Samedi 17 avril 6 17 /04 /Avr 23:49

bf ancien -Fesseur-Severe

La punition

 

Il lui a écrit, furieux de ses provocations sur le net. Elle, elle s’amuse, elle rit d’allumer tous ces mâles qui bavent devant ses publications de bottes, ses photos de pieds nus, les clichés d’elle en robes sexy, ses statuts aux nombreux sens cachés, qui ciblent tel ou tel admirateur… Elle en profite… Il est encore temps… Pour combien de temps ?

 

Il a envoyé un message sec, impérieux, qui la rappelle à l’ordre :

« J’aimerais que tu regardes attentivement le cliché qui est joint à ce mail...

Il te donnera une idée de ce qui t'attend demain, lorsque j'aurai le plaisir de te revoir, ma belle femme.

J'aimerais aussi que tu imagines le bruit de ma main qui va claquer sur ton petit cul…

La magnifique couleur qu'il va prendre va te couper l'envie de monter à Paris pour soutenir ton équipe de foot... ou voir un amant…

J'aurai aimé que tu lises ce mail avant de t'endormir...

Ce n'est pas grave, tu le liras au café (je suis réellement désolé si tu arrives la culotte mouillée.)

Sur ces bonnes paroles, je te souhaite une bonne nuit.

G. »

Le cliché joint montre une paire de fesses féminines rougies par les coups, écarlates de fessées, chatte apparente, dos couvert d’une nuisette blanche, la femme de l’image semble être à quatre pattes sur un sofa…

 

 Le nez dans sa tasse de café, elle sourit, elle sent le frémissement de son sexe, l’excitation qui monte déjà. Le message écrit la veille est découvert pendant le petit déjeuner. Elle le lit, le relit, consulte un second message qui confirme l’heure du rendez-vous… en début d’après-midi :

« Demain, je vais  te prendre sur les genoux, te déculotter comme la vilaine petite fille gâtée que tu es et j'ai la ferme intention de te claquer ton petit cul.

13 heures, soit précise. Tu sais que je n'aime pas attendre »

 

Elle le connaît… Elle sait bien qu’il a déjà scénarisé l’après-midi, pratiquement chaque détail réglé au millimètre… Elle sourit de plus belle en sentant déjà sa chatte indiquer des signes d’humidité… D’abord, s’occuper de son fils, l’accompagner à l’école, quelques courses, retour à la maison… Enfin un peu de temps pour la douche, s’habiller en fille, oublier le traditionnel jean moulant, passer une jupe, des sous-vêtements sexy, dentelle grise qui ressort bien sur le léger bronzage de la peau douce. Peu de parfum, des bottes grises, un collier de perles, des perles aux oreilles également. Un foulard en coton retient négligemment ses cheveux, une écharpe de coton également autour du cou… Un regard dans le miroir… Une bohémienne de luxe… Elle file au rendez-vous.

En voiture, elle se demande quel sera le scénario du jour, sent confusément son sexe déborder déjà de sa cyprine impatiente.

Qu’a-t-il inventé ? Elle imagine tout le long du chemin, arrive enfin, sans s’en rendre compte dans le garage de la villa, sort de la voiture, court à l’étage, fait claquer les talons de ses bottes dans le  couloir, fait irruption dans la cuisine, sourit, se jette dans les bras de l’homme qui l’attend.

Il la regarde surgir en souriant, jupe, cheveux, foulards flottant autour d’elle.

Pas un mot, ou des mots vite oubliés : ils s’embrassent, se frottent l’un contre l’autre, il se démène pour soulever la lourde jupe encombrée de perles et de strass, les mains recherchent les fesses légèrement couvertes d’un simple string.

Elle se cambre, gémit déjà, sourit largement.

Toujours sans mot superflu, il la prend par la main et l’entraine à l’étage ; fièrement la conduit dans leur chambre… Ses yeux à elle font rapidement le tour du décors… Peu de choses ont changé : une bouteille de vin, deux verres sur la commode… Mais c’est le lit qui retient le plus longtemps son regard :

Le collier de chienne, la laisse, le plug anal sont rangés savamment au milieu du lit, à coté d’une barre d’environ un mètre, un anneau fixé à chaque extrémité et des liens passés dans les anneaux.

Le cerveau de la femme analyse rapidement la situation : rien au mur pour accrocher la barre, les anneaux et leurs liens serviront donc pour les chevilles et pas pour les bras. Son regard fixe enfin la cravache….

 

Elle sent la chaleur brûler l’intérieur de son ventre, elle tourne un regard tendre et sérieux vers son homme, elle sait que l’heure n’est plus aux sourires… Lui, si souriant un instant plus tôt contemple sa chose d’un air satisfait…

Il lui met tout de suite le collier de chienne autour du cou… lui enlève la jupe pour la laisser fesses à l’air avec son petit pull de coton.

Il lui explique sur un ton très calme, comme si il parlait à une enfant, l’usage de petits rubans de velcro qu’il lui passe autour des poignets et autour de la taille… Celui de la taille est un peu trop serré.

Entre chaque geste qui entrave un peu plus la femme, pour la transformer en chienne ou en esclave, l’homme a des gestes doux, tendres, il l’embrasse, la lèche,  la caresse, fait jaillir ses seins de son soutien-gorge qu’il a dégraffé.

Il se penche souvent pour écarter son string et goutter à la chatte ruisselante, qui coule d’excitation.

La femme est debout devant un petit miroir mural. Elle se voit : elle voit ses perles disparaître sous le collier de chienne, elle voit ses seins apparaître sous le soutien-gorge déboutonné et soulevé, elle voit la ceinture en velcro serrer sa taille, beaucoup trop fort. Son amant lui fixe les mains à la ceinture. Elle ne peut plus bouger les mains ni les bras.

Il se saisit à nouveau du string de la femme, le tire vers le haut de façon à lui scier la chatte en deux. S'amuse de cet inconfort, de cette douleur, de cette agression du tissu qui fend les lèvres et les écarte. Puis il le fait enfin glisser le long des longues jambes, tapote une botte pour faire comprendre sans mot à l'esclave de lever un pied, puis l'autre. Le string est retiré, jetté dans un coin de la pièce.

L'homme prend la laisse et la passe entre les jambes de la femme, il agresse à nouveau la fente trempée en remontant l'extrémité de la laisse dans le dos, tire vers le haut, le cuir pénètre et s'enfonce entre les lèvres, exerce une pression sur le collier qui oblige la femme pencher son cou vers l'avant et à voir ainsi sa chatte fendue, son clitoris écrasé. Elle sent la lanière agresser son cul, la laisse est fixée à la ceinture, dans le dos.

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Elle jette à nouveau un oeil dans le miroir… Se voit transformée en esclave, en putain. Elle se défie du regard…

L’homme se saisit de la barre et y attache une de ses chevilles. D’un coup de cravache entre les cuisses,  il oblige la femme à écarter les jambes afin d’entraver la deuxième cheville à l’autre extrémité. Elle baisse la tête et se voit offerte, elle aperçoit les lèvres de son sexe qui sont ouvertes. Elle voit et sent son jus couler sur l’intérieur de ses cuisses…

Elle mesure l’humiliation de cette position, mains entravées, jambes écartées… Elle rougit, se sent excitée… Elle ruisselle de désir.

L’homme se met à genoux devant elle et sa bouche se colle à la chatte, il la lèche, la boit, enfonce sa langue dans son sexe, joue à tirer des fils de cyprine sucrée.

Elle ne retient plus ses gémissements. Il donne alors un peu de mou à la laisse qui cisaille toujours son sexe, la penche légèrement vers l'avant et d'un geste sec lui enfonce le plug anal dans le cul. Aussitôt il resserre la laisse autour de la ceinture afin de bloquer le jouet pour l'empêcher de s'échapper. Elle a poussé un cri étouffé, veut se redresser, mais la laisse qui glisse entre ses jambes est tendue, la douleur sur son clitoris est violente.

Il la sent excitée, faite à l’idée d’être ainsi attachée, il reprend la cravache en main et commence la longue et douce séance de punition…

Toutes les zones sensibles de l’anatomie féminine sont claquées, cravachées : les seins, les fesses, les cuisses, l’intérieur des cuisses, la chatte, le clitoris, le ventre, le dos….

L’homme tourne autour de son esclave et il la punit sévèrement de la main, ou avec la cravache. Il vise, claque, prend plaisir aux cris de la femme, aux tétons qui durcissent sous les coups, aux fesses qui deviennent écarlates de claques, au zébrures laissées par la cravache.

Les coups font mal… La femme ne retient plus ses cris ni son excitation.

Elle se cambre ou se penche en avant. Elle manque de tomber, les mains prisonnières ne pouvant la rééquilibrer.

L’homme cesse enfin les coups pour l’embrasser à pleine bouche, contempler son regard vert de femme amoureuse qui le défie encore.

Il lui demande alors de s’approcher du lit, elle s’exécute en mouvements grotesques, humiliants, la barre d’écartement lui maintenant toujours les jambes ouvertes.

Elle est debout face au lit, il la plie en deux, la pousse en avant, l’installe à quatre pattes, pose sa chose comme il l’a fantasmée.

Jusqu’à présent, ce n’était rien… aucune douleur vraiment insupportable, aucune humiliation intolérable.

Maintenant, la chienne est à quatre pattes, cul offert, jambes ouvertes et entravées, pull et soutien-gorge roulés au-dessus des seins, des fessées coléreuses s’abattent sur elle, des coups de cravaches, des doigts autoritaires fouillent ses orifices, sa chatte, son cul, elle se sent violée, violentée, baisée, humiliée…  L’homme lâche le cul pour présenter sa queue devant la bouche de la femme : « suce-moi, suce-moi comme une chienne ». Elle s’exécute… Elle adore faire ça. Son grand plaisir est de plonger sur la queue raide et de l’avaler jusqu’à la garde, de sentir le gland au fond de la gorge, son nez dans les poils masculins, jusqu’à en étouffer…

Il se retire de sa bouche gourmande et lui demande de se mettre sur le dos.

Dans cette position, mains et jambes bloquées, elle ne peut bouger ; il doit l’aider un peu : il détache la laisse de la ceinture, la retourne de force. Elle se retrouve sur le dos, les jambes en l’air. Il sourit froidement et se saisit de la laisse toujours attachée au collier de chienne et la fixe autour de la barre qui écarte les pieds de la femme, bien serrée, tendue, de façon à ce qu’elle ait les pattes en l’air, indécemment, chatte offerte, cul toujours occupé par le sextoy bien visible…

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Il ne lui reste plus qu’à jouer avec ce corps-objet.

Des coups de cravache sur la chatte béante et ruisselante provoquent à nouveau les cris de l’esclave. Elle se tord de douleur, de plaisir, de honte. La ceinture de velcro est intolérable, douloureuse, irritante…

De temps en temps, l’homme cesse les coups et la pénètre, dans sa chatte, dans sa bouche, dans son cul….

Il se sert d’elle comme d’une poupée, comme d’une putain.

Lorsque le regard de la femme devient trop doux, trop soumis, l’homme prend son tshirt et le jette sur le visage afin de cacher ce regard profond. Elle se retrouve dans le noir, submergée par les odeurs corporelles de son amant. Elle respire profondément l’odeur du tissu, oublie pour un temps les douleurs et les plaisirs extérieurs au vêtement… se rend compte qu’elle commence à manquer d’air… Se sent excitée, suffoquant… Elle s’agite  sous le tshirt pour l’enlever, l’homme la baise, elle semble perdre le contrôle de ses sens… Elle se sent couler de désir comme jamais… Il faut qu’elle respire…. L’homme enlève enfin le vêtement.

D’ailleurs, il enlève tout, dégage la laisse, enlève la barre, libère les jambes qui ont du mal à se reposer à plat sur le lit, engourdies, douloureuses, raidies par cette position peu confortable… il libère la taille, les poignets, s’acharne sur les vêtements. Son sourire tendre est revenu. Il la veut nue… Elle s’active, encore ankylosée, veut tout enlever, veut sentir le corps de son amant contre sa peau nue…

Elle est sa chienne, son esclave, sa putain, et bien pire encore. Soumise, obéissante, mais elle n’est rien sans la sensation de sa peau de femme contre sa peau d’homme.

Ils se sourient, rient bientôt. Elle ouvre enfin ses jambes de femme libérée à la langue de l’homme, à ses doigts savants qui la pénètrent, qui la fouillent, qui la violent.

Langue et doigts déclenchent son orgasme. Elle se cambre, mouille d’avantage, gémit, crie, coule, vibre, jouit.

Elle attire vers elle son amant, elle le veut sur elle, en elle… La pénétration tout de suite après un orgasme semble prolonger la sensation. En tout cas, elle révèle un plaisir violent, puissant. Elle veut ressentir ce plaisir.

Il la pénètre, elle contracte son sexe, il la pénètre davantage, elle contracte encore.

A chaque contraction de son vagin, l’homme donne un coup de rein.

Le jeu dure, entremêlé de baisers, de coups de langues, de coups de dents, de coups de griffes, de caresses, de regards, de mots doux et de mots crus.

De temps en temps, l’homme se retire totalement de la chatte avide…

Alors la femme soulève un peu plus ses jambes, son cul, le bas de son dos. Il lui arrive de jouer avec la queue raide et de la faire glisser du cul à la chatte, de la chatte au cul.

L’homme finit par s’agacer de ce jeu, il se saisit de son membre turgescent et l’enfonce sans ménagement dans le cul de sa maîtresse qui n’attendait que ça. Elle crie, elle sourit.

« Je vais te remplir le cul et tu me sentiras tout au long de la journée… » « Oui », dans un gémissement.

Les regards se font plus profonds, les coups de reins se font plus durs, plus forts, la femme écarte ses genoux pour montrer à l’homme ses seins qui sont ballotés à chaque coup de bite.

Les respirations se font plus fortes, les paroles crues flottent : « foutre, baisée, enculée… »

La jouissance de l’homme est puissante, palpable, dévastatrice…

Elle est toujours impressionnée et fière de provoquer un plaisir d’une telle intensité.

Son amant se vide les couilles dans son cul et elle trouve ça beau.

Elle sourit, il revient lentement à la réalité, se laisse tomber, soupire, sourit enfin et l’attire à lui pour la serrer, l’adorer, la caresser. Elle le mange des yeux.

Elle se met en boule contre lui, ils ferment les yeux, font le plein de sensations et d’odeurs… Une bulle de jeux et de bonheur.


 

Par belle femme
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Commentaires

Merveilleux, bandant, fou de désir. Quel plaisir a du prendre votre homme
commentaire n° :1 posté par : admirateur le: 18/04/2010 à 22h33
Une belle histoire, bien menée et excitante comme un porno chic. Ta plume a l'air aussi habile que ta langue et tes mots sont parfois aussi tranchants que les lanières de cuir qui ont caressé tes fesses... Bravo ! aussi excitant pour une femme que je suis que pour un homme, je suppose...
Charlotte.
commentaire n° :2 posté par : Charlotte à bulles le: 20/04/2010 à 18h17
Son écriture également a déchaîné des tempêtes...
commentaire n° :3 posté par : bfemme le: 20/04/2010 à 18h52
Oh que c'est bon e relire certain passage
commentaire n° :4 posté par : etienne le: 13/05/2010 à 05h31
les lire... les revivre ?
commentaire n° :5 posté par : bfemme le: 13/05/2010 à 11h09

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  • : Vous ouvrez le journal profondément intime de Bfemme. Bfemme est un pseudo imaginé par mon amant. Bien sur tout cela n'est que le fruit de mon imaginaire, de mes phantasmes et de mes souvenirs. Les photos qui on été choisies pour illustrer ces textes ont été trouvées sur le web et dans mon disque dur. N'hésitez pas à exprimer vos émotions, je ruissellerai à vous lire.... Bfemme
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