Jeudi 8 avril 4 08 /04 /Avr 02:40

cul-sépia

Je suis content de retrouver ma chambre. J’ai parcouru le long couloir désert en regardant tous les numéros de chambre. J’ai présenté ma carte magnétique et je me suis réjouis du chuintement mécanique de la serrure. J’aime les mécaniques simples. J’adore ces serrures électroniques.

J’ai jeté mon blouson sur la console de l’entrée. La chambre est spacieuse.. Je remarque que l’odeur de sa chambre est agréable. Un parfum d’hôtel, mélange de matériaux neufs, de parfum de femme, et probablement d’effluves de la ville. J’avance dans l’obscurité de la chambre vers la grande baie vitrée qui s’ouvrait sur la rade. La chambre est trop chauffée. Je trouverai bien le moyen de stopper le chauffage avant de dormir.

J’écarte les rideaux doucement pour découvrir la ville à mes pieds. Comme chaque fois, j’ai l’impression de la découvrir à nouveau.

 Je sens le vent froid sur la vitre. Je perçois le bruit de la ville.

Je sens soudain la présence derrière moi. Un frisson me glace le dos. Les poils de mes bras se hérissent. Lentement je me retourne et vois la silhouette debout derrière moi.
 Une femme se tient debout dans le noir, appuyée contre la paroi qui sépare la chambre de la salle de bain.
 Elle est face à moi. Très faiblement éclairée par la lumière de la ville je n’arrive pas réellement à la détailler. Handicapé par ma peur, je recule et mon dos rencontre la baie vitrée. Je passe en revu les hypothèses et je cherche à lire dans le visage de la femme ses intentions. J’écarte les rideaux et elle apparaît plus nettement. Elle se tient droite les jambes légèrement écartées. UN seul problème : Elle n’est vêtue que d’une sorte de maillot pâle sans manche. Je distingue maintenant clairement ses jambes nues. Elle n’a toujours pas bougé et je ne sais toujours pas si elle a les yeux ouverts.
Ma panique a disparu. Je sens de nouveau mes bras et mes jambes. Mentalement je cherche un objet qui puisse me servir à me défendre, à armer mon poing pour frapper si cette femme avait de mauvaises intentions. Une seconde personne pourrait être cachée dans la salle de bain.

Sans prononcer un mot je commence à avancer vers la femme. Parler pourrait précipiter l’action. Je ne suit pas encore prêt mais je sens qu’il n’y a pas de danger. Je continue d’avancer et je la distingue mieux maintenant. Elle n’a toujours pas bougé. Son immobilité me rassure et m’intrigue. Je devine la courbe et le volume de sa poitrine sous le « marcel ».

En descendant mon regard accroche sa culotte blanche. Ses jambes sont longues et fines. Sa peau faiblement éclairée par la lumière de la ville semble clair. Elle est grande et ses jambes légèrement écartées reflètent son assurance.

J’avance encore et suis maintenant à 3 mètres d’elle. Elle n’a pas tourné son visage vers moi et elle donne l’impression d’avoir les yeux fermés.
Si je continue d’avancer je vais rentrer dans son espace et la confrontation va devenir inévitable. Elle a le visage baissé vers sa poitrine et ne dégage pas d’agressivité.
Habitué maintenant à la faible luminosité je peux la détailler de la tête aux pieds. Elle n’est pas nue mais je devine son corps sous ses vêtements. Je pense que sa poitrine est un peu lourde et j’aime ce volume. Ses bras pendent le long du corps et ses doigts sont posés sur ses cuisses. Elle est chaussée de bottines.

Je la mate et je ressens un frisson. Un frisson déjà ressenti lorsque j’ai été dans la peau d’un voyeur.

Je décide de prolonger ce curieux vis-à-vis. Je fais un pas de plus et je suis maintenant pratiquement en face d’elle. Son regard semble toujours baissé dans une position de soumission animale. Je me concentre sur son visage. J’aimerais être rassuré et savoir si elle a toujours les yeux fermés. Le regard est le premier avertisseur du danger. Tous les animaux le savent.
Mon approche est celle d’un prédateur qui veut surprendre sa proie. Je n’ai pas prononcé un mot et m’efforce d’avancer le plus lentement possible. Je suis sure qu’elle me voit, qu’elle sait ma présence mais simule la soumission.
Je me penche en avant et mon visage est maintenant à 50 cm de son épaule. Je veux en profiter pour la sentir. Comme si son odeur pouvait ma rassurer sur ses intentions. Elle n’a pas de parfum mais dégage une odeur de propre. Je suis concentré sur mes sens. Un curieux sentiment animal, un truc de prédateur. La proie est assurée. Cette femme se donne et elle va être à moi.
Toujours sans bouger, à 50 cm d’elle, nos 2 corps se font face. Elle quasiment nue, moi en chemise. Un moment de silence dans la rumeur de la ville et je perçois son souffle. Profond, tranquille. Sûre d’elle et de son désir. Combien de temps peut durer ce tête à tête ?

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Je ne veux pas prolonger cette situation et j’avance très lentement mes mains pour la saisir par les épaules. C’est sûrement une déglinguée et je ne vais pas passer la nuit à la mater, même si j’y prends du plaisir.

Lorsque mes mains se posent sur ces épaules je suis prêt à toutes réactions. Sauf qu’elle n’en a pas. Immobile, elle reste immobile.

Immédiatement, la douceur de sa peau et sa placidité me procurent du plaisir. C’est clair maintenant que cette femme est une proie consentante. Je m’amuse à descendre mes mains le long de ses bras guettant une réaction.

Je m’arrête sur ses mains prêt à les saisir si elle bougeait. Je sais ses cuisses nues un peu plus bas. Mes mains continuent à descendre le long de ses cuisses et j’y prends maintenant un grand plaisir. Mes doigts sentent le grain de sa peau. Délicieusement offerte. Mon visage est maintenant à 30 cm de son ventre et mon regard se pose sur sa culotte blanche. Elle a des hanches et mes doigts les dessinent. Je continue le jeu et mes mains la caressent jusqu'aux chevilles.

L’appréhension est remplacée par une excitation violente. Ma bite est trop à l’étroit dans mon caleçon et je me tortille pour la dégager. La laisser grossir.

Sans quitter la peau de ses jambes, mes mains remontent le long de l’intérieur des cuisses toujours un peu écartées.
Elles rencontrent enfin sa culotte. Avec la dos de la main j’exerce une pression contre son sexe. Je sens immédiatement la chaleur et l’humidité qui transpercent le tissu de sa culotte…Je marque une pression plus forte et perçois très bien le volume de son sexe. Est-il gonflé ? Fermé ? Ouvert ?

Cela je ne peux le deviner complètement. En tournant la main droite toujours appuyée contre son sexe, ce sont mes doigts maintenant qui devinent sa fente. Très doucement je fais avec mon majeur des mouvements d’avant en arrière pour enfoncer un peu le tissu entre ses lèvres. Le sexe d’une femme est toujours doux mais la présence du tissu entre sa chair et mes doigts brouille les sensations. La vue d’un sexe de femme est toujours un stimuli. Le toucher est plus fort encore. Mon doigt est mouillé. Elle coule au travers du tissu de sa culotte. Heureusement qu’elle en porte une ! Et moi je bande maintenant comme un âne.

Enfin je perçois un frémissement lorsque j’effleure avec mes doigts ses lèvres qui sortent gonflées de part et d’autre de sa culotte devenue trop étroite. « Cette femme est culottée » c’est le cas de le dire et cette pensée m’arrache un sourire.
Je lève mon regard vers son visage. Ses yeux sont toujours fermés mais un sourire est apparu sur ses lèvres. Un sourire de désir, de plaisir. J’ai soudain le sentiment que je connais son visage. La quarantaine, un visage associé à un travail, à une fonction, à une autorité. Mais bien sur je suis trop excité pour arriver à me concentrer sur ce souvenir. Et puis je m’en fous. Cette femme est venue se faire prendre, je vais la prendre. Je dégage maintenant mon sexe qui sort de mon caleçon raide contre mon ventre.

Les femmes que j’ai rencontrées m’ont toutes offert une chatte différente. Chattes ouvertes haut sur le ventre, presque sous le nombril ou parfaitement cachée entre les fesses. Petites lèvres apparentes ou rentrées. Clitoris volumineux ou quasiment inexistant. Sans parler des poils qui ont toutes les textures, odeurs et apparences. Toutes ces combinaisons font qu’il n’existe pas deux chattes identiques.
Personnellement, j’aime lorsque les lèvres sont apparentes. Les chattes de femmes mures, apparentes.
Toujours immobile, je laisse mes doigts presser et caresser son sexe avec insistance. Il semblait toujours qu’elle avait les yeux fermés. Le liquide qui inonde maintenant mes doigts et sa culotte est visqueux. Je ne peux m’empêcher de sentir ma main. Je sais ce geste vulgaire et je ne l’aurais pas fait en plein jour avec une maîtresse.
J’ai soudain envie de lui faire goûter son désir et lui fourre ma main ruisselante dans la bouche.

Il est évident maintenant que le corps de cette femme est superbe.

 

Toujours immobile, je remonte mes mains le long de son ventre sous le tricot. J’evite le nombril. Les femmes n’aiment pas qu’on leur touche le nombril. Ce mini trou sans défense pourtant si attirant.
Je ressens une décharge terrible dans le sexe lorsque mes mains arrivent sous sa poitrine. Ses seins sûrement lourds forment un pli contre la peau du ventre. La transpiration humidifie ces plis. Avec le plat des mains je prends le dessous de ses seins que je remonte un peu comme si je les soupesais. Leur poids ferait bander un mort.  
Ruisselante, la poitrine prise, elle doit se sentir vulnérable et moi je me sens prédateur.
Avec le plat de la main j’effleure ses tétons qui sont durs comme des bouts de bois.

Je remonte son marcel jusqu’au niveau de sa poitrine et je pense que je dois pouvoir le faire tenir en l’appuyant contre ses tétons. Echec : Le "marcel" retombe sur son ventre..Je souris encore.

Mon regard cherche le sien. Je me fige, elle me regarde et je distingue parfaitement ses yeux grand ouverts
Ses cheveux bruns et raides coupés court. Je remarque aussi la largeur de ses épaules. Ce qui accentue sa silhouette forte et féminine.
Il me semble qu’à ce moment la ville se tait et j’entends ou devine sa respiration puissante.

Elle éprouve du plaisir a se faire prendre par un type qu’elle ne connait pas. Du moins je ne la connais pas.

Je lui dépose une baiser sur l’épaule et je remonte jusque dans son cou. Mon nez dans ses cheveux, elle gémit et tremble un long moment, tant que mes lèvres parcourent son cou.

Elle sent le propre, la crème pour cul de bébé.

 

Ma main droite se pose de nouveau contre son sexe et je décide de lui tomber sa culotte. Doucement je lui descends sa dernière protection sur les genoux. Dégageant son sexe. Ses mains toujours posées contre ses cuisses elle aurait pu me bloquer sans problème. Je retrouve alors son sexe plus ruisselant et ouvert. Trois poils se battent en duel et je les caresse du bout des doigts. Un brusque mouvement de bassin en avant trahit son excitation. Avec la main droite je dégage ma queue de mon caleçon devenue trop étroit et commence à me masturber. Son bassin oscille d’avant en arrière et ma main gauche se fait plus ferme. Je sens son clito rouler sous la peau ; je me branle sans retenue. Elle me donne maintenant de solides coups de reins et ses fesses tapent contre la paroi de la salle de bain. Je me déconcentre. Son plasir prend le dessus sur le mien et la montée de son orgasme me fait peur de nouveau. Va-t-elle hurler?

Avec le plat de la main je lui mets une petit claque sur le pubis et cela déclenche son plaisir. Ses mains s’emparent de ma main. Elles la pressent contre sa chatte agitée de spasmes. J’introduis 2 ou 3 doigts dans sa fente gonflée et  inondée. Je sens des contractions. Elle jouit fort et bien. Elle tombe à genoux et pousse un gémissement puissant.

Je me presse la queue et mon bassin avance pour lui poser ma bite contre le visage. Je sens son plaisir monter le long de ma bite et je jouis contre son visage. Irrespectueusement…

Je réalise que cette femme n’est ni dérangée, ni apeurée, elle a simplement joui de sa proie. Et sa proie c’est moi.   

 

A suivre.

  

Par belle femme
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