Mardi 6 avril 2 06 /04 /Avr 07:10

bf stele esclave

Je lui ai fixé rendez-vous dans un bar. Elle est arrivée, belle, élancée, de taille moyenne, sportive… De l’allure…

« Pas mal » ai-je pensé et d’un geste nonchalant de la main je lui ai fait signe de s’asseoir. Ce qu’elle fait.

J'apprends que son prénom est Sophie. Je lui explique en quelques mots clairs ce qu'elle entend par bribes, sans vraiment y faire attention. De toute façon, elle sait ce qui l’attend, elle est là pour ça… Le pire…

Les mots caressent ses oreilles… Tu seras esclave, soumise, obéissante, punition, laisse, tutoiement, vouvoiement, silence, humiliation…

Je ne t'appelerai que "Esclave" Elle acquiesce, déjà silencieuse… 

Je me lève,  elle me suit, monte en voiture, frissonne, ferme les yeux, se laisse conduire.

Après quelques minutes de route, je prends un foulard et le lui tends  en lui disant : « Bande-toi les yeux avec ». Ce qu’elle fait.

La voiture ralenti, semble franchir un portail, ralenti encore, s’arrête… Moteur coupé, bruit de la porte du garage qui se ferme. Un bruit sec.

Je  sors de la voiture et aide ma passagère aux yeux bandés à se mettre debout. Puis je sors de mon sac un collier de chien ainsi qu’une laisse. « A partir de maintenant, tu es ma chienne : mets ça à ton cou. » L’esclave obéit.

 

Je la guide à l’intérieur de la maison, couloir, cave, escaliers, hall d’entrée, premier étage, première chambre…

Je m'assieds sur le bord du lit, attire par la laisse mon esclave près de moi,  la tire vers le bas, la force à se pencher en avant jusqu’à ce qu'elle se trouve allongée en travers de mes jambes.

Je replie   et attache les bras de l’esclave relevés dans le dos avec la laisse…

Puis mes mains descendent vers la jupe qu’elles soulèvent pour dégager les fesses. Un string blanc apparaît. Je le le baisse rageusement sous les fesses de la bientôt soumise…

Les mains traînent sur la lune lisse et blanche… Puis se soulèvent doucement et débutent un ballet sonore et claquant sur le cul de la belle.

Entre deux fessées, je lui explique gentiment que je doit préparer les fesses aux punitions futures… Afin qu’elles soient déjà rougies, chauffées, ainsi bien plus sensibles aux principes d’éducation. Les prochaines fessées brûleront, les coups de cravache seront mieux sentis…

Des gémissements d’excitation commencent aussi à s’entendre, entre les mots, ou par-dessus les mots ; preuve que nous pronons un égal plaisir à donner ou à subir la violence.

Enfin, le leçon s’arrête : « Mets-toi debout et déshabille-toi entièrement ; mais tu gardes le foulard et tu restes une chienne : collier et laisse. »

Une fois nue, l’esclave est traînée vers l’autre pièce… Un grand lit ouvert nous attend.  Je fait mettre mon esclave à quatre pattes sur le lit. Mes mains se posent encore sur les fesses mais sans brutalité, au contraire : doucement, presque tendrement…. Les fesses sont rougies et chaudes, la chatte est bien visible, le cul exposé… Mes doigts s’amusent à aller vérifier l’effet de la fessée sur le sexe encore fermé.  Une pression de l’index et du majeur fait céder les petites lèvres et mes doigts sont engloutis par ce sexe inondé, la vulve se contracte sous la pression de mes doigts, l’esclave gémit et se cambre, je sourit…

Mes doigts se retirent brutalement… bruits de tiroirs, bruits indéfinissables, mouvements et soudain un objet doux, oblong, dur pénètre dans le vagin, au plus profond, poussé avec autorité. Cri de l’esclave. Claque immédiate sur les fesses. « Tais-toi » Nouvelle claque. Elle m'entend cracher, ma salive tombe sur le cul de la prisonnière, suivie d’un plug anal qui prend judicieusement possession du lieu. L’esclave gémit, ne crie pas…

 

femme à la cravache

Je fait le tour du lit, me saisis de la laisse. Je la tire vers le bas de façon à obliger ma servante à se mettre à plat ventre. Je vais de nouveau fouiller dans le tiroir pour en sortir une cordelette avec laquelle j'entrave les pieds  et les jambes de l’esclave.
Je prends ensuite le temps de me dévêtir totalement en regardant ma proie toujours aveuglée… Puissance, sourire, satisfaction profonde…

 

 

Lentement, après avoir fait le tour du lit, nue, m’installe jambes écartées face au visage de mon esclave, à quelques centimètres… En souriant je glisse mes doigts entre les lèvres de mon sexe déja trop mouillé. Je suis folle de cette sensation de vulnérabilité que me procure l'humidité de mon sexe...Je regarde le filet de ciprine qui s'etire entre mes doigts et mes petites lèvres. L'intérieur de mon sexe ruisselle et je le vérifie en introduisant mon majeur. Comme toujours cette vague de plaisir que je connais si bien  me fait frissoner...

Mais je dois oublier cette vulnérabilité. Elle sent les mouvements du lit, les jambes de chaque côté d’elle, elle sent ensuite une main qui lui libère les yeux, elle ouvre les yeux et voit tout d’abord ma toison brune, fine, soignée… Elle lève ensuite les yeux sur mon ventre bronzé, mes seins lourds, hâlés par le soleil, mon visage que je veux  impassible… Elle ne baisse pas tout de suite les yeux vers mon sexe, elle attend mes ordres. Ils viennent sur un fin sourire :

« Tu vas comprendre maintenant ton statut de chienne, tu vas me lécher, tu vas me lécher la chatte à me faire jouir, et après, tu me lècheras encore… Ma cravache et ta laisse te motiveront… »

Alors l’esclave baisse les yeux vers mon sexe offert, approche sa bouche, sur un regard insolent  fait pointer sa langue rose qui se pose délicatement à la base de ma fente déja bien ouverte… Un petit coup de cravache met enfin la femme-chienne à l’œuvre. Ses coups de langue se font gourmands, appliqués, tantôt lents, tantôt rapides… Ma chatte est léchée méthodiquement, en surface ou en profondeur, intégralement, avec une pointe d’insistance sur le clitoris…

 

Chaque simulacre de ralentissement ou signe d’impatience est puni d’un ou de plusieurs coups de cravache sur ses fesses. Les coups deviennent secs, nerveux, rythmés par les décharges sensuelles et sexuelles provoquées par ce cunnilingus imposé.

Nos excitations sont transmises par la langue qui s’active. Les punitions tombent à chaque fois que l’esclave lève les yeux. Mon orgasme explose enfin, la langue continue sa danse devenue infernale ; je me saisit du visage de ma servante et me penche vers sa bouche pour y goûter mon plaisir qui y ruisselle.

Ensuite, je contourne le corps ficelé, le retourne, me saisi des seins ainsi offerts et commence à les sucer. Je les excite ainsi de la bouche pour en faire jaillir les tétons gonflés de désir.

J'aime tellement sentir la langue de mon amant me laper les tétons que je reproduis les même mouvements de langue. Je sais excatement doser douceur et fermeté de ma langue sur ses tètons.

Ainsi durcis, je peux y fixer aisément de petites pinces préparées à cet usage. Lorsque la première pince mord son téton d'esclave, elle étouffe un cri.

« Tu peux crier maintenant si tu le veux… »

A la deuxième pince mise en place sur l’autre téton, le cri fuse… Je souris et entreprends de défaire les liens qui entravent les jambes gardées serrées afin de bien maintenir en place les sex toys.

J'écarte les cuisses de mon esclave, constate avec satisfaction que son sexe, toujours occupé par la queue de latex, ruisselle de désir… En revanche, le cul  a réussi à se libérer de la présence du jouet.

« Tu en as quand même perdu un… Tant pis pour toi…  Tu ne jouiras pas par le cul… »

 

Je me penche vers son sexe épilé, j'y pose doucement ma bouche, lâche enfin la laisse et la cravache.

Je laisse courir ma langue sur son sexe. Je le lèche, le goûte, l'hume,

La pointe de ma langue s'introduit dans le petit anneau en or qui traverse la peau au dessus de son clitoris.

A chaque pression ou traction sur son anneau, elle pousse un cri. Plaisir ? Douleur ? je ne veux plus savoir ... Chaque cri me provoque une contraction vaginale.  Ces contractions qui rendent fou mon amant lorsqu'il me pénètre. Mais pour l'instant c'est moi qui la rend folle..

Je lèche à en baver et pour un moment, le temps de provoquer un orgasme libérateur chez Sophie puisque c'est son prénom, je suis et redeviens une chienne…

 

(à suivre…)

 

Par bfemme.erog.fr
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