Vendredi 23 avril 5 23 /04 /Avr 23:05

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Echange de mails sur Facebook :

De Carine à Sophie :

« Amies ? Sur une suggestion d'Etienne G...

Ferons-nous un plongeon ensemble ? »

De Sophie à Carine :

« Bonjour ! Pourquoi pas faire un joli plongeon toi, moi et mon copain Pierre, un de ces dimanches ? ;);) »

De Carine à Sophie :

« Un proposition bien alléchante... mais je ne plonge pas sans Etienne, au propre, comme au figuré...

:-)))))

à bientôt... »

De Carine à Etienne :

« Je ne plonge pas sans toi, il n'en est pas question. Tu es mon homme, mon plaisir est de mon montrer à toi, ou de me donner à toi...

J'ai envie de toi à en avoir les larmes aux yeux ( et des crampes au poignet)

bisous mon tendre mec »

D’Etienne à Carine :

« Tu es mon trésor »

 

Tout a commencé sur Facebook…

Toujours sur une suggestion d’ami, Carine a fait la connaissance d’Etienne… D’échange de bons mots en échange de mots coquins, ils se sont donné rendez-vous et sont devenus amants. De moments de plaisir en moments de plaisirs plus osés, ils ont échangé leurs fantasmes, en ont mis certains à exécution, partagent des jeux de plus en plus poussés, ont encore de nombreux projets à réaliser.

D’un accord commun et tacite, ils sont fidèles l’un à l’autre, et si l’un d’eux a envie d’une tierce personne, c’est un jeu à trois qui est organisé, sans tabou, sans retenue, ils vont au bout de leurs envies.

   

Etienne connait Sophie depuis un an. Il a découvert d'etonnantes facettes trés recement.

 

Etienne, Sophie et Pierre, le compagnon de Sophie se sont  fixé un rendez-vous  pour une plongée .

Après la plongée, le remontant aidant, les langues se délient, on parle de tout, de rien, on parle aussi un peu de coquineries. Mais un bout de phrase  dans la bouche de Sophie retient l’attention d’Etienne :
''Fessée une belle invention... ''.

Carine a innitié Etienne recement aux plaisirs d'une fessée bien donnée et bien reçue.

Etienne la délivre avec un plaisir grandissant  et Carine les reçoit avec le même contentement.

Mais dans la bouche de Sophie ? Pourquoi cette allusion ? Ce plaisir ne semble pas si courant ?

 

 

Au cours des jours qui suivent, Etienne raconte sa journée avec ses nouvelles connaissances, décrit Sophie à Carine, son charme, son allusion aux fessées, son gout pour la lingerie et les escarpins …Sophie est une femme superbe, grande, blonde, des fesses et des seins magnifiques et surtout un rire éclatant. Il évoque l’envie qu’il aurait de les voir ensemble...


Etienne a senti que  Sophie était une femme directe. Un bref échange téléphonique permet de s'assurer sans détour de l'envie de Sophie et Pierre de vivre des choses peu ordinaires. 


Des fantasmes naissent, lentement… de part et d’autres…

Carine rêve de posséder une femme soumise, esclave de ses sens, obéissant à ses ordres les plus sévères, Sophie est toute disposée à se transformer en soumise, à subir une autorité féminine et à jouer à ces jeux pervers qu’elle apprécie sans retenue…

Carine et Sophie finissent par devenir « amies sur Facebook » et voici donc l’origine de cet échange de mails pleins de sous-entendus…

Cependant, la femme étant ce qu’elle est… chacune tire la couverture à soi… ou plutôt, chacune a une préférence pour la présence de son homme…

D’autant que Pierre ne semble pas avoir très envie de partager Sophie avec un autre homme… Quant à Etienne, sa position est plus tolérante ...en apparence…

 

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Il ne reste donc qu’une solution… Les deux femmes vont se donner en spectacle aux deux hommes, spectateurs, voyeurs dévoyés à ces jeux obscènes…

 

Ainsi soit-il, le rendez-vous est pris.

Il a fallu cependant penser et organiser un peu le scénario… En effet, il ne suffit pas de se rencontrer et de se dire : « Toi, tu te mets là, moi ici, etc… » Difficile d’improviser pour la mise en place… Après, on se laisse porter par le courant, mais pour démarrer, il faut un script… C’est du sérieux…

 

Etienne et Carine arrivent chez Sophie et Pierre à l’heure convenue. Pierre ouvre la porte, les fait entrer, présentations rapides, vite une coupe de champagne, Sophie reste invisible.

Direction la chambre où Etienne reste seul avec Carine qui se prépare : vêtements enlevés, elle reste en bottes à talons, sous-vêtements noirs, cravache à la main.

Des sex-toys et différents accessoires sont déjà prévus à portée de main, Carine sort les siens de son sac.

Foulards, cordelettes, pinces, harnais, godes, préservatifs, tout est prêt…

Un petit coup à la porte qui s’ouvre sur une Sophie qui apparaît enfin, tenue en laisse par son homme, les yeux bandés, vêtue d’un string blanc.

Pierre la guide vers Carine et confie la laisse à celle-ci… Les deux hommes silencieux vont s’asseoir.

Carine ne dit rien, ne tire pas sur la laisse, contemple sa proie sans bouger.

Sophie ne sait que penser, bouge un peu les mains nerveusement puis laisse tomber ses bras le long du corps, immobile, elle attend…

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Carine commence à frôler le corps de son esclave du bout de la cravache, le ventre, les seins, le cou, la bouche qu’elle force à s’ouvrir en y appuyant le bout en cuir souple pour qu’il la pénètre. Dès que Sophie a une réaction et commence à sucer le bout de la cravache, Carine le retire et recommence son jeu. La cravache glisse le long du cou, les épaules, descend dans le dos, Carine tourne autour de sa chose en la tenant toujours en laisse, l’agace avec son instrument de douleur, délicatement, atteint les fesses, glisse dessus, semble les ignorer, descend sur les cuisses, entre les cuisses, l’intérieur des jambes, les mollets, les chevilles, les pieds.

Carine prend soin de ne pas faire de bruit, de passer partout sur le corps qui s’est mis à trembler d’attente et d’excitation.

Un premier coup de cravache claque sur les fesses, la partie la plus charnue, celle qui appelle le plus la violence et l’autorité.

Toujours sans un mot, Carine tire Sophie vers le lit, s’assoit au bord et guide son esclave vers elle, la force à se pencher, à se plier et à se soumettre : elle l’allonge sur ses jambes de façon à ce que le bassin de Sophie soit sur les cuisses de Carine. Ainsi Sophie a les fesses bien offertes, légèrement surélevées…

Sans ménagement, Carine coince le bas de la laisse au sol sous ses bottes et baisse le string blanc jusque sous les fesses de Sophie. Elle pose ensuite sa cravache et entreprend de caresser le cul ainsi offert.

Les deux hommes assistent à la scène sans un mot, leur érection se voit dans leurs vêtements… Tout le reste de leur corps semble figé.

Enfin, Carine se met à parler… Tout en caressant la lune offerte, elle donne les consignes à son esclave :

« Pour le moment, tu te comportes bien, c’est parfait. Je vais te préparer un peu le cul pour le chauffer… Ce n’est pas une punition, loin de là… Mais il faut que tu sois sensibilisée  aux punitions que tu risques d’avoir. Pour ça, tes fesses doivent être déjà bien rouges et brûlantes. » En disant cela, Carine commence à donner des claques sur les fesses fermes de Sophie, elle claque méthodiquement chaque parcelle de peau afin d’y imprimer ses marques, d’en prendre possession. Elle assène des fessées régulières, pour  que l’autre sache quand elle va ressentir la douleur. Les gémissements de Sophie se transforment bientôt en cris, elle se met à remuer, tente de se dégager, prend appui sur les bras… Mais la laisse toujours maintenue coincée sous les bottes l’en empêche.

« Arrête de bouger comme ça, sinon, j’attaque vraiment les punitions » Sophie s’immobilise.

La maîtresse cesse de frapper, se saisit de la laisse et en faisant tourner le collier passe la laisse dans le dos de l’esclave, elle lui prend ensuite les deux bras, les plie dans son dos et les attache avec la laisse, bien serrés.

Elle prend ensuite la cravache et claque les cuisses encore intactes avec la cravache qui fait un bruit sec en s’abattant sur la peau fine.

L’esclave crie, se retient de bouger, Carine sent son sexe déborder d’excitation. Elle lève les yeux vers les deux hommes qui ont les visages tendus, pantalons ouverts maintenant, ils se branlent en contemplant la scène… Ne pas intervenir doivent-ils se dire…

« Vous devriez vous mettre à l’aise, ce n’est qu’un début… » leur suggère Carine, souriante.

Sans plus s’intéresser à eux, elle libère les bras de Sophie, la pousse afin de pouvoir se lever et la guide sur le lit. « Mets-toi à genoux, tu garde ton string comme il est, sous tes fesses »

L’autre s’exécute…

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Carine se met en face d’elle, à genoux également, pose la laisse et la cravache et se penche vers la bouche de la femme soumise pour frôler ses lèvres avec les siennes. Le jeu dure un moment, jusqu’à ce que les deux langues deviennent incontrôlables et s’emmêlent, l’une et l’autre… Imperceptiblement, les deux femmes se rapprochent, dressées sur leur genoux, les mains entre en jeu, les corps se collent l’un à l’autre, elles se frottent, se caressent, s’embrassent maintenant à pleine bouche, l’une aveuglée par son foulard, l’autre les yeux fermés, tout à la douceur de cet échange sensuel, féminin, emprunt de chaleur, de force animale. Elles gémissent de concert, oublient pour un moment le jeu de rôles où chacune à sa place… Carine, les mains dans les cheveux de Sophie la libère de son foulard, les yeux s’ouvrent, elles se découvrent, se sourient, reprennent leur baiser, se séparent, échanges des mots crus à voix basse : « belle salope », « je vais bien m’occuper de toi », « dévorer la chatte », « baiser le cul », « chienne »…

Elles jettent un œil curieux aux hommes qui ont leur queue raide dans la main, sourient de plaisir…

Carine se ressaisit la première, elle est la maîtresse, elle reprend la laisse et ses droits…

« A quatre pattes » Lorsque Sophie a pris la pose qui satisfait Carine, celle-ci se déshabille lentement, en fixant les deux hommes, face à eux. Soutien-gorge, seins libérés, le string mouillé de désir est lancé sur les genoux d’Etienne qui s’en saisit et le porte à sa bouche. Carine retourne vers le lit, s’y installe.

« Viens me lécher comme une chienne soumise que tu es. Garde bien ton cul en l’air… Ces messieurs doivent se rincer l’œil… Peut-être même en profiter »

Sophie s’exécute, plonge vers les cuisses ouvertes de Carine qui s’est allongée sur le dos, a repris la laisse d’une main et la cravache de l’autre. Elle tient fermement le lien de cuir  tendu et tapote sur les épaules et le dos de Sophie avec la cravache, pour la motiver, pour la rappeler à l’ordre en cas de manque de motivation.

Sophie attaque le cunni du bout de la langue, délicatement, en partant du cul de sa maîtresse pour remonter lentement jusqu’au clito. La chatte offerte est ruisselante, sucrée, trempée. Bientôt, Sophie plonge sa langue au plus profond du sexe béant, y colle sa bouche, ses lèvres, sent son menton dégouliner de cyprine chaude. Sans lâcher la laisse, Carine attrape Sophie par les cheveux pour plaquer son visage contre sa chatte et s’y frotte pour le mouiller, l’imprégner de son odeur. Lorsqu’elle lâche les cheveux, Sophie a le bas du visage inondé, luisant de salive sexuelle.

« Enfile-moi tes doigts »

L’autre s ‘exécute encore, glisse un doigt, puis deux, puis d’autres, Carine en perd le compte, s’écroule en arrière, ferme les yeux, laisse échapper un râle puissant, à la mesure de son orgasme qui dure à n’en plus finir… Elle tire finalement sur la laisse pour

mettre fin à la dégustation de la soumise qui a toujours le cul en l’air.

« Ne bouge pas » ordonne enfin la maîtresse qui a repris ses sens lentement. Elle se lève, va vers le guéridon où sont présentés les jouets, se saisit de plusieurs d’entre eux et revient vers le lit, du côté du cul de la belle offerte. Enfin, elle lui retire son string, puis, avec l’aide de la cravache, sans frapper, juste en faisant appui sur les cuisses, lui écarte les jambes et entreprend de fouiller sa chatte dégoulinante de deux doigts sévères…

Un troisième doigt suit, puis un quatrième…

La maîtresse prend possession du sexe de son esclave.

« Tu aimes ça… tu aimes te faire fouiller comme une chienne, tu aimes te faire baiser par mes doigts… Je vais faire mieux que ça… je vais te baiser le cul aussi. »

Joignant le geste à la parole, elle retire ses doigts de la chatte demandeuse pour y glisser un beau gode, long, souple, jusqu’au fond du vagin, lentement, profondément… Elle le retire tout aussi lentement pour l’enfoncer à nouveau. « Je pense qu‘il est suffisamment mouillé comme ça » Elle le fait remonter lentement, le fait glisser sur le petit bout de chair sensible entre la chatte et le cul et appuie fermement le gland de latex contre le trou sombre qui s’ouvre sans difficulté sous la pression.

Le gode disparaît sans résistance au fond du gouffre noir. Sophie pousse un cri de plaisir, cambrée, tendue.

Carine appuie fermement sur les épaules de Sophie pour les plaquer au lit et commence à faire des va-et-vient avec le sex-toy dans le cul de Sophie. Elle lui demande ensuite d’écarter ses fesses avec ses mains afin de l’empaler encore plus profondément. Lorsqu’elle sent que le gode a atteint la limite, elle dit : « Mets-toi sur le dos, je n’en ai pas fini avec toi. »

Sophie se laisse tomber sur le côté, se met sur le dos, écarte spontanément les cuisses.

Carine prend des pinces à seins qu’elle avait sélectionné parmi les jouets et les fixe délicatement sur les tétons de sa victime, mais la douleur reste violente, Sophie crie et fait un geste comme pour enlever les pinces.

Carine, furieuse se jette sur la cravache en disant : « Arrête ça tout de suite ! » et pour bien se faire comprendre, commence à cravacher la chatte offerte de Sophie qui crie de plus belle sous la douleur brûlante, mais écarte tout de suite les bras pour montrer qu’elle ne touchera pas aux pinces.

Carine se calme, sourit, s’installe à genoux entre les cuisses de sa douce soumise et s’approche de sa chatte, la contemple, la découvre, l’ouvre encore plus qu’elle ne l’est déjà en tirant ses petites lèvres luisante de suc vers l’extérieur. Elle plonge à pleine bouche vers ce sexe attirant et se remet à manipuler doucement le gode toujours enfoncé dans le cul. Elle n’oublie pas de glisser un doigt délicat dans la chatte qui coule abondamment, en insistant sur la petite colline douce cachée derrière le clitoris… Elle joue, elle lèche, elle manipule, elle bave, elle lime, elle empale, elle baise tendrement et profondément les deux sexes frémissant de désir… L’orgasme de Sophie est intense… Sa plainte de plaisir précipite auprès d’elles les deux hommes qu’elles avaient oubliés. Ils veulent les regarder de près, ne pas en perdre une miette, prendre part au festin…

Encore passifs, bien qu’ils soient en train de bander de façon impressionnante, ils ne les touchent pas, respectent encore leur jeu pour quelques instants, mais sont au bord de l’explosion.

Lorsque les deux femmes se séparent enfin, chacune se tourne en souriant vers son amant et s’offre à lui, pantelante, docile, aimante.

Les hommes reprennent possession de leur femme respective et en jouissent, avec fougue et passion, avec une pointe de jalousie, une forme de fierté et de contentement.

Tout le monde sourit… C’était un beau spectacle…

Par belle femme
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