Samedi 17 avril 6 17 /04 /Avr 23:49

bf ancien -Fesseur-Severe

La punition

 

Il lui a écrit, furieux de ses provocations sur le net. Elle, elle s’amuse, elle rit d’allumer tous ces mâles qui bavent devant ses publications de bottes, ses photos de pieds nus, les clichés d’elle en robes sexy, ses statuts aux nombreux sens cachés, qui ciblent tel ou tel admirateur… Elle en profite… Il est encore temps… Pour combien de temps ?

 

Il a envoyé un message sec, impérieux, qui la rappelle à l’ordre :

« J’aimerais que tu regardes attentivement le cliché qui est joint à ce mail...

Il te donnera une idée de ce qui t'attend demain, lorsque j'aurai le plaisir de te revoir, ma belle femme.

J'aimerais aussi que tu imagines le bruit de ma main qui va claquer sur ton petit cul…

La magnifique couleur qu'il va prendre va te couper l'envie de monter à Paris pour soutenir ton équipe de foot... ou voir un amant…

J'aurai aimé que tu lises ce mail avant de t'endormir...

Ce n'est pas grave, tu le liras au café (je suis réellement désolé si tu arrives la culotte mouillée.)

Sur ces bonnes paroles, je te souhaite une bonne nuit.

G. »

Le cliché joint montre une paire de fesses féminines rougies par les coups, écarlates de fessées, chatte apparente, dos couvert d’une nuisette blanche, la femme de l’image semble être à quatre pattes sur un sofa…

 

 Le nez dans sa tasse de café, elle sourit, elle sent le frémissement de son sexe, l’excitation qui monte déjà. Le message écrit la veille est découvert pendant le petit déjeuner. Elle le lit, le relit, consulte un second message qui confirme l’heure du rendez-vous… en début d’après-midi :

« Demain, je vais  te prendre sur les genoux, te déculotter comme la vilaine petite fille gâtée que tu es et j'ai la ferme intention de te claquer ton petit cul.

13 heures, soit précise. Tu sais que je n'aime pas attendre »

 

Elle le connaît… Elle sait bien qu’il a déjà scénarisé l’après-midi, pratiquement chaque détail réglé au millimètre… Elle sourit de plus belle en sentant déjà sa chatte indiquer des signes d’humidité… D’abord, s’occuper de son fils, l’accompagner à l’école, quelques courses, retour à la maison… Enfin un peu de temps pour la douche, s’habiller en fille, oublier le traditionnel jean moulant, passer une jupe, des sous-vêtements sexy, dentelle grise qui ressort bien sur le léger bronzage de la peau douce. Peu de parfum, des bottes grises, un collier de perles, des perles aux oreilles également. Un foulard en coton retient négligemment ses cheveux, une écharpe de coton également autour du cou… Un regard dans le miroir… Une bohémienne de luxe… Elle file au rendez-vous.

En voiture, elle se demande quel sera le scénario du jour, sent confusément son sexe déborder déjà de sa cyprine impatiente.

Qu’a-t-il inventé ? Elle imagine tout le long du chemin, arrive enfin, sans s’en rendre compte dans le garage de la villa, sort de la voiture, court à l’étage, fait claquer les talons de ses bottes dans le  couloir, fait irruption dans la cuisine, sourit, se jette dans les bras de l’homme qui l’attend.

Il la regarde surgir en souriant, jupe, cheveux, foulards flottant autour d’elle.

Pas un mot, ou des mots vite oubliés : ils s’embrassent, se frottent l’un contre l’autre, il se démène pour soulever la lourde jupe encombrée de perles et de strass, les mains recherchent les fesses légèrement couvertes d’un simple string.

Elle se cambre, gémit déjà, sourit largement.

Toujours sans mot superflu, il la prend par la main et l’entraine à l’étage ; fièrement la conduit dans leur chambre… Ses yeux à elle font rapidement le tour du décors… Peu de choses ont changé : une bouteille de vin, deux verres sur la commode… Mais c’est le lit qui retient le plus longtemps son regard :

Le collier de chienne, la laisse, le plug anal sont rangés savamment au milieu du lit, à coté d’une barre d’environ un mètre, un anneau fixé à chaque extrémité et des liens passés dans les anneaux.

Le cerveau de la femme analyse rapidement la situation : rien au mur pour accrocher la barre, les anneaux et leurs liens serviront donc pour les chevilles et pas pour les bras. Son regard fixe enfin la cravache….

 

Elle sent la chaleur brûler l’intérieur de son ventre, elle tourne un regard tendre et sérieux vers son homme, elle sait que l’heure n’est plus aux sourires… Lui, si souriant un instant plus tôt contemple sa chose d’un air satisfait…

Il lui met tout de suite le collier de chienne autour du cou… lui enlève la jupe pour la laisser fesses à l’air avec son petit pull de coton.

Il lui explique sur un ton très calme, comme si il parlait à une enfant, l’usage de petits rubans de velcro qu’il lui passe autour des poignets et autour de la taille… Celui de la taille est un peu trop serré.

Entre chaque geste qui entrave un peu plus la femme, pour la transformer en chienne ou en esclave, l’homme a des gestes doux, tendres, il l’embrasse, la lèche,  la caresse, fait jaillir ses seins de son soutien-gorge qu’il a dégraffé.

Il se penche souvent pour écarter son string et goutter à la chatte ruisselante, qui coule d’excitation.

La femme est debout devant un petit miroir mural. Elle se voit : elle voit ses perles disparaître sous le collier de chienne, elle voit ses seins apparaître sous le soutien-gorge déboutonné et soulevé, elle voit la ceinture en velcro serrer sa taille, beaucoup trop fort. Son amant lui fixe les mains à la ceinture. Elle ne peut plus bouger les mains ni les bras.

Il se saisit à nouveau du string de la femme, le tire vers le haut de façon à lui scier la chatte en deux. S'amuse de cet inconfort, de cette douleur, de cette agression du tissu qui fend les lèvres et les écarte. Puis il le fait enfin glisser le long des longues jambes, tapote une botte pour faire comprendre sans mot à l'esclave de lever un pied, puis l'autre. Le string est retiré, jetté dans un coin de la pièce.

L'homme prend la laisse et la passe entre les jambes de la femme, il agresse à nouveau la fente trempée en remontant l'extrémité de la laisse dans le dos, tire vers le haut, le cuir pénètre et s'enfonce entre les lèvres, exerce une pression sur le collier qui oblige la femme pencher son cou vers l'avant et à voir ainsi sa chatte fendue, son clitoris écrasé. Elle sent la lanière agresser son cul, la laisse est fixée à la ceinture, dans le dos.

 bf sepia crav-6

Elle jette à nouveau un oeil dans le miroir… Se voit transformée en esclave, en putain. Elle se défie du regard…

L’homme se saisit de la barre et y attache une de ses chevilles. D’un coup de cravache entre les cuisses,  il oblige la femme à écarter les jambes afin d’entraver la deuxième cheville à l’autre extrémité. Elle baisse la tête et se voit offerte, elle aperçoit les lèvres de son sexe qui sont ouvertes. Elle voit et sent son jus couler sur l’intérieur de ses cuisses…

Elle mesure l’humiliation de cette position, mains entravées, jambes écartées… Elle rougit, se sent excitée… Elle ruisselle de désir.

L’homme se met à genoux devant elle et sa bouche se colle à la chatte, il la lèche, la boit, enfonce sa langue dans son sexe, joue à tirer des fils de cyprine sucrée.

Elle ne retient plus ses gémissements. Il donne alors un peu de mou à la laisse qui cisaille toujours son sexe, la penche légèrement vers l'avant et d'un geste sec lui enfonce le plug anal dans le cul. Aussitôt il resserre la laisse autour de la ceinture afin de bloquer le jouet pour l'empêcher de s'échapper. Elle a poussé un cri étouffé, veut se redresser, mais la laisse qui glisse entre ses jambes est tendue, la douleur sur son clitoris est violente.

Il la sent excitée, faite à l’idée d’être ainsi attachée, il reprend la cravache en main et commence la longue et douce séance de punition…

Toutes les zones sensibles de l’anatomie féminine sont claquées, cravachées : les seins, les fesses, les cuisses, l’intérieur des cuisses, la chatte, le clitoris, le ventre, le dos….

L’homme tourne autour de son esclave et il la punit sévèrement de la main, ou avec la cravache. Il vise, claque, prend plaisir aux cris de la femme, aux tétons qui durcissent sous les coups, aux fesses qui deviennent écarlates de claques, au zébrures laissées par la cravache.

Les coups font mal… La femme ne retient plus ses cris ni son excitation.

Elle se cambre ou se penche en avant. Elle manque de tomber, les mains prisonnières ne pouvant la rééquilibrer.

L’homme cesse enfin les coups pour l’embrasser à pleine bouche, contempler son regard vert de femme amoureuse qui le défie encore.

Il lui demande alors de s’approcher du lit, elle s’exécute en mouvements grotesques, humiliants, la barre d’écartement lui maintenant toujours les jambes ouvertes.

Elle est debout face au lit, il la plie en deux, la pousse en avant, l’installe à quatre pattes, pose sa chose comme il l’a fantasmée.

Jusqu’à présent, ce n’était rien… aucune douleur vraiment insupportable, aucune humiliation intolérable.

Maintenant, la chienne est à quatre pattes, cul offert, jambes ouvertes et entravées, pull et soutien-gorge roulés au-dessus des seins, des fessées coléreuses s’abattent sur elle, des coups de cravaches, des doigts autoritaires fouillent ses orifices, sa chatte, son cul, elle se sent violée, violentée, baisée, humiliée…  L’homme lâche le cul pour présenter sa queue devant la bouche de la femme : « suce-moi, suce-moi comme une chienne ». Elle s’exécute… Elle adore faire ça. Son grand plaisir est de plonger sur la queue raide et de l’avaler jusqu’à la garde, de sentir le gland au fond de la gorge, son nez dans les poils masculins, jusqu’à en étouffer…

Il se retire de sa bouche gourmande et lui demande de se mettre sur le dos.

Dans cette position, mains et jambes bloquées, elle ne peut bouger ; il doit l’aider un peu : il détache la laisse de la ceinture, la retourne de force. Elle se retrouve sur le dos, les jambes en l’air. Il sourit froidement et se saisit de la laisse toujours attachée au collier de chienne et la fixe autour de la barre qui écarte les pieds de la femme, bien serrée, tendue, de façon à ce qu’elle ait les pattes en l’air, indécemment, chatte offerte, cul toujours occupé par le sextoy bien visible…

bf stele punition

Il ne lui reste plus qu’à jouer avec ce corps-objet.

Des coups de cravache sur la chatte béante et ruisselante provoquent à nouveau les cris de l’esclave. Elle se tord de douleur, de plaisir, de honte. La ceinture de velcro est intolérable, douloureuse, irritante…

De temps en temps, l’homme cesse les coups et la pénètre, dans sa chatte, dans sa bouche, dans son cul….

Il se sert d’elle comme d’une poupée, comme d’une putain.

Lorsque le regard de la femme devient trop doux, trop soumis, l’homme prend son tshirt et le jette sur le visage afin de cacher ce regard profond. Elle se retrouve dans le noir, submergée par les odeurs corporelles de son amant. Elle respire profondément l’odeur du tissu, oublie pour un temps les douleurs et les plaisirs extérieurs au vêtement… se rend compte qu’elle commence à manquer d’air… Se sent excitée, suffoquant… Elle s’agite  sous le tshirt pour l’enlever, l’homme la baise, elle semble perdre le contrôle de ses sens… Elle se sent couler de désir comme jamais… Il faut qu’elle respire…. L’homme enlève enfin le vêtement.

D’ailleurs, il enlève tout, dégage la laisse, enlève la barre, libère les jambes qui ont du mal à se reposer à plat sur le lit, engourdies, douloureuses, raidies par cette position peu confortable… il libère la taille, les poignets, s’acharne sur les vêtements. Son sourire tendre est revenu. Il la veut nue… Elle s’active, encore ankylosée, veut tout enlever, veut sentir le corps de son amant contre sa peau nue…

Elle est sa chienne, son esclave, sa putain, et bien pire encore. Soumise, obéissante, mais elle n’est rien sans la sensation de sa peau de femme contre sa peau d’homme.

Ils se sourient, rient bientôt. Elle ouvre enfin ses jambes de femme libérée à la langue de l’homme, à ses doigts savants qui la pénètrent, qui la fouillent, qui la violent.

Langue et doigts déclenchent son orgasme. Elle se cambre, mouille d’avantage, gémit, crie, coule, vibre, jouit.

Elle attire vers elle son amant, elle le veut sur elle, en elle… La pénétration tout de suite après un orgasme semble prolonger la sensation. En tout cas, elle révèle un plaisir violent, puissant. Elle veut ressentir ce plaisir.

Il la pénètre, elle contracte son sexe, il la pénètre davantage, elle contracte encore.

A chaque contraction de son vagin, l’homme donne un coup de rein.

Le jeu dure, entremêlé de baisers, de coups de langues, de coups de dents, de coups de griffes, de caresses, de regards, de mots doux et de mots crus.

De temps en temps, l’homme se retire totalement de la chatte avide…

Alors la femme soulève un peu plus ses jambes, son cul, le bas de son dos. Il lui arrive de jouer avec la queue raide et de la faire glisser du cul à la chatte, de la chatte au cul.

L’homme finit par s’agacer de ce jeu, il se saisit de son membre turgescent et l’enfonce sans ménagement dans le cul de sa maîtresse qui n’attendait que ça. Elle crie, elle sourit.

« Je vais te remplir le cul et tu me sentiras tout au long de la journée… » « Oui », dans un gémissement.

Les regards se font plus profonds, les coups de reins se font plus durs, plus forts, la femme écarte ses genoux pour montrer à l’homme ses seins qui sont ballotés à chaque coup de bite.

Les respirations se font plus fortes, les paroles crues flottent : « foutre, baisée, enculée… »

La jouissance de l’homme est puissante, palpable, dévastatrice…

Elle est toujours impressionnée et fière de provoquer un plaisir d’une telle intensité.

Son amant se vide les couilles dans son cul et elle trouve ça beau.

Elle sourit, il revient lentement à la réalité, se laisse tomber, soupire, sourit enfin et l’attire à lui pour la serrer, l’adorer, la caresser. Elle le mange des yeux.

Elle se met en boule contre lui, ils ferment les yeux, font le plein de sensations et d’odeurs… Une bulle de jeux et de bonheur.


 

Par belle femme
Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires
Jeudi 8 avril 4 08 /04 /Avr 11:06

 

bf nb love1 500

Elle est seule dans ce compartiment, seule pour 4 heures de trajet entre Milan et sa ville natale…

Dimanche soir, elle vient de quitter son amant. Par la fenêtre, il fait encore jour, mais le brouillard, comme toujours en cette saison froide a recouvert le paysage. On ne voit rien qu’un nuage cotonneux qui recouvre tout.

Elle a un peu froid dans ce train qui vient de quitter Milano Centrale pour la France.

Mais elle sait que dans quelques instants, lorsque le chauffage sera poussé à fond, il fera trop chaud. Elle a l’habitude de prendre cette ligne, chaque dimanche soir, après avoir passé le week-end avec l’homme qu’elle aime.

Jeans, bottes à talons, pull en cachemire, manteau de fourrure blanche pas encore enlevé, elle s’allume une cigarette et joue avec la fumée.

Elle pense.

Elle revoit les images du week-end.

Son amant, son merveilleux amant, allongé, nu, la tête entre ses cuisses, la langue au plus profond de sa chatte.

Un frisson de plaisir… Encore du désir ? Impossible…

Il commence à faire chaud, elle retire son manteau et le pose à côté d’elle.

En souriant, elle se revoit, assise sur lui, le chevauchant… Elle aime avoir sa queue en elle et remuer d’avant en arrière en se caressant le clitoris… Il l’a filmée cette fois-ci. Dans toutes les positions : assise sur lui, elle se soulevait pour montrer à la caméra le sexe de l’homme, dur, pénétrer celui de la femme.

Il l’a filmée quand elle le suçait aussi… L’intégralité de la fellation. Ils ont commencé à filmer le sexe mou, puis la progression : lorsque la bouche le prend, aidée d’une main ; puis quand elle le branle, lorsqu’il est devenu dur… Il a filmé lorsqu’elle ne s’occupait que du gland, le pompant intensément, puis lorsque d’un coup, elle plonge pour l’avaler en entier.

Sur le film, on entend leurs gémissements de désir et d’excitation et l’on entend le bruit obscène de succion… Bruits de bouche, de salive.

 

Il l’a filmée quand il l’a retournée, forcée avec les doigts, dans la chatte, dans son cul… Elle criait de plaisir douloureux, incapable de se contenir…

Il l’a filmée quand il a joui sur elle, sur ses seins, le sperme a giclé en éclaboussures blanches et odorantes dans son cou, sur ses joues, sa bouche… Il l’a filmée quand elle a léché ses lèvres pour les nettoyer du sperme de son amant…

Il a filmé aussi sa jouissance à elle, jambes écartées, le doigt manipulant le clitoris, les lèvres maintenues ouvertes, le miel qui coulait en abondance pour finir en vague de jouissance, fluide de plaisir, légèrement plus opaque, presque blanc.

 

Filmée sous toutes les coutures, plus rien à cacher ou si peu…

Elle a chaud, reprend son manteau de fourrure, le pose sur elle de façon à cacher aux éventuels voyageurs ce qu’elle s’apprête à faire.

Elle ouvre son jean, se tortille un peu pour le faire glisser suffisamment afin d’y glisser la main. Deux doigts dans sa chatte, elle les ressort humides, les porte à sa bouche pour goûter encore une fois son arôme salée, les nettoie bien et les replonge dans son sexe. Encore une fois à la bouche… Puis elle s’installe mieux, glisse un peu sur le siège et commence à se masturber… Elle revoit encore et à l’infini toutes ces images de plaisir… Elle ferme les yeux… Semble ne plus bouger… Les voyageurs qui sont passés dans le couloir ont cru voir une femme qui dormait… Mais ils sont passés à côté d’une femme qui jouissait…

bf ancien femme au chapeau 3

Par belle femme
Ecrire un commentaire - Voir les 4 commentaires
Jeudi 8 avril 4 08 /04 /Avr 02:40

cul-sépia

Je suis content de retrouver ma chambre. J’ai parcouru le long couloir désert en regardant tous les numéros de chambre. J’ai présenté ma carte magnétique et je me suis réjouis du chuintement mécanique de la serrure. J’aime les mécaniques simples. J’adore ces serrures électroniques.

J’ai jeté mon blouson sur la console de l’entrée. La chambre est spacieuse.. Je remarque que l’odeur de sa chambre est agréable. Un parfum d’hôtel, mélange de matériaux neufs, de parfum de femme, et probablement d’effluves de la ville. J’avance dans l’obscurité de la chambre vers la grande baie vitrée qui s’ouvrait sur la rade. La chambre est trop chauffée. Je trouverai bien le moyen de stopper le chauffage avant de dormir.

J’écarte les rideaux doucement pour découvrir la ville à mes pieds. Comme chaque fois, j’ai l’impression de la découvrir à nouveau.

 Je sens le vent froid sur la vitre. Je perçois le bruit de la ville.

Je sens soudain la présence derrière moi. Un frisson me glace le dos. Les poils de mes bras se hérissent. Lentement je me retourne et vois la silhouette debout derrière moi.
 Une femme se tient debout dans le noir, appuyée contre la paroi qui sépare la chambre de la salle de bain.
 Elle est face à moi. Très faiblement éclairée par la lumière de la ville je n’arrive pas réellement à la détailler. Handicapé par ma peur, je recule et mon dos rencontre la baie vitrée. Je passe en revu les hypothèses et je cherche à lire dans le visage de la femme ses intentions. J’écarte les rideaux et elle apparaît plus nettement. Elle se tient droite les jambes légèrement écartées. UN seul problème : Elle n’est vêtue que d’une sorte de maillot pâle sans manche. Je distingue maintenant clairement ses jambes nues. Elle n’a toujours pas bougé et je ne sais toujours pas si elle a les yeux ouverts.
Ma panique a disparu. Je sens de nouveau mes bras et mes jambes. Mentalement je cherche un objet qui puisse me servir à me défendre, à armer mon poing pour frapper si cette femme avait de mauvaises intentions. Une seconde personne pourrait être cachée dans la salle de bain.

Sans prononcer un mot je commence à avancer vers la femme. Parler pourrait précipiter l’action. Je ne suit pas encore prêt mais je sens qu’il n’y a pas de danger. Je continue d’avancer et je la distingue mieux maintenant. Elle n’a toujours pas bougé. Son immobilité me rassure et m’intrigue. Je devine la courbe et le volume de sa poitrine sous le « marcel ».

En descendant mon regard accroche sa culotte blanche. Ses jambes sont longues et fines. Sa peau faiblement éclairée par la lumière de la ville semble clair. Elle est grande et ses jambes légèrement écartées reflètent son assurance.

J’avance encore et suis maintenant à 3 mètres d’elle. Elle n’a pas tourné son visage vers moi et elle donne l’impression d’avoir les yeux fermés.
Si je continue d’avancer je vais rentrer dans son espace et la confrontation va devenir inévitable. Elle a le visage baissé vers sa poitrine et ne dégage pas d’agressivité.
Habitué maintenant à la faible luminosité je peux la détailler de la tête aux pieds. Elle n’est pas nue mais je devine son corps sous ses vêtements. Je pense que sa poitrine est un peu lourde et j’aime ce volume. Ses bras pendent le long du corps et ses doigts sont posés sur ses cuisses. Elle est chaussée de bottines.

Je la mate et je ressens un frisson. Un frisson déjà ressenti lorsque j’ai été dans la peau d’un voyeur.

Je décide de prolonger ce curieux vis-à-vis. Je fais un pas de plus et je suis maintenant pratiquement en face d’elle. Son regard semble toujours baissé dans une position de soumission animale. Je me concentre sur son visage. J’aimerais être rassuré et savoir si elle a toujours les yeux fermés. Le regard est le premier avertisseur du danger. Tous les animaux le savent.
Mon approche est celle d’un prédateur qui veut surprendre sa proie. Je n’ai pas prononcé un mot et m’efforce d’avancer le plus lentement possible. Je suis sure qu’elle me voit, qu’elle sait ma présence mais simule la soumission.
Je me penche en avant et mon visage est maintenant à 50 cm de son épaule. Je veux en profiter pour la sentir. Comme si son odeur pouvait ma rassurer sur ses intentions. Elle n’a pas de parfum mais dégage une odeur de propre. Je suis concentré sur mes sens. Un curieux sentiment animal, un truc de prédateur. La proie est assurée. Cette femme se donne et elle va être à moi.
Toujours sans bouger, à 50 cm d’elle, nos 2 corps se font face. Elle quasiment nue, moi en chemise. Un moment de silence dans la rumeur de la ville et je perçois son souffle. Profond, tranquille. Sûre d’elle et de son désir. Combien de temps peut durer ce tête à tête ?

bf sepia marcel-6
Je ne veux pas prolonger cette situation et j’avance très lentement mes mains pour la saisir par les épaules. C’est sûrement une déglinguée et je ne vais pas passer la nuit à la mater, même si j’y prends du plaisir.

Lorsque mes mains se posent sur ces épaules je suis prêt à toutes réactions. Sauf qu’elle n’en a pas. Immobile, elle reste immobile.

Immédiatement, la douceur de sa peau et sa placidité me procurent du plaisir. C’est clair maintenant que cette femme est une proie consentante. Je m’amuse à descendre mes mains le long de ses bras guettant une réaction.

Je m’arrête sur ses mains prêt à les saisir si elle bougeait. Je sais ses cuisses nues un peu plus bas. Mes mains continuent à descendre le long de ses cuisses et j’y prends maintenant un grand plaisir. Mes doigts sentent le grain de sa peau. Délicieusement offerte. Mon visage est maintenant à 30 cm de son ventre et mon regard se pose sur sa culotte blanche. Elle a des hanches et mes doigts les dessinent. Je continue le jeu et mes mains la caressent jusqu'aux chevilles.

L’appréhension est remplacée par une excitation violente. Ma bite est trop à l’étroit dans mon caleçon et je me tortille pour la dégager. La laisser grossir.

Sans quitter la peau de ses jambes, mes mains remontent le long de l’intérieur des cuisses toujours un peu écartées.
Elles rencontrent enfin sa culotte. Avec la dos de la main j’exerce une pression contre son sexe. Je sens immédiatement la chaleur et l’humidité qui transpercent le tissu de sa culotte…Je marque une pression plus forte et perçois très bien le volume de son sexe. Est-il gonflé ? Fermé ? Ouvert ?

Cela je ne peux le deviner complètement. En tournant la main droite toujours appuyée contre son sexe, ce sont mes doigts maintenant qui devinent sa fente. Très doucement je fais avec mon majeur des mouvements d’avant en arrière pour enfoncer un peu le tissu entre ses lèvres. Le sexe d’une femme est toujours doux mais la présence du tissu entre sa chair et mes doigts brouille les sensations. La vue d’un sexe de femme est toujours un stimuli. Le toucher est plus fort encore. Mon doigt est mouillé. Elle coule au travers du tissu de sa culotte. Heureusement qu’elle en porte une ! Et moi je bande maintenant comme un âne.

Enfin je perçois un frémissement lorsque j’effleure avec mes doigts ses lèvres qui sortent gonflées de part et d’autre de sa culotte devenue trop étroite. « Cette femme est culottée » c’est le cas de le dire et cette pensée m’arrache un sourire.
Je lève mon regard vers son visage. Ses yeux sont toujours fermés mais un sourire est apparu sur ses lèvres. Un sourire de désir, de plaisir. J’ai soudain le sentiment que je connais son visage. La quarantaine, un visage associé à un travail, à une fonction, à une autorité. Mais bien sur je suis trop excité pour arriver à me concentrer sur ce souvenir. Et puis je m’en fous. Cette femme est venue se faire prendre, je vais la prendre. Je dégage maintenant mon sexe qui sort de mon caleçon raide contre mon ventre.

Les femmes que j’ai rencontrées m’ont toutes offert une chatte différente. Chattes ouvertes haut sur le ventre, presque sous le nombril ou parfaitement cachée entre les fesses. Petites lèvres apparentes ou rentrées. Clitoris volumineux ou quasiment inexistant. Sans parler des poils qui ont toutes les textures, odeurs et apparences. Toutes ces combinaisons font qu’il n’existe pas deux chattes identiques.
Personnellement, j’aime lorsque les lèvres sont apparentes. Les chattes de femmes mures, apparentes.
Toujours immobile, je laisse mes doigts presser et caresser son sexe avec insistance. Il semblait toujours qu’elle avait les yeux fermés. Le liquide qui inonde maintenant mes doigts et sa culotte est visqueux. Je ne peux m’empêcher de sentir ma main. Je sais ce geste vulgaire et je ne l’aurais pas fait en plein jour avec une maîtresse.
J’ai soudain envie de lui faire goûter son désir et lui fourre ma main ruisselante dans la bouche.

Il est évident maintenant que le corps de cette femme est superbe.

 

Toujours immobile, je remonte mes mains le long de son ventre sous le tricot. J’evite le nombril. Les femmes n’aiment pas qu’on leur touche le nombril. Ce mini trou sans défense pourtant si attirant.
Je ressens une décharge terrible dans le sexe lorsque mes mains arrivent sous sa poitrine. Ses seins sûrement lourds forment un pli contre la peau du ventre. La transpiration humidifie ces plis. Avec le plat des mains je prends le dessous de ses seins que je remonte un peu comme si je les soupesais. Leur poids ferait bander un mort.  
Ruisselante, la poitrine prise, elle doit se sentir vulnérable et moi je me sens prédateur.
Avec le plat de la main j’effleure ses tétons qui sont durs comme des bouts de bois.

Je remonte son marcel jusqu’au niveau de sa poitrine et je pense que je dois pouvoir le faire tenir en l’appuyant contre ses tétons. Echec : Le "marcel" retombe sur son ventre..Je souris encore.

Mon regard cherche le sien. Je me fige, elle me regarde et je distingue parfaitement ses yeux grand ouverts
Ses cheveux bruns et raides coupés court. Je remarque aussi la largeur de ses épaules. Ce qui accentue sa silhouette forte et féminine.
Il me semble qu’à ce moment la ville se tait et j’entends ou devine sa respiration puissante.

Elle éprouve du plaisir a se faire prendre par un type qu’elle ne connait pas. Du moins je ne la connais pas.

Je lui dépose une baiser sur l’épaule et je remonte jusque dans son cou. Mon nez dans ses cheveux, elle gémit et tremble un long moment, tant que mes lèvres parcourent son cou.

Elle sent le propre, la crème pour cul de bébé.

 

Ma main droite se pose de nouveau contre son sexe et je décide de lui tomber sa culotte. Doucement je lui descends sa dernière protection sur les genoux. Dégageant son sexe. Ses mains toujours posées contre ses cuisses elle aurait pu me bloquer sans problème. Je retrouve alors son sexe plus ruisselant et ouvert. Trois poils se battent en duel et je les caresse du bout des doigts. Un brusque mouvement de bassin en avant trahit son excitation. Avec la main droite je dégage ma queue de mon caleçon devenue trop étroit et commence à me masturber. Son bassin oscille d’avant en arrière et ma main gauche se fait plus ferme. Je sens son clito rouler sous la peau ; je me branle sans retenue. Elle me donne maintenant de solides coups de reins et ses fesses tapent contre la paroi de la salle de bain. Je me déconcentre. Son plasir prend le dessus sur le mien et la montée de son orgasme me fait peur de nouveau. Va-t-elle hurler?

Avec le plat de la main je lui mets une petit claque sur le pubis et cela déclenche son plaisir. Ses mains s’emparent de ma main. Elles la pressent contre sa chatte agitée de spasmes. J’introduis 2 ou 3 doigts dans sa fente gonflée et  inondée. Je sens des contractions. Elle jouit fort et bien. Elle tombe à genoux et pousse un gémissement puissant.

Je me presse la queue et mon bassin avance pour lui poser ma bite contre le visage. Je sens son plaisir monter le long de ma bite et je jouis contre son visage. Irrespectueusement…

Je réalise que cette femme n’est ni dérangée, ni apeurée, elle a simplement joui de sa proie. Et sa proie c’est moi.   

 

A suivre.

  

Par belle femme
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 6 avril 2 06 /04 /Avr 07:10

bf stele esclave

Je lui ai fixé rendez-vous dans un bar. Elle est arrivée, belle, élancée, de taille moyenne, sportive… De l’allure…

« Pas mal » ai-je pensé et d’un geste nonchalant de la main je lui ai fait signe de s’asseoir. Ce qu’elle fait.

J'apprends que son prénom est Sophie. Je lui explique en quelques mots clairs ce qu'elle entend par bribes, sans vraiment y faire attention. De toute façon, elle sait ce qui l’attend, elle est là pour ça… Le pire…

Les mots caressent ses oreilles… Tu seras esclave, soumise, obéissante, punition, laisse, tutoiement, vouvoiement, silence, humiliation…

Je ne t'appelerai que "Esclave" Elle acquiesce, déjà silencieuse… 

Je me lève,  elle me suit, monte en voiture, frissonne, ferme les yeux, se laisse conduire.

Après quelques minutes de route, je prends un foulard et le lui tends  en lui disant : « Bande-toi les yeux avec ». Ce qu’elle fait.

La voiture ralenti, semble franchir un portail, ralenti encore, s’arrête… Moteur coupé, bruit de la porte du garage qui se ferme. Un bruit sec.

Je  sors de la voiture et aide ma passagère aux yeux bandés à se mettre debout. Puis je sors de mon sac un collier de chien ainsi qu’une laisse. « A partir de maintenant, tu es ma chienne : mets ça à ton cou. » L’esclave obéit.

 

Je la guide à l’intérieur de la maison, couloir, cave, escaliers, hall d’entrée, premier étage, première chambre…

Je m'assieds sur le bord du lit, attire par la laisse mon esclave près de moi,  la tire vers le bas, la force à se pencher en avant jusqu’à ce qu'elle se trouve allongée en travers de mes jambes.

Je replie   et attache les bras de l’esclave relevés dans le dos avec la laisse…

Puis mes mains descendent vers la jupe qu’elles soulèvent pour dégager les fesses. Un string blanc apparaît. Je le le baisse rageusement sous les fesses de la bientôt soumise…

Les mains traînent sur la lune lisse et blanche… Puis se soulèvent doucement et débutent un ballet sonore et claquant sur le cul de la belle.

Entre deux fessées, je lui explique gentiment que je doit préparer les fesses aux punitions futures… Afin qu’elles soient déjà rougies, chauffées, ainsi bien plus sensibles aux principes d’éducation. Les prochaines fessées brûleront, les coups de cravache seront mieux sentis…

Des gémissements d’excitation commencent aussi à s’entendre, entre les mots, ou par-dessus les mots ; preuve que nous pronons un égal plaisir à donner ou à subir la violence.

Enfin, le leçon s’arrête : « Mets-toi debout et déshabille-toi entièrement ; mais tu gardes le foulard et tu restes une chienne : collier et laisse. »

Une fois nue, l’esclave est traînée vers l’autre pièce… Un grand lit ouvert nous attend.  Je fait mettre mon esclave à quatre pattes sur le lit. Mes mains se posent encore sur les fesses mais sans brutalité, au contraire : doucement, presque tendrement…. Les fesses sont rougies et chaudes, la chatte est bien visible, le cul exposé… Mes doigts s’amusent à aller vérifier l’effet de la fessée sur le sexe encore fermé.  Une pression de l’index et du majeur fait céder les petites lèvres et mes doigts sont engloutis par ce sexe inondé, la vulve se contracte sous la pression de mes doigts, l’esclave gémit et se cambre, je sourit…

Mes doigts se retirent brutalement… bruits de tiroirs, bruits indéfinissables, mouvements et soudain un objet doux, oblong, dur pénètre dans le vagin, au plus profond, poussé avec autorité. Cri de l’esclave. Claque immédiate sur les fesses. « Tais-toi » Nouvelle claque. Elle m'entend cracher, ma salive tombe sur le cul de la prisonnière, suivie d’un plug anal qui prend judicieusement possession du lieu. L’esclave gémit, ne crie pas…

 

femme à la cravache

Je fait le tour du lit, me saisis de la laisse. Je la tire vers le bas de façon à obliger ma servante à se mettre à plat ventre. Je vais de nouveau fouiller dans le tiroir pour en sortir une cordelette avec laquelle j'entrave les pieds  et les jambes de l’esclave.
Je prends ensuite le temps de me dévêtir totalement en regardant ma proie toujours aveuglée… Puissance, sourire, satisfaction profonde…

 

 

Lentement, après avoir fait le tour du lit, nue, m’installe jambes écartées face au visage de mon esclave, à quelques centimètres… En souriant je glisse mes doigts entre les lèvres de mon sexe déja trop mouillé. Je suis folle de cette sensation de vulnérabilité que me procure l'humidité de mon sexe...Je regarde le filet de ciprine qui s'etire entre mes doigts et mes petites lèvres. L'intérieur de mon sexe ruisselle et je le vérifie en introduisant mon majeur. Comme toujours cette vague de plaisir que je connais si bien  me fait frissoner...

Mais je dois oublier cette vulnérabilité. Elle sent les mouvements du lit, les jambes de chaque côté d’elle, elle sent ensuite une main qui lui libère les yeux, elle ouvre les yeux et voit tout d’abord ma toison brune, fine, soignée… Elle lève ensuite les yeux sur mon ventre bronzé, mes seins lourds, hâlés par le soleil, mon visage que je veux  impassible… Elle ne baisse pas tout de suite les yeux vers mon sexe, elle attend mes ordres. Ils viennent sur un fin sourire :

« Tu vas comprendre maintenant ton statut de chienne, tu vas me lécher, tu vas me lécher la chatte à me faire jouir, et après, tu me lècheras encore… Ma cravache et ta laisse te motiveront… »

Alors l’esclave baisse les yeux vers mon sexe offert, approche sa bouche, sur un regard insolent  fait pointer sa langue rose qui se pose délicatement à la base de ma fente déja bien ouverte… Un petit coup de cravache met enfin la femme-chienne à l’œuvre. Ses coups de langue se font gourmands, appliqués, tantôt lents, tantôt rapides… Ma chatte est léchée méthodiquement, en surface ou en profondeur, intégralement, avec une pointe d’insistance sur le clitoris…

 

Chaque simulacre de ralentissement ou signe d’impatience est puni d’un ou de plusieurs coups de cravache sur ses fesses. Les coups deviennent secs, nerveux, rythmés par les décharges sensuelles et sexuelles provoquées par ce cunnilingus imposé.

Nos excitations sont transmises par la langue qui s’active. Les punitions tombent à chaque fois que l’esclave lève les yeux. Mon orgasme explose enfin, la langue continue sa danse devenue infernale ; je me saisit du visage de ma servante et me penche vers sa bouche pour y goûter mon plaisir qui y ruisselle.

Ensuite, je contourne le corps ficelé, le retourne, me saisi des seins ainsi offerts et commence à les sucer. Je les excite ainsi de la bouche pour en faire jaillir les tétons gonflés de désir.

J'aime tellement sentir la langue de mon amant me laper les tétons que je reproduis les même mouvements de langue. Je sais excatement doser douceur et fermeté de ma langue sur ses tètons.

Ainsi durcis, je peux y fixer aisément de petites pinces préparées à cet usage. Lorsque la première pince mord son téton d'esclave, elle étouffe un cri.

« Tu peux crier maintenant si tu le veux… »

A la deuxième pince mise en place sur l’autre téton, le cri fuse… Je souris et entreprends de défaire les liens qui entravent les jambes gardées serrées afin de bien maintenir en place les sex toys.

J'écarte les cuisses de mon esclave, constate avec satisfaction que son sexe, toujours occupé par la queue de latex, ruisselle de désir… En revanche, le cul  a réussi à se libérer de la présence du jouet.

« Tu en as quand même perdu un… Tant pis pour toi…  Tu ne jouiras pas par le cul… »

 

Je me penche vers son sexe épilé, j'y pose doucement ma bouche, lâche enfin la laisse et la cravache.

Je laisse courir ma langue sur son sexe. Je le lèche, le goûte, l'hume,

La pointe de ma langue s'introduit dans le petit anneau en or qui traverse la peau au dessus de son clitoris.

A chaque pression ou traction sur son anneau, elle pousse un cri. Plaisir ? Douleur ? je ne veux plus savoir ... Chaque cri me provoque une contraction vaginale.  Ces contractions qui rendent fou mon amant lorsqu'il me pénètre. Mais pour l'instant c'est moi qui la rend folle..

Je lèche à en baver et pour un moment, le temps de provoquer un orgasme libérateur chez Sophie puisque c'est son prénom, je suis et redeviens une chienne…

 

(à suivre…)

 

Par bfemme.erog.fr
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 6 avril 2 06 /04 /Avr 00:28

stele

Le rendez-vous était prévu à 12 h 30. Elle est arrivée devant la maison à 12 h 15, elle a attendu, un peu... puis a fini par téléphoner à son amant avant 12 h 25... Elle n'y tenait plus... Ils en parlaient depuis le dimanche précédent, elle s'est endormie 5 fois en imaginant, réveillée 5 fois mouillée, excitée d'en avoir trop rêvé, obligée de se soulager seule, silencieuse...

"Bonjour Catherine" a-t-il dit en décrochant... "Viens, JE t'attends" Menteur... Je sais bien que tu n'es pas seul... 
Elle démarre la voiture, passe le portail, entre dans le garage et actionne la télécommande pour fermer le portail derrière elle...
Son coeur bat la chamade... Elle a un sourire tendu... Un noeud dans l'estomac... Une boule chaude dans le ventre.
Elle longe le couloir, traverse la cave, ferme les portes, éteint les lumières, gravit les marches.
Au niveau du hall, elle s'arrête, sourit, soupire, frémit et hésite sur la direction à prendre... Elle l'entend marcher... Il arrive derrière elle...
Sourires, baisers, regards, caresses... Elle sent que ses mains tremblent...
Il la traîne dans la cuisine, ils parlent peu... elle pose son sac, son blouson ; elle n'est pas surprise par l'homme qui se met à genoux devant elle, soulève sa jupe, écarte son string, lui lèche le sexe en guise de bonjour...
Elle le laisse faire... elle le laisse toujours faire tout ce qu'il veut... tout... elle se sent totalement à lui, toute indécence lui est égale, toute violence aussi... aucun acte entre eux ne lui semble impossible.
Il se redresse et sans plus aucun sourire l'entraîne vers l'escalier qui accède aux chambres.
La première pièce est pour elle... Un genre de boudoir, pour la préparer. En passant, elle a vu que la porte de leur chambre est fermée.
Ses yeux encore libres font le tour de la pièce : 2 lits séparés par un guéridon sur lequel est posé un seau à champagne garni et... trois coupes.
Une fenêtre donne sur le jardin. Des tableaux au mur vite oubliés lorsqu'elle aperçoit sur la commode deux foulards, une cravache, un sex toy... ainsi qu'un collier et une laisse... "Ah ! Quand même..." Elle tremble... Confusément, elle sent son sexe devenir humide, son ventre devenir chaud, ses yeux qui picotent... Le feu dans son ventre explose.
Va-t-elle pouvoir ?
Quel combat se livrent le désir et la peur... !
Il n'en a cure, il la déshabille... le gilet, le fin tshirt, elle porte un soutien-gorge pigeonnant qui fait ressortir sa poitrine généreuse. La jupe de bohémienne est otée... Elle est en bottes, sous-vêtements sexy, une parure violette... Elle est offerte. Il la caresse, écarte ses dentelles pour mordiller ses tétons, lècher ses lèvres ruisselantes de désir. Ensuite, il lui pose le collier de chienne dans la main. "Mets-le."
maitre-dompteur
"Tu exagères..." Mais... elle le met... Elle sent une vague inonder son sexe... Collier, laisse, coupe de champagne, foulard qui lui bande les yeux... Il la guide d'un coup de laisse. Ils sortent de la petite pièce pour pénétrer dans leur chambre... 
A l'entrée, elle résiste un peu... En réalité, elle a peur. Elle a honte, elle se sent humiliée, attachée et menée comme une chienne, vêtue comme une pute. Le projet d'être baisée par un inconnu, d'être offerte à lui dans cet accoutrement... Un bruit feutré, une présence inconnue, un tapis au sol qui n'était pas là les autres fois... Elle laisse échapper un petit rire nerveux qui ressemble à une plainte.
"Alors, tu la trouves belle ?"
"Un fantasme"
Elle baisse la tête, non, la relève...

femme en botte sépia-1

Elle sent alors leurs mains... quatre mains qui l'allument, deux langues qui l'embrassent et la mouillent, elle entend les bruits des vêtements qui tombent au sol. Une main guide la sienne vers une bite en érection, son autre main est posée sur un autre sexe durci.
Seule.
Seule avec son amant et un inconnu.
Un homme qu'elle n'a jamais vu et dont elle a déjà la queue raide en main...
"Belle", "bandante", "sexy", "obéissante", "à genoux", les mots se perdent dans son esprit et elle ouvre les lèvres, laisse passer ce gland inconnu, l'aspire, le prend, l'avale, gobe toute la queue, gémit, mouille, se cambre, sa résistance lâche prise. Elle se cramponne au sexe de son amant serré dans sa main droite.
Sa chatte libérée du carcan du string trop serré la trahit... Elle ruisselle d'excitation, son corps tremble de tensions diverses...
Un coup sur la laisse la remet debout.
Une bretelle de son soutien-gorge est baissée sur son épaule, l'autre glisse aussi, les seins sont libérés, léchés, caressés, déjà malmenés... Les deux hommes échangent des propos salaces, leurs voix sont sourdes, rauques, sévères. Le soutien-gorge est dégraffé, La femme est tirée par la laisse vers le lit. "Mets-toi à quatre pattes." Elle s'exécute, mains tendues en avant, toujours aveuglée par le foulard.
En prenant la position, elle a honte, elle baisse la tête en gémissant. Son string écarté laisse apparaître son sexe ruisselant, son désir est visible et humiliant. Elle ne peut s'empêcher de cambrer ses reins et de gémir plus fort en sentant le doigt, la langue sur sa chatte, puis une main dans ses cheveux, une queue sur ses lèvres. Un coup sec sur la laisse l'oblige à se tordre d'avantage.
Les doigts la fouillent, la langue visite son cul, sa gorge cogne sur la queue de l'homme. Chienne, elle attend que l'autre queue prenne enfin sa chatte... Elle s'impatiente, veut se faire embrocher... pas tout de suite, les hommes se retirent, changent de place, inverse les rôles... d'autre doigts... pour son cul... Une autre queue pour sa bouche... Elle est submergée par cette sensation, ce changement de goût, de texture, de forme, de pénétration... Elle suce sans relâche, se balance d'avant en arrière pour lâcher la queue en s'enfonçant sur les doigts, les quitter pour gober le membre offert.
FINEART6- 21
Enfin la deuxième queue remplace les doigts... Soupir de satisfaction, elle s'étouffe avec le gland durci enfoncé loin dans sa bouche. Elle arrête de bouger... Les coups de queue la pilonnent devant et derrière, bouche et chatte, baisée...
Des mots obscènes survolent son dos, des claques stimulent ses fesses, des mains tiennent fermement sa tête...
Baisée, indécente, excitée, sans complexe, sans retenue... Et c'est bon... La sensation lui semble incroyable...Elle tente de s'imaginer dans cette humiliante posture... Ca n'a aucune importance... Elle s'éclate !
Les deux hommes arrêtent leurs jeux, la retourne, lui écartent les bras, les jambes... Jeux de langues, jeux de bouches, jeux avec les seins, jeux avec la chatte. Le foulard est enlevé... Les yeux de son amant plongent dans les siens. Sourires.
Des doigts s'enfoncent en elle, chatte, cul et même bouche...Elle a l'impression d'avoir trois sexes, trois parties d'elle, très sensibles qui s'ouvrent pour laisser passer tout ce qui veut y rentrer...
La langue sur son clitoris la rend folle, elle est cambrée, ruisselante, son sexe se contracte, le plaisir est immense... Augmenté par la douleur qui irradie de son téton mordillé...
Son excitation atteint son paroxisme... Elle suce à nouveau avec avidité cette belle queue durci qu'elle aime tant. La langue déclenche des vagues dans son sexe, ses gémissements deviennent rauques. Elle est tendue....
Lorsque les doigts et la langue la lâchent, c'est un sexe qui pénètre sa chatte. L'homme est à bout... sa queue dure réclame délivrance, les reins douloureux il la prend sans ménagement, entame des vas-et-viens de plus en plus secs, rapides... Il la fixe des yeux, la regarde sucer avec application mon maître. La vision de cette bouche gourmande déclenche sa jouissance...
La femme se retourne totalement vers la bite qu'elle n'a pas lâchée... Les mains de l'homme attrapent les cheveux bruns, son sexe d'homme lui viole la bouche... Elle sait qu'il va jouir au fond de sa gorge, elle est prête, elle l'attend... Lorsqu'elle le sent jouir, elle passe une de ses mains derrière les fesses de l'homme pour appuyer son corps contre ses lèvres, pour enfoncer au maximum la queue dans la bouche, pour sentir son sperme couler dans sa gorge. Elle le boit, l'avale, sans lâcher la queue, son regard de femme planté dans ses yeux d'homme.
Ils se laissent tomber tous les trois sur le lit, en riant, miment des présentations plus officielles, boivent une coupe de champagne, se frôlent, se regardent... Des mains se remettent à danser sur des corps... Gémissements...
On connaît la suite...
Par bfemme.erog.fr
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires

Journal d'une belle femme

  • Le journal d'une belle femme.
  • : Le journal d'une belle femme.
  • : Vous ouvrez le journal profondément intime de Bfemme. Bfemme est un pseudo imaginé par mon amant. Bien sur tout cela n'est que le fruit de mon imaginaire, de mes phantasmes et de mes souvenirs. Les photos qui on été choisies pour illustrer ces textes ont été trouvées sur le web et dans mon disque dur. N'hésitez pas à exprimer vos émotions, je ruissellerai à vous lire.... Bfemme
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Pages de mon album.

Vos commentaires

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus