quitter NY….Paris me manque… Au Parti, elles m’attendent toutes la culotte dans la bouche.
Surtout la Royal… Elle a tout compris celle-là…Avec son « ordre juste », elle nous a donné une belle leçon aux dernières primaires… Mais cette fois je vais la mettre à genoux… Elle est prête à sucer n’importe qui pour arriver à l’Elysée. Si elle nous gère les Grecques et les Ritals comme les cantines des 2 Sevres…. Mais je ne passerai pas après André Hadjez…. Il est de la famille mais c’est un con….. Pour se farcir une dinde pareil il faut être super con…

Ahhh Il faut que j’appelle Vanessa et Marine avant de quitter NY… Si elles voyaient leur  père en ce moment elles seraient fières  de la queue  de leur père..

Fuck… Il faut que je me branle ou que je fasse monter une suceuse.  La grande black du service de  l’étage… Pour 200 bucks , elle me ferra une pipe comme elles en ont le secret… J’aime me faire sucer par les blacks parce qu’elles avalent en silence.  J’aime les pénétrer jusqu’aux amygdales… Cela me fait partir quand elles font des bulles de bave… Elles ont des spasmes mais  elles ne vomissent pas… Et j’aime me vider dans leur gorge
La seule fois où j’aie mis ma queue au fond de la gorge de Nanou, elle a vomi sur le tapis au milieu des invités…  Nanou c’est pas une bonne suceuse…

Je vais mettre les billets sur le lit et ouvrir la porte du couloir….Si la grande black est dans le couloir je l’a fait venir et elle me finit…..

200 bucks, ce n’est pas cher pour une bonne pipe. Ce n’est pas comme en Grèce…. 2 pipes nous ont couté 100 milliard d’€uros……. Il va falloir que je rappelle Papandréou pour qu’il me fasse venir les 2 brunes  qui m’ont sucé à Athènes… Elles y ont mis du cœur.  Ils sont cools ces grecs…Dommage qu’ils soient aussi cools avec nos Euro.

J’entends du bruit dans le couloir et j’en aie mare de ma branler. Je ne vais pas y arriver…. Si c’est la black je lui met la serviette sur la tête et je lui fourre le gosier…

-         Hi miss, come in… Don’t be afraid… Look at my beautiful big cock….
Two hundred bucks for you if you give me a blow job and swallow my cream…

-         I don’t swallow for two hundred… I don’t like it

-         Oh No matter!!! 3 hundred bucks…. Come on baby… You will be my queen…

Elle ne va pas me saouler la boniche…. 300 dols pour une pipe… Remarque je peux me payer cela :  je suis le roi du monde… Allez vient ! Ouvre ta grande bouche…

-Voila….Good girl… Voila…..

Elles savent sucer naturellement ces blackos… Et elles ne mettent jamais les dents… Elles ont toutes un canibal dans la famille mais la queue c’est sacré..

-Voila,,, salope… tu sens mes couilles contre ton menton… Fucking bitch, i like you beaving.…

Putain c’est bon. Il faut que lui attrape les nichons… Une femme il faut la tenir par le nichon ou par les cheveux…

-Blow, good blow, i am coming…. You must swallow…. Tu vas sentir mon sperme couler au fond de ta gorge sans passer par les amygdales…

Putain je viens… Mais elle ne va pas se retirer maintenant cette salope…
- Je jouiiiiiiiiiis……
C’est bon… Viens  salope,   Je vacille, ne te retire pas
-Come on darling, open your beautiful mouth… Swallow my cream… I will be the next French president…..

Punaise !!!  Elle m’a coupé le plaisir… Elle n’aura rien…. Pas un dollar… Ce n’est pas possible de se faire sucer par une conne…. Elles finissent toujours par te gâcher le plaisir…!!!!
 Mais qu’est ce qu’elle a  cette conne à gesticuler et à brailler comme cela…Elle ne va pas faire un scandale dans le couloir….

-         Fait la salle de bain et tais toi.  Je vais te les filer tes billets mais arrête  de brailler…

-         Bon tu veux sortir ? Vas y et ferme la porte derrière toi.  Salope….

-         Close the door please…

-         Tu reviendras chercher tes billets quand j’aurai quitter la chambre….

Ce soir je serais à Paris et je me ferai sucer par tout le parti socialiste…..

Allez !!!! Go Elle ne m’a pas calmé.
 Je m’habille… un coup de fil à ma puce et j’attrape le taxi qui arrive dans 15 minutes…..Et à moi les p’tites françaises….

Par Bfemme
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Mercredi 12 mai 3 12 /05 /Mai 10:00

 

bf ancien loup

Tout ne se réalise pas toujours comme prévu dans le monde merveilleux de Bfemme. Le rendez vous de vendredi dernier entre Perle et Erwan a été annulé. Impossible pour Perle qui ne pouvait décaler un rendez-vous professionnel. Seulement l’idée était lancée et bien évidemment, il fallait trouver un autre jour pour faire rencontrer ces deux-là.

Le mardi d’après semblait un bon jour.

Un seul bémol, mais de taille, Bfemme sera partie en vacances de l’autre coté de la Méditerranée.

Tant pis, d’un commun accord le rendez-vous aura bien lieu ce mardi sans Bfemme.

 

Erwan :

            Erwan m’appelle jeudi pour parler du rendez-vous. Je lui suggère l’idée de réserver une chambre au Relais. Nous nous retrouverons vers midi pour déjeuner ensemble. Perle arrivera vers 13h. Une minute avant qu’elle n'arrive Erwan devra s’échapper et nous attendre dans la chambre, en caleçon avec un loup et un nœud en ruban autour de la queue….Rires, délire.

 

Perle :

Dès le jeudi, au téléphone, je décris le projet que nous avons élaboré pour lui offrir son homme. Rires, délire. Un beau visage avec des yeux verts qui tuent, une chevelure de lionne lui donnent une beauté sauvage. J’aime son rire éclatant quand je lui décris la rencontre telle que nous l’avons planifiée. Quand même une rencontre où elle allait être baisée immédiatement dans une chambre d’hôtel par un homme qu’elle n’avait jamais vu et avec qui elle n’avait jamais échangé un seul mot. Perle est une femme surprenante, évidement la meilleure amie de Bfemme.

 

Les jours qui précèdent :

       Coups de fil, textos, mails, messages facebookiens montrent que la mayonnaise a pris dans les cerveaux réptiliens des 2 oiseaux. L’un passe son samedi à chercher un loup qui ira bien à son teint. L’autre compte les minutes qui la séparent du Mardi et me le fait savoir par des messages. Avec la belle femme nous nous tenons informés de la tension qui monte. Erwan m’avoue qu’il stresse à mort. C’est la première fois de sa vie qu’il se retrouve en position d’etre offert comme un homme objet, un simple toy. Il devra baiser une femme qu’il ne connaît pas et être performant, la faire grimper au rideau. J’ai confiance dans la bête. Erwan fêtera ses 55 ans cette année et a toujours aimé faire l’amour….
La belle femme s’est installée dans son hotel bamboula et nous continuons à nous échanger nos cachotteries sur Perle et Erwan en nous réjouissant de l’état de stress grandissant dans lequel nous les avons mis.

Le lundi, les textos de Perle s’enchaînent et je comprends que le temps lui semble long, très long.

 

Mardi 12h30 :

            Je suis en route vers l'auberge…Sonnerie du mobile.

- "C’est Erwan…Tu ne m’abandonnes pas…." Rires...

- "Je suis à 3 minutes de l’auberge. Mets-toi à table, j’arrive."

Erwan m’attend. Un sourire jusqu'aux oreilles. Embrassade. Heureux de nous retrouver une fois encore…Commande de 2 soupes au cresson, verrines de jeunes courgettes et eau gazeuse. Un champion doit surveiller ce qu’il mange..

 

Mardi 13 h 00 ...

Erwan fait un grand sourire en se levant.

"Il faut que je monte tout de suite" me dit-il en me faisant lire un texto qui vient de tomber sur son mobile :
"Je suis tout prés."

 

Mardi 13 h 05 ...

Toujours pas de Perle à l'horizon, je monte vérifier si  tout se déroule normalement pour Erwan. Il est déjà installé sur le lit en caleçon.

Je redescends et m’installe sur la petite terasse devant l’auberge en pouffant de rire.
Et je la vois arriver.

Sa chevelure cendrée n’est pas attachée par un bandeau comme je l'imaginais. Robe élegante et bottes, un sac en badoulière, Perle a de l’allure.
Elle s’assoit en face de moi. A la table à coté des Italiens parlent fort et la regardent.

Tic-tac-tic-tac... Les secondes sont comptées. Erwan attend en haut.

Bises, sourires complices. Nous parlons pendant 3 minutes de notre passion pour les raids africains.

Tic-tac-tic-tac...

Nous socialiserons une autre fois. Je fais disparaître mon sourire. Je change de voix  et doucement, je lui dis :

       - Passons aux choses sérieuses. Un homme t’attend là haut. Nous allons te l’offrir et dans 5 minutes il va te faire l’amour comme une bête. (J’évite ‘’baiser comme une chienne’’, je ne la connais vraiment que depuis 4 minutes)

Son visage  prend une couleur pourpre ; en souriant et je le lui fait remarquer.

     - "Je rougis facilement."

      - "Nous allons monter et je vais te déshabiller."

Elle sait maintenant ce qui l'attend dans les 10 prochaines minutes. Je remarque un leger tremblement deses mains. Elle est visiblement excitée. Je ne lui souris plus....

 

La montée des marches...

            L’escalier qui mène aux chambres est devant nous et je m’efface avec galanterie pour la laisser monter. Elle tourne son visage vers moi et souris. Je comprends qu’elle préfère que j’ouvre la voie. Même dérobade devant la porte entrebâillée de la chambre 9. Re-sourire et visage qui s'empourpre.
J'entre et la prend par la main. Elle est maintenant dans la cage et le loup est là.

Allongé sur le dos en caleçon noir, un loup vénitien sur son visage,. Erwan sourit et nous regarde. Perle se tourne vers moi en souriant pour chercher mon soutien.

Je lui enleve son blouson et le pose sur la chaise ; dans son dos, je lui prends les bras et la conduit comme une petite fille au pied du lit face à Erwan. Je lui glisse dans l’oreille :

- "Cet homme est à toi. Nous te l’offrons."

Je la conduis sur le côté du lit et guide sa main sur le ventre d’Erwan. Ses ongles parfaitement manucurés parcourent l’homme, du buste au caleçon.

Je  l'invite à soulever le caleçon pour découvrir sa bite. Erwan l'a entourée avec un noeud en ruban rouge.
Perle éclate de rire.

Ce sera la dernier fois qu'elle rira en ma présence.

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Elle se penche sur lui et ils s'embrassent. Un long baiser qui va durer. Je m’assieds derrière elle. Je commence a faire glisser ses bottes.
Soigneusement, je les range contre la chaise de la chambre. Comme un major d’homme zélé. Les animaux s’embrassent toujours. Les bras et les mains d’Erwan commencent à parcourir la Perle. La robe est maintenant sur les hanches découvrant les fesses rondes. Elle porte un magnifique porte-jarretelles et des bas noirs. Je caresse ses fesses et le haut de ses cuisses. J’entreprends de lui faire glisser la robe sur la tête. Je range de nouveau ce morceau de tissu soigneusement sur la chaise.
Les 2 futurs amants ne se sont pas lâché la bouche. De nouveau je reviens sur le bord du lit et entreprends de caresser le dos de Perle pour sentir sa peau. La main d’Erwan est maintenant dans son string et j’ai la réponse à la question que je me pose depuis un moment. Perle est épilée complètement. Erwan a déjà ses doigts au fond du sexe de Perle qui gémit en l'embrassant. Je ramasse le soutien-gorge qui a atterri  par terre et vais le ranger sur la chaise. Servir, toujours.

 

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Je reste un moment debout à regarder ces 2 animaux lâcher leurs hormones. Perle a enfourché Erwan qui toujours sur le dos enfile un préservatif. Je dois rester encore pour voir Perle s’empaler sur la bite de mon ami. Je me rapproche et je vois la main de Perle qui prend le sexe raide et se l’enfonce dans la chatte. Je suis derrière au pied du lit. Mon regard ne quitte pas  les fesses de Perle qui est maintenant empalée. Je regarde son cul et sa chatte distendue par la position.
Je lui mettrai bien un doigt dans le cul mais je ne la connais pas plus que cela finalement. Et puis je n’ai pas mandat pour participer…

 Soudain Perle se retourne et m’embrasse à pleine bouche. Je suis surpris par la fougue de son baiser. Perle m’aime bien visiblement. Mais je n’ai pas très envie de perturber cette belle rencontre. Je m’échappe de nouveau.

 

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Elle se retrouve sur le dos, la tête au bord du lit.  Erwan la prend alors en lui bloquant les jambes dans ses coudes. Je me rapproche du visage de Perle et plonge mes yeux dans ses yeux. Je passe ma main sur sa bouche ouverte qui cherche son souffle sous les coups de rein d’Erwan. Il a lâché la cavalerie et ne ménage pas ses efforts. Perle me suce le pouce avec avidité. Je lui maintien la bouche ouverte ; j’ouvre ma braguette et je lui pressente ma bite à sucer. Elle l’engloutit et je sens un plaisir à me faire sucer par cette femme que je connais depuis 20 minutes seulement.

Elle prend mon sexe dans la main droite. Je  guide son autre main vers la bite d’Erwan à genoux. Elle a maintenant une bite dans chaque main et je suis heureux  de la voir ainsi.

Mais je ne suis pas là pour la baiser. Pas en l’absence de Bfemme qui devrait être avec nous. Je range mon artillerie.
Je m’accroupis de nouveau et lui susurre des mots cochons à l’oreille.

- "Tu te fais empaler ! Tu aimes être embrochée ! Erwan est là pour te faire jouir."

Lui ne sourit plus. Il la baise consciencieusement.

 

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Les seins de Perle...

         Sa petite poitrine tressaute sous les coups de reins. Je pose mes mains sur ses seins. Je les comprime un peu pour évaluer leur fermeté. Des seins de gamine, fermes et ronds. Un coup de langue amical sur ses tétons durcis.

Erwan la fait mettre à 4 pattes le visage vers moi. Il la prend maintenant par derrière. Je me penche face à Perle et je la regarde gémir de plaisir. Je lui saisis les avant-bras que j’écarte jusqu'à ce que son visage touche les draps. Les bras en croix, son cul en l’air, Erwan la prend par les hanches et la pénètre comme une chienne. Elle pousse des cris hallucinants et je suis presque gêné. Je vois un sourire qui illumine le visage d’Erwan. Il est en train de jouir. Il me regarde presque désolé. Il tient sa queue dont le préservatif s'est rempli de sperme. Echange de sourires masculins et  complices.

Perle est repassée sur le dos et offre maintenant son sexe à son nouvel amant pour se faire lécher. La tête D’Erwan disparaît entre ses cuisses et de nouveau j’ai le visage de Perle en face de moi. Elle dodeline de la tête en gémissant de plus en plus fort. Je lui prend le visage, mes mains dans les cheveux. Ses mouvements de tête deviennent incontrôlables. Elle est en train de jouir dans mes mains. 3 longs cris, révulsion des yeux, un cri plus long. Je suis au spectacle de la voir possédée par sa jouissance. Je lui repose la tête sur le bord du lit. Erwan sort sa tête d’entre ses cuisses et me sourit, fier de lui.

Ma présence n’est plus indispensable. J’exprime mon souhait de les laisser faire connaissance.


Perle a repris son beau visage et un semblant de coiffure me dit :

- "Tu ne veux pas quelque chose ?"

- "Tirez une cartouche ?"

-"Non !" Rires. "Une coupe de champagne…."

Je refuse en souriant de ce lapsus révélant mon désir masculin et leur fait une signe de la main et sortant de la chambre 9.

Heureux, je descends les escaliers et salue au passage notre complice de la réception qui ne veux plus savoir qui est qui et qui fait quoi dans son auberge..

Je pense à la belle femme qui a loupé cette bulle.

 

Plus tard dans l’après midi (18h30)

Le téléphone sonne : Erwan

- "Mais quelle après midi, mais quel plaisir. Elle est en train de partir. Nous avons passé l’après midi à baiser. Mais à la 5 fois j’ai jeté l’éponge..."

De l’autre coté de la mer dans un hôtel neuf une belle femme rit aux éclats en m’entendant lui raconter tout ça….

Par Bfemme
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Dimanche 9 mai 7 09 /05 /Mai 04:47

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La belle femme s’est envolée.

Cela me laisse le temps pour repenser à l’attirance qui la pousse vers tant de ‘’premières ‘’.

Bien sur, tout est attirant chez la belle femme. Mais plus précisément et de haut en bas j’aime ses cheveux, sa bouche, ses seins, son ventre, son sexe,ses cuisses et ses pieds…

Suis-je fétichiste pour adorer la belle femme par tranche ? Je m’interroge quand même.

Lors d’une bulle dont nous avons le secret, j’ai acheté avec le champagne un rouleau de film alimentaire.

La belle femme est arrivée élégante et ponctuelle. Le retard n’est plus admissible depuis sa première fessée. Rires et champagne avant de monter dans la chambre.

Le plateau champagne est posé sur le lit à coté du rouleau de film. Je guette le regard de belle femme qui découvre le rouleau sur le lit.

Sourire ! Question :

- « C’est pour moi ce cadeau ? »

La belle femme sait sourire pour masquer une angoisse. Et j’essaie de deviner ce qu’elle pense à ce moment.

Sans un mot je la prends par les mains et je lui fais comprendre qu’aujourd’hui je vais la déshabiller. La chambre n’est jamais surchauffée et je m’amuse des frissons  qui la parcourent lorsque je fais glisser par terre ses fins vêtements et ses sous-vêtements. Elle a compris qu’elle ne devait plus parler. Je dois la laisser seule avec ses sensations et son angoisse.

Elle est maintenant debout devant le lit, nue. Mes mains glissent de ses épaules à ses hanches pour dessiner ses formes parfaitement féminines. Mes doigts effleurent son pubis et l’ouverture de son sexe qui apparaît maintenant en haut de ses cuisses.

Elle ne sourit plus et me regarde la caresser. C’est encore trop.

            Ses cheveux :

Je la fais pivoter et je suis maintenant dans son dos. Ses épaules devant moi attirent un baiser dans le cou. J’attrape ses cheveux à pleine main, tire sa tête en arrière et je mords son épaule. Fermement dans le muscle jusqu'à ce que j’entende un cri de surprise et un long feulement de plaisir. Je pense que mes morsures lui vont droit au cerveau de femelle et lui descendent directement dans le sexe. Je la serre très fort pour lui faire sentir ma force et mon désir.

Je saisis ses fesses que j’écarte doucement mais fermement. Son cul se tord et je vois distinctement la partie arrière de sa vulve. Ma main glisse dans sa fente et découvre le désir qui l’inonde déjà.

Je sais maintenant qu’elle est déjà à moi. Je pourrais la projeter à plat ventre sur le lit et la pénétrer sans préliminaire.

Je la retourne debout face à moi et m’empare du rouleau de film étirable.

En commençant par le bas, j’applique et entoure le film sur ses chevilles, ses mollets puis ses genoux. Je fais attention de chevaucher et plaquer le film pour une adhésion parfaite.

Toujours en tournant le rouleau autour de la belle femme, je remonte le long de ses cuisses et ses fesses. En arrivant devant son sexe je lui glisse un long coup de langue. Elle projette son pubis en avant pour accentuer la pression sur ma langue. Elle est ruisselante et son liquide féminin fait déjà des filets qui s’accrochent à ma langue.

Désolé petite chatte, aujourd’hui tu seras emballée.

Le film passe et enferme son pubis, ses fesses et son ventre.

Sous le film, la peau ne respire plus et je devine la transpiration qui l’humidifie déjà.

Très vite je fais tourner le rouleau autour de ses bras ballants faisant attention de laisser libre la main droite.

Elle l’agite pour montrer qu’elle n’est pas totalement captive.

Elle ne sourit plus depuis le début. Mais maintenant sa bouche s’est entrouverte pour laisser passer l’air en prévision de je ne sais quelle apnée.

Je continue à emballer la belle femme et maintenant j’entoure et plaque le film sur ses seins et ses épaules.

Je déchire le film et plaque la dernière couche sur son cou.

La belle femme est devant moi, debout, nue et totalement immobilisée.

Sous le film transparent je devine sa toison pubienne ou le peu que sa coquetterie a laissé.

Ses seins enfermés transpirent et le film se trouble. La tache marron de ses mamelons apparaît nettement. Je touche sa main qui reste notre seul point de contact.

Sa bouche :

Les yeux de belle femme fixe ma bite en érection et je la plaque sur sa cuisse. Je m’amuse à la frotter sur le film devant sa chatte. En tournant autour d’elle je la frotte contre son cul enfermé et aplati par le film. Je passe ma main dans ses cheveux. Sadiquement je glisse ma bite dans sa main et elle s’y accroche comme à une poignée. C’est le seul contact qu’elle peut avoir avec moi. Je l’empoigne à pleine main et je l’embrasse en la violant avec ma langue. Ce n’est que par  là qu’elle peut être pénétrée et je devine son désir de prendre ma bite dans la bouche. Elle reste la bouche ouverte.

Je la fais basculer sur le lit. Elle est parfaitement impuissante et sa bouche est toujours offerte.

Je me glisse à son coté et lentement j’approche ma bite de sa bouche. Elle l’engloutit complètement. Jusqu’aux couilles. Son nez cogne contre mon pubis. Je n’arrive pas à m’extraire et sens au bout de mon gland le fond de sa gorge. Enfin je sors ma bite et regarde la salive qui coule au coin de sa bouche. Ses yeux coulent un peu et elle n’a pas fermé sa bouche. De nouveau je lui pénètre la bouche et savoure son aspiration et les gargouillis obscènes. Elle aspire, elle suce, elle presse et sa tête va d’avant en arrière pour se faire pénétrer avec violence. Je suis incapable de maîtriser mon bassin qui donne des coups puissants comme si je pénétrais son sexe. Je retire encore mon sexe et me délecte de sa bouche qui est devenue un sexe.

Je bande comme un âne.

            Ses pieds :

Je la tourne sur le dos. Seuls dépassent du film sa main et ses pieds. Je ne peux m’empêcher de les caresser. J’aime masser et m’occuper de ses pieds. La belle femme est grande et ses pieds sont ….proportionnés. Comprendre qu’elle ne fait pas du 36. Parfaitement entretenus, la belle femme a évidement de beaux pieds. Serait-elle belle si elle avait des pieds moches ?

Puis je décide de reprendre mon jeu et d’explorer une autre partie de la belle femme que j’aime :

Ses seins :

Avec les dents, j’entreprends de déchirer le film au dessus de ses mamelons. Bien sûr, je fais attention de ne pas accrocher sa peau sensible avec mes dents. Je devine à certains cris que me dents ont mordu un peu trop fort. Je dégage enfin avec les doigts un trou suffisamment grand pour extraire les 2 seins du film plastique.

Elle est sur le dos, emballée comme un rouleau de printemps et ses seins pointent hors du film, comprimés mais libres. Je commence à les lécher doucement, fermement et sans limite. De haut en bas, les mamelons, autour des mamelons, de bas en haut. Le gauche, le droit. En les prenant à pleine main je comprends combien ils sont devenus sensibles. Sûrement la compression qui a libéré la sensualité vers la pointe des seins. La belle femme se balance de gauche à droite et se cambre pour m’offrir encore plus de seins et réclamer encore plus de langue.

Son ventre :

Je sais que la belle femme n’aime pas que je touche son nombril. C’est le seul orifice qui m’est interdit. J’entreprends donc avec mon doit perceur de déchirer le film étirable au niveau de son nombril. La belle femme a compris et oscille la tête de droite a gauche dans un signe désespéré de refus. Son ventre et son nombril sont maintenant libres. Je caresse son ventre si doux et mon doigt sadique tourne autour de son nombril. La belle femme commence à gémir. Elle sait qu’elle est impuissante. Elle se cambre, de haut en bas et de gauche à droite pour échapper à mon doigt ‘’pénétreur’’. Je lui plaque le dos contre le lit et je pénètre doucement son nombril. Elle crie, se cambre violement. Que son nombril est beau. Je crois que c’est le premier détail qui m’a plu chez la belle femme. Et elle le sait. Elle veut bien le montrer mais on n’a pas le droit de la violer par là. Je pousse le vice jusqu'à lui lécher le ventre et introduire ma langue dans son embouligue. Râle d’agonie. Sourire diabolique les yeux dans les yeux.

            Sa chatte :

Ma main continue de la caresser au travers du film. Elle est maintenant parfaitement soumise à mes désirs, incapable de la moindre fuite. 2 options : tortillage de droite à gauche ou de haut en bas.

Mon doigt perceur entreprend un trou au niveau de son pubis. Un trou de 20 centimètre ? Sa chatte est maintenant apparente et offerte. Je glisse ma main et découvre l’état dans lequel elle est. Elle ruisselle et son jus coule dans la raie du cul. Je glisse ma main entre son sexe jusqu'à sentir le film plaqué contre ses fesses. Mon pouce, mes doigts pénètrent son sexe, son cul aussi humide. Je déchire encore le trou et elle pousse son sexe contre ma main. C’est moi qui décide de ce qui doit être pénétré, violé, pincé. Elle crie. Je la regarde dans les yeux et je comprends que son orgasme est proche. Je descends ma bouche et donne 2 coups de langue contre son clito qui est maintenant parfaitement apparent.

- « Je jouis, je jouis, c’est bon c’est fort. »

Je savoure ma puissance et continue de la pénétrer avec mes doigts et pousse le plus possible.

Je retourne la belle femme sur le ventre et libère son cul en déchirant le filme jusqu’à mi-cuisse.

Je guide ma queue et la présente devant son cul. Elle se cambre et sans difficulté je l’encule. Elle ouvre ses fesses pour mieux m’absorber. Je la pénètre profondément en écoutant ses cris de plaisir et de jouissance. La pénétration anale venant semble-t’il compléter la jouissance de son clito. Je jouis moi aussi, dans son cul. Profondément.

Elle feule et se cambre encore plus pour sentir les contractions de ma queue.

Nous restons un moment imbriqués. Elle, le cul cambré et serré et moi, la bite déjà flasque et prisonnière.

Je la retourne une dernière fois sur le dos. Baisers profonds et reconnaissants de tant de plaisir. Je déchire le film et la libère par morceaux de film que je jette au pied du lit. Elle est ruisselante de transpiration et de plaisir. Moi aussi.

Ses cheveux :

Sans dire un mot elle se plaque contre ma poitrine et je lui caresse les cheveux que j’aime aussi.

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Par Bfemme
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Vendredi 7 mai 5 07 /05 /Mai 23:18

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La maîtresse guide Lucy à travers le grand hall, monte devant elle le grand escalier de marbre blanc, marche rapidement en donnant des à-coups à la laisse, traîne son esclave nue qui frissonne plus de gêne et de peur que de froid le long d’un couloir où s’alignent des portes fermées, s’arrête enfin devant l’une d’elles et l’ouvre. Une chambre. La chambre de Lucy pour au moins deux semaines d’initiation.

Un grand lit, un bureau, une baie vitrée donnant sur une terrasse ensoleillée, un placard mural, un grand miroir, les meubles sont en bois sombre, les tissus clairs, des tableaux contemporains, des photos en noir et blanc.  Une porte mène probablement à la salle de bain. L’ensemble est harmonieux, de bon goût, agréable à l’œil, apaisant pour Lucy  qui n’en mène pas large.

 

« Tu n’as pas besoin de ta valise ni de tes affaires personnelles. Tu trouveras ce qu’il te faut pour le moment dans ton placard et dans la commode. Quelqu’un va venir s’occuper de toi. Interdiction de sortir de ta chambre, interdiction de te promener en liberté, interdiction d’ôter tes boules de geisha, tu es une novice, tu attends les ordres. »

 

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La maîtresse décroche la laisse du collier de chien qui enserre toujours le cou de Lucy, la suspend à une patère près de la porte d’entrée et sort de la chambre en lui jetant un dernier regard narquois. La porte se ferme, laissant Lucy à sa solitude dénudée. Elle se précipite vers le placard espérant y découvrir un vêtement à enfiler. Si quelqu’un doit venir, elle ne veut pas se trouver à nouveau nue devant une inconnue, à moins que ce ne soit un homme… son sexe ruisselle encore de désir, une de ses mains glisse entre ses cuisses et elle sent avec effarement son miel qui coule le long de la peau fine de son entrejambe… Déception, dans le placard l’attend simplement un long et fin peignoir de soie blanche, transparente, une délicate broderie dans le dos représente un dragon vert aux yeux rouges. Elle l’enfile en soupirant, ne prend pas la peine de nouer le ruban qui sert de ceinture puis fait un petit tour d’inspection des lieux. La salle de bain est claire, lumineuse grâce à la grande fenêtre qui laisse la vue sur le parc, elle revient dans la chambre, va vers la commode, renonce à ouvrir les tiroirs sachant d’avance sa déception… Ils risquent d’être vides. Elle ouvre le grand lit et se jette dessus. La sensation est agréable, le coton des draps est frais, elle frissonne un peu et ses tétons se dressent, le frisson qu’elle ressent glisse le long de sa colonne vertébrale, la chair de poule se dessine sur tout son corps, ses cuisses frottées l’une contre l’autre glissent sur le liquide qui coule toujours de sa chatte, la sensation provoque un léger sourire chez Lucy qui oublie un moment ses angoisses et se laisse aller à une caresse délicate de son clitoris gonflé. Elle revoit en images ce qu’elle vient de découvrir dans cette demeure, pense au goût de cette chatte qu’elle vient de lécher,  une première fois vécue comme ça restera ancrée dans sa mémoire… Ses doigts glissent maintenant entre ses lèvres ouvertes, jouent avec le cordon des boules de geisha qui dépasse de sa fente, tire doucement dessus pour les faire bouger au fond de son vagin.

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Son excitation remonte puissamment. Elle a maintenant les jambes largement ouvertes, ne résiste plus au désir de jouissance qui lui brûle le bas-ventre, elle exerce des pressions différentes sur son clitoris, joue avec ce bouton de plaisir, pénètre sa fente avide, s’entend gémir, accélère ses mouvements. Sa main libre joue avec ses seins, en pince les bouts avec douceur, puis de plus en plus fort. Elle repense aux coups de cravache qu'elle a reçu un instant auparavant sur ses fesses et sur sa chatte. Ses lèvres sont encore douloureuses du contact avec le cuir. Elle revoit la chatte de la maîtresse ouverte et baignée de liquide de désir, elle passe sous son nez les doigts qui ont caressé et pénétré cette fente offerte, l'odeur est douce, suave, elle les lèche. Ils ont peu de goût. Frustrée, elle porte à sa bouche les doigts de son autre main, ceux qui sont couverts de son jus à elle, l'odeur de ce liquide est plus forte, le goût en est plus épicé. Elle gille à nouveau ses doigts en elle, plus profondément, ils entrent en contact avec es boules de geisha, jouent avec elles, les poussent vers le fond du sexe puis tirent sur le petit cordon pour que l'une d'entre elles se coince contre la vulve gonflée, contre cette zone qui semble plus sensible, plus délicieuse à agacer. Elle se boit encore, sent encore son odeur, tente de retrouver dans sa mémoire l'odeur de sa maîtresse... Déjà esclave et heureuse de l'être...

 

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Ses doigts glissent maintenant au-delà de sa chatte, vers son cul, surprise de cette envie, surtout surprise par la sensation que déclenche ce geste... Ses doigts timides remontent dans la chatte puis redescendent, l'un d'eux force un peu l'entrée étroite, glisse à l'intérieur du cul.

Elle a les yeux fermés, ne veux plus voir ce décor qui lui rappelle sa nouvelle condition d’esclave. Elle a maintenant un doigt fermement inséré dans son trou sombre et son autre main ne lâche plus sa chatte, le clitoris est malmené ou caressé, la fente est pénétrée, ses seins sont durcis, sa chatte ouverte laisse couler son liquide qui inonde ses doigts, son cul et mouille la raie de ses fesses. La pulpe de ses doigts qui danse sur son clitoris brûlant fait monter son plaisir, elle pousse un long gémissement lorsque l’orgasme éclate, ses sens s’évanouissent, elle se cambre, elle sent les spasmes de sa vulve qui explose de plaisir. C’est infiniment bon… infiniment fort…

 

Lorsqu’elle ouvre à nouveau les yeux,  un cri s’étrangle dans sa gorge… Une femme est là, debout devant elle et la regarde en souriant. De taille moyenne, des cheveux bruns coupés très courts, une allure souple et athlétique, des yeux noirs moqueurs… Elle porte une jupe en jean près du corps et un marcel blanc qui laisse deviner des seins libres et fermes.

 

« Tu as fini ? Moi, c’est Leslie… tu te tais et tu me suis »

Leslie prend la laisse suspendue et l’agrafe au collier de Lucy. « Je vais te préparer »

Les deux femmes quittent la pièce sans échanger d’autres paroles.

Traînée à nouveau au travers des corridors, Lucy tente de fermer maladroitement le peignoir léger et se demande à quelle sauce elle va être mangée… Son sexe ruisselle entre ses cuisses… Son orgasme n’a fait qu’aggraver les choses, elle dégouline, elle a été surprise, observée… Elle se sent humiliée, rouge de honte… mais terriblement curieuse de la suite des évènements…

Par belle femme
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Vendredi 7 mai 5 07 /05 /Mai 22:08

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La jeune fille timide et gauche a garé sa voiture devant la grande maison, elle monte le perron, sonne  à la porte et patiente en regardant nerveusement autour d’elle… Une villa blanche, moderne, dans un grand parc… Une école, pour adultes initiées…

 Elle sait que si elle réussit l’examen d’entrée, elle signera un contrat la liant pour un certain nombre de semaines : les plus courts séjours sont de deux semaines et peuvent durer jusqu’à plusieurs mois...

Des semaines en totale immersion, sans lien avec l’extérieur, sans possibilité de sortie ; une obéissance sans concession ainsi qu’une confiance aveugle sont exigées…

 La porte s’ouvre enfin. La maîtresse des lieux apparaît… Grande, brune, bustier moulant, jupe au-dessus du genou…

« Lucy ? Entrez, je vous attendais… »

La novice entre, prononce un bonjour timide. « Ici, tout le monde est tenu de m’appeler Maîtresse » impose la femme au regard vert. « Venez par là… Laissez votre valise dans l’entrée. »

L’intérieur de la villa est grand, spacieux, blanc… Des tableaux modernes et colorés côtoient des meubles art déco… Des plantes ajoutent à l’harmonie du lieu… Une senteur orientale…

 

Les deux femmes entrent dans une petite pièce sans fenêtre… La Maîtresse va se poser dans son grand fauteuil, derrière son bureau. L’élève en face d’elle, debout. Elles se dévisagent, l’une confiante, sereine, dominante… L’autre, timide, se demande ce qu’elle fait là au juste…

 

« Voilà le principe : je vais vous poser quelques questions, faire quelques jeux avec vous, afin de déterminer si je puis vous garder ici. Si je vous accepte, je vous expliquerai le fonctionnement de ces lieux… À ce moment-là, vous déciderez si vous voulez vraiment vous engager pour quelques semaines… Sans sortie, sans contact extérieur, sans aucun échappatoire, sans condition…  Compris ? Alors déshabille-toi maintenant ! »

 

La jeune fille un peu surprise par le changement de ton brutal obtempère… Elle enlève ses vêtements en tremblant et sans regarder cette femme dont le sourire en coin la viole… Elle hésite à enlever ses sous-vêtements… « Tout ! Et lorsque tu seras nue, tu m’apporteras la cravache qui est accrochée au mur derrière toi… Ainsi que le collier et la laisse.»

 

Un regard de panique transforme le visage de Lucy  qui se tourne, repère la cravache sur le mur, hésite, enlève son soutien-gorge, sa culotte, marche vers les objets d’humiliation pour s’en saisir, un peu gauche, elle ne veut pas montrer ses fesses pourtant bien belles…

Elle revient vers le bureau, tend la cravache à la femme…

« Fais-le tour » Un geste accompagne la phrase, indiquant à la jeune fille de venir se placer derrière le bureau, en face de la femme qui a fait pivoter son fauteuil. Elle garde la cravache à la main, pose la laisse et le collier de chien sur son bureau.

« Ici, tu dois savoir obéir ; tu apprendras toutes les joies du sexe, seule, à deux ou à plusieurs, avec des hommes ou avec des femmes.  Mais tu dois te plier aux ordres et au règlement. Pose tes deux mains sur mon bureau, cambre-toi et écarte un peu les jambes… Bien, comme ça.»

La fille a pris la pose, effarouchée…

La maîtresse se lève, tourne autour d’elle et lui caresse les fesses, se penche pour embrasser son dos, sa nuque… Se saisit de ses cheveux pour tourner le visage de la jeune fille vers elle et lui embrasser la bouche… L’autre, timorée, a un mouvement de recul…

« Reprends immédiatement ta position ! » Un violent coup de cravache sur les fesses paralyse l’élève qui pousse un cri…

« Je suis ta Maîtresse, je t’embrasse et je te  baise quand je veux, à tout moment du jour ou de la nuit… Tu te caresseras lorsque je te le dirai. Tu te donneras à qui je voudrai… Homme ou femme, plusieurs hommes ou plusieurs femmes… À chaque erreur, tu seras punie, ainsi… » Coup de cravache bien senti sur les deux fesses en même temps.  « À chaque faux-pas, tu seras punie… Comme ça… » Nouveau coup, plus bas sur les cuisses…  Elle crie, mais n’ose plus bouger…

« Et si je ne t’ai toujours pas mâtée, les coups de cravache tu les auras aussi là… »

En changeant de position, la maîtresse a commencé à fouetter la chatte de la fille, la cravache monte et descend entre les cuisses de la punie qui prend sa première leçon… Après quelques coups sur cette partie extrêmement sensible, la jeune fille, visage baigné de larmes murmure un « Pitié Maîtresse » La cravache au lieu de continuer à taper se met à glisser sur la chatte, d’avant en arrière, du clitoris au cul et pénètre le sexe inondé de la jeune fille…

 

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La Maîtresse la prend par les cheveux à nouveau, embrasse cette fois-ci à pleine bouche la novice vaincue, retire la cravache de sa chatte sans cesser de l’embrasser et y glisse deux doigts conquérants…

 

Son sexe est mouillé, douloureux et excité. Les doigts sentent les contractions de plaisir et d’envie de la vulve échaudée… Lucy gémit… Visiblement, ce traitement autoritaire l’excite au plus haut point. Les deux bouches s’en donnent à cœur joie… Leurs langues se mêlent, s’enfoncent au plus profond de l’autre… La Maîtresse attaque de ses mains les seins de la nouvelle élève. Elle les presse, les écrase, pince les tétons, provoque les gémissements et les cris de Lucy qui se tord de douleur…

 

« Mets-toi à genoux maintenant, devant moi.»

La femme s’est assise dans son fauteuil, elle prend le collier de chien. « Lève tes cheveux » Elle passe le collier autour du cou de la jeune fille. Elle y attache la laisse qu’elle garde dans sa main gauche et reprend la cravache dans sa main droite. Elle sourit. L’autre semble hypnotisée… Tremble et gémit… Ne dit pas un mot…

« Tu as envie d’apprendre le sexe ici ? »

« Oui » timide.

La maîtresse donne un coup à la laisse.

« Je n’entends pas ! »

« Oui ! »

« J’ai besoin d’une preuve ! Bouffe-moi la chatte, régale-toi, lèche-moi jusqu’à la dernière goutte, montre-moi que tu es une reine de sensualité, dévore-moi… Et je t’accepterai ici pour t’enseigner tout ce que tu ignores… »

Nouveau coup sur la laisse…

Tapotis légers et agaçants de cravache sur le dos…

La Maîtresse glisse vers l’avant de son fauteuil, écarte ses longues jambes, en pose une sur le bureau, l’autre sur le dos de l’esclave, dévoilant ainsi sa chatte ruisselante, prête à être mangée, prise, baisée…

 

Lucy hésite…

La femme ouverte claque un peu de la langue, fouette un peu plus fort les épaules de la jeune fille et lui caresse le visage avec le bout de la cravache… Elle le passe sur les joues, le cou, le menton de la fille, puis sur ses lèvres…

Elles se regardent.

La Maîtresse force la bouche de Lucy avec la pointe de la cravache, l’autre cède, ouvre la bouche. En même temps, elle tire sur la laisse pour l’attirer entre ses cuisses… De plus en plus près de sa chatte… Ses yeux verts lancent des éclairs… La cravache quitte la bouche et tombe au hasard au milieu du dos. La main qui tient l’instrument de punition se saisit d’une grosse poignée de cheveux de Lucy qui entend sa Maîtresse dans un râle…

« Baise ma chatte avec ta bouche. Maintenant. »

En gémissant Lucy s’exécute. Elle pose d’abord délicatement ses lèvres sur les lèvres intimes. Elle s’enivre de l’odeur qu’elle découvre pour la première fois… Incapable de résister d’avantage, sa langue se met à lécher amoureusement la chatte offerte, de bas en haut, de ce trait d’union entre le cul et la chatte jusqu’au clitoris… Avec sa langue sensuelle, gourmande, étalée sur les parties intimes comme s’il s’agissait d’une glace à déguster…

Elle la lèche comme une chienne, en gémissant d’excitation… Les yeux fermés… À quatre pattes par terre…

Un petit coup sur la laisse l’oblige à ouvrir les yeux parfois et à fixer le regard dominateur de la femme dont le plaisir inonde sa bouche…

Lucy, éprise de cette nouveauté, s’applique à faire jouir sa maîtresse, à décrocher la clé d’entrée pour cette maison de plaisir, cette école du mal…

 

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La pression sur la laisse se fait plus forte… « Enfile tes doigts dans mon sexe… Deux, puis trois doigts, maintenant ! » Les doigts s’insinuent… La langue de Lucy continue son œuvre. Bientôt, un râle plus important que les autres annonce l’explosion de plaisir… Une coulée de miel vient glisser le long des doigts de l’esclave qui sent pour la première fois une femme jouir sur sa langue et autour de ses doigts… Lucy gémit aussi, excitée… Elle sent aussi sa chatte ruisseler et sa cyprine couler le long de ses cuisses. La maîtresse relâche la pression sur la laisse, lui relève la tête d’un mouvement de cravache sous le menton… Sourit. « Tu es la bienvenue chez nous… Mais… Tu prendras ton plaisir quand je le déciderai… En attendant, mets-toi debout, appuyée au bureau, comme tout à l’heure… J’ai un cadeau pour toi… »

 

Lucy reprend la pause, deux mains sur le bureau, jambes écartées. La maîtresse corrige sa position du bout de la cravache, recule un peu les pieds, cambre plus, écarte plus les jambes… Voilà. Elle ouvre un tiroir, en sort des boules de geisha, les montre à la jeune fille… « Tu garderas ces boules de geisha dans ta chatte jusqu’à ce que je décide de ta jouissance… Ne t’avise pas de te caresser seule dans un coin… Ça coûte 20 coups de cravache… »

En la tenant toujours fermement par la laisse, la Maîtresse enfonce délicatement les boules de geisha dans le sexe de Lucy qui se cambre d’avantage, espérant ainsi obtenir l’autorisation de se faire jouir… Non, rien ne se passe, la Maîtresse tire sur la laisse… « Je vais te montrer ta chambre. »

 

Les deux femmes, chattes ruisselantes, l’une apaisée et victorieuse, l’autre vaincue et conquise quittent le petit bureau… La première a une cravache et une laisse dans ses mains, la seconde suit, nue, tenue comme une chienne…

Elles sourient en imaginant la suite…

Par belle femme
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