Dimanche 2 mai 7 02 /05 /Mai 06:47

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Flashback

Perle entretien avec la belle femme une belle et sincère amitié. Une amitié de femmes, faite de complicité, de maturité, de goûts  et d’expériences communes. Il semblerait que l’une d’entre elle ait marqué la belle femme…Bien sûr elle me l’a raconté mais sans rentrer réellement dans les détails…Histoire de ne pas titiller ma possessivité ? L’année dernière La belle femme a reçu un cadeau très original pour son anniversaire. Il était question d’une chambre d’hôtel, de Perle, d’un autre homme, de rendez-vous croisé, de ballets à 6 mains dont la belle femme est sortie heureuse mais pas complètement  assouvie. Ah ! j’oubliais : La belle a eu des crampes à la langue et à la mâchoire. Le genre de rendez vous que l’on ne donne pas tous les jours.  

Perle.

Perle est belle. La quarantaine rugissante, elle a rempli son devoir maternel en élevant 3 enfants qui ont aujourd’hui quitté le foyer. Une belle chevelure blonde attachée avec un foulard et une bouche parfaitement dessinée voila ce que l’on remarque au premier coup d’oeil. Lorsque Perle enlève ses lunettes de soleil on découvre ses yeux verts rieurs. Ah les pattes d’oies qui témoignent d’une propension à rire. Que j’aime ces signatures de tempérament ! Que d’expérience dans ces yeux ! Perle est une passionnée. Je me souviens de notre rencontre. Nous avons parlé d’un pays que nous aimons tous les 2. J’ai compris que Perle vivait ses rêves…Mon regard masculin a parcouru une silhouette de sportive, un cul bien moulé et une belle poitrine. Perle est belle et porte bien son nom…

L’idée.

La belle femme m’a glissé un mail me disant plus ou moins que Perle avait une petite crise printanière et peut-être qu’il serait sympa de lui présenter Erwan. Rien de précis évidemment comme savent faire les femmes. Bien sûr, connaissant Erwan et ses goûts pour la bagatelle, je réponds immédiatement que cela ne posera pas de problème. Second mail plus détaillé, il est question d’hôtel, de chambres mitoyennes, de ballet à 4, 6 ou 8 mains. Houlala, la belle femme a une vraie idée derrière la tête. Je sélectionne immédiatement quelques photos de Perle que j’envoie à Erwan. La réponse  ne se fait pas attendre :
Téléphone...

"Mais c’est un cadeau que tu me fais là, je ne vais plus pouvoir travailler ce matin."

Nous rions, je lui décris très sommairement l’idée de Belle femme. Il est entousiaste. Il faut dire que Belle femme lui a fait forte impression lors de son dernier passage. Il évoque la bave aux lèvres les premières minutes de leur rencontre. « Belle femme en parure et en bottes, les yeux bandés, un collier de chienne autour du cou et un plug dans le cul. Evidement une idée de Belle femme ne peut que le séduire. Erwan est allumé. Je lui demande de ce concentrer sur les photos de Perle. Magnifique…

Erwan

Erwan est mon ami. Mon ami de toujours. Il aime les femmes et elles le lui rendent bien. Grand, mince, Erwan sourit tout le temps. Commandant de bord sur une compagnie nationale, ses vacations l'éloigne souvent de son nid familial. Nous avons souvent partager les jeux d'ados et les bons plans d'adultes.

De la suite dans les idées

Belle femme me rebranche sur "l’idée" du couple Erwan/Perle. Elle lui a montré une photo d’Erwan. Elle le trouve à son goût.( Quel chance )! Elle éprouve le besoin d’en rajouter une couche en précisant que Perle est une fille gentille (Je n’en doute pas) fonceuse (on s’en serait douté) et ouverte (Mon dieu, toutes les qualités d’une honnête femme…)

Le rendez vous

L’auberge ou nous nous sommes donné rendez-vous est un relais 3 étoiles. Sur la terrasse des couples avec enfants finissent le repas en profitant du soleil. La chambre sera libre à 12h 30

Belle femme et moi sommes attablés devant un café à des tables séparées de 5 mètres. Nous échangeons quelques regards inquiets. Je regarde ma montre. La voiture d’Erwan arrive et il sort de la voiture avec un grand sourire..Son regard va de belle femme à moi et sans quitter son sourire je vois qu’il se demande dans quel piège il est tombé..Mon index sur la bouche je lui fait signe de s’attabler avec Belle Femme. Pour l’occasion elle s’est habillée en fille. De bas en haut, elle porte des petites sandalettes qui ne doivent pas peser plus de 10 grammes chacune. Une juppe assez courte et fendue laisse apparaître ses longues et belles jambes déjà bronzées. La belle femme ne va pas à la mine et trouve le temps de travailler sa couleur. Un petit marcel cache à peine sa poitrine. Et pour finir des lunettes de soleil et un panama en paille. Tout pour passer inaperçue. Le type d’à côté en a renversé son café et sa femme a failli quitté la table d’agacement. Erwan se dirige vers la table de belle femme et l’embrasse en la serrant dans les bras. Il est évident que ces deux-là s’apprécient. Je vois Belle femme qui attrape Erwan par le cou et lui explique qu’il doit m’ignorer. Je suis toujours seul à ma table et regarde ma montre. 12h 25   
Bruit de pneus. Une belle voiture italienne se gare devant la terrasse.. Perle sort de la voiture. Son bandeau sur les cheveux et ses lunettes de soleil lui donne une classe folle. Elle me voit et je descends l’accueillir. Je la prends par la main et la conduit à ma table ou je lui propose un verre. Je perçois son regard pour la table de Belle femme et d’Erwan. 5 mètres nous séparent et le type de tout à l’heure a repéré Perle. Je souris et j’attends le moment ou sa baronne va lui retourner une baffe et quitter la terrasse. Belle femme et Erwan se marrent comme de vieux amis. Il ne se sont vus qu’une fois et nous n’avons pas trop parlé. Mais bon le courant passe…

Cela me fait plaisir que tu sois là.

Echange de sourires. Perle se détend. Signe du menton.

- C’est lui ! Il te plaît ? Affirmation de la tête et sourire de connaisseuse.

Je prends les mains de Perle et je lui glisse dans l’oreille.

Dans 15 minutes il sera à toi. Il sera ton homme et te fera l’amour..

Perle se retourne vers moi et plonge ses yeux dans les miens. Son sourire a changé. Plus animal. Elle n’a pas retiré sa main de la mienne. Simplement posée sur la table. Elle porte son café à la bouche et je détaille son visage.
 2 tables plus loin Erwan et Belle femme se lèvent et disparaissent dans l’entrée de l’auberge. Le compte à rebours a commencé.
 Elle est vraiment attirante. Je continue.

"On va les laisser monter dans la chambre et nous les rejoindrons. Je dois te poser quelques questions."

"Vas y"

"Qu’est ce que cela te fais de savoir que dans un ¼ d’heure tu vas te faire prendre par un inconnu ?"

(Sourire gourmant) "J’aime"

"Est ce que tu aimes sucer ?"

( Elle rit de mon audace)" J’adore"

"Est ce que tu t’es déjà fait prendre par 2 hommes en même temps ?"

(Elle sourit de oui) "Joker"

"Est ce que tu préfères lécher une femme ou être léchée ?"

(Elle éclate de rire) "Les 2, mon capitaine".

"Ne ris pas, dans 10 minutes tu seras nue et tu vas te faire prendre et lécher jusqu'à ce que tu demandes pitié. Erwan est bien monté et nous te prendrons comme une chienne…"

Son sourire a disparu. (Elle remet ses lunettes de soleil et je remarque son tortillage). Je savoure son désir et sa gêne qui deviennent évidents.

 J’aimerais te demander une dernière chose.

Hochement de la tête.

- "J’aimerai que tu ailles aux toilettes, que tu enlèves ta culotte et que tu me la ramènes."

C’est un refus dans le meilleur des cas, la baffe dans le pire.

Perle ne sourit plus. Elle se lève. Je tiens sa main, elle ne la retire pas. Ce ne sera pas la baffe.

J’aimerais aussi que tu introduises ton doigt dans ton sexe et que tu me le ramènes mouillé.

Perle ne sourit plus du tout. Elle se dirige vers le bar et les toilettes. En traversant la terrasse je matte son cul bien serré dans son jean de marque…Elle a de la classe, cette femme.

Lorsque Perle revient, elle tient son poing fermé sauf l’index qui est tendu. Elle s’approche de moi et me tend de la main gauche une petite boule de tissu que je devine être un string et elle me met son index sous le nez…Je plonge mon regard dans le sien. (Et en plus elle est gonflée.)

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La chambre

Nous quittons à notre tour la terrasse en souriant. Concentrés. Je sais que la haut belle femme a entrepris Erwan. Je pense qu’elle a plus ou moins déshabillé et préparé Erwan pour l’offrir à son amie…Le couloir est carrelé avec des tomettes provençales et sent bon la cire, le propre…
Chambre 18 Perle s’arrête et fait un pas en arrière. Je tape délicatement. Belle femme m’ouvre immédiatement. Elle est en culotte et en soutien gorge.

"Tiens ! Quelle surprise !"

Rires, Belle femme prend les mains de Perle et l’attire dans la chambre. Vaste, aérée, un style provençale léger. Elle sent bon le propre. La fenêtre est ouverte, les volets fermés. Elles s’embrassent en se serrant l’une contre l’autre. Sur le lit Erwan est allongé sur le dos.

Il a gardé son caleçon et sa queue sort par la braguette. Visiblement il vient de se faire sucer par Belle femme.
Elle affiche ce sourire heureux d’étudiante qui vient de tenter une nouvelle experience..Détail : Erwan à un loup sur le visage et un fin ruban rouge est noué autour de sa queue. Comme un cadeau. Belle femme n’a pas lâché la main de Perle qui tourne autour du lit. Délicatement Belle femme pose la main de Perle sur la poitrine d’Erwan. Perle ne lâche pas ce corps d’homme offert. Elle s’assoit sur le bord du lit et commence à caresser la poitrine. Sa main remonte et caresse la joue puis dessine la bouche d’Erwan qui n’a toujours pas bougé. Dans un coin nous observons Perle découvrir son cadeau. Elle se lève et enlève son jean découvrant sa chatte épilée…Complètement ou si peu. Elle tombe son petit haut et ne garde que son soutien-gorge. Coquetterie, de femme élégante. Elle enfourche les jambes d’Erwan et sur les genoux elle se penche et commence à embrasser le corps poilu d'Erwan. Sa tête remonte jusqu'à sa bite qui est maintenant bien raide et commence à la lécher. Délicatement elle défait le petit ruban et agitant avec cette queue offerte. Toujours sans nous lâcher la main, nous nous rapprochons pour nous placer derrière Perle. En nous offrant au passage une belle vue sur sa croupe et son sexe ouvert. Nous restons un moment silencieux a observer Perle sucer Erwan. D’un geste j’invite Belle femme à les rejoindre sur le lit. Erwan a ramené ses bras qu’il tenait au dessus de sa tête maintenant le visage de Perle entre ses mains. Belle femme se place derrière Perle et plonge son visage dans les fesses de Perle. Moi je reste derrière te je me gave de ce spectacle merveilleux. Erwan allongé sur le dos tenant le visage d’une femme qu’il ne connaît pas. Perle que je trouve terriblement attirante en train de la sucer à califourchon sur ses genoux et ma belle femme qui fait ce qu’elle aime le plus : Lécher, lécher et encore lécher.
Lentement je me déshabille en essayant de ne pas égarer mes vêtements dans l’obscurité de la chambre. Je m’assois sur le lit et j’essaie de trouver le regard d’Erwan. Il sourit comme un mec qui se fait sucer…Je caresse le cul de ma belle femme et très vite je trouve sa chatte ruisselante. J’y introduis 2 puis 3 doigts. Premiers cris. Qui a crié ?
Erwan se dégage et invite Perle a resté à 4 pattes sur le lit. Comme un animal il passe derrière Perle. Préservatif préparé, enfilé. Elle n’a pas bougé les bras tendus et le visage posé sur les draps, le cul offert à la langue de Belle femme qui décidément n’a pas léché depuis trop longtemps. Erwan invite Belle femme à lui laisser accès à la croupe de Perle. D’un coup de reins puissant, il s’introduit dans la chatte de Perle qui pousse un long cri d’agonie. J’intercepte le regard de Belle femme, heureuse.
Je la guide pour qu’elle se positionne à coté de sa copine et dans la même position. Le croupe offerte, la poitrine et le visage posé sur les draps. La main de Perle attrape la main de ma belle femme. 2 chiennes offertes. Je me glisse derrière à coté d’Erwan. Echange de sourires de mâles. Lentement j’écarte les fesses de belle femme, je descends sa petite culotte sur ses genoux et je m’introduis dans son sexe ouvert. Nos 2 femelles gémissent et se tiennent la main. Comme des chiens, nous les pilonnons de coups de reins puissants…Tres vite, trop vite nous jouissons. Regards d’amis de toujours. J'intercepte le regard de belle femme qui se tourne vers moi avec un sourire qui me rend fier et heureux.

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Second acte

Perle regarde aussi son amie et tend sa bouche pour embrasser la Belle femme. Un baiser long et puissant. Les bras se croisent. Les genoux remontent. Les soutiens gorges volent. Et Belle femme reprend son dessert là ou elle l’avait abandonné à grand coup de langue pointue. Le spectacle est trop beau. Nous n’avons pas de rôle précis. Nous nous asseyons au bord du lit et nous caressons seins, fesses, dos, chattes. Nous introduisons des doigts là où c’est mouillé. Sans savoir qui est qui. Bruit de langues, serrement de mains. Il y en a une qui part dans un long gémissement et de longs soubresauts qui agitent le lit. Quelle puissance cet orgasme !

Changement de position. Perle se positionne entre les cuisses de Belle femme. Re-caresses, re-orgasme quasi immédiat.

Merci

Les femmes s’embrassent sans se gêner. Nous sourions. Heureux. Heureux. Belle femme sort de son sac une bouteille de bulles et 4 flûtes. Nous faisons les présentations…

Par belle femme
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Samedi 1 mai 6 01 /05 /Mai 15:22

 

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L’homme l’observe, en silence.

La Belle femme est dans son gynécée, sa salle de bain. Seule. Mais l’homme la regarde. 

Elle a fermé la porte a clé, se déshabille lentement, accroche le vieux pantalon de survêtement rouge à la patère derrière la porte, enlève ensuite le t-shirt distendu au fines bretelles et le range à son tour.

Elle accomplit machinalement tous ses petits gestes intimes que personnes ne voit jamais : les mimiques au miroir pour voir son visage sous toutes ses coutures, le coup de brosse aux cheveux avant de les attacher, la main qui vérifie la douceur des jambes.

Tiens, il faut s’en occuper des jambes… et des aisselles… et du maillot…

Pendant que la belle femme prépare le petit appareil électrique rose, l’homme jette des regards distraits, attend un geste plus secret.

 

La Belle femme commence par épiler ses aisselles, elle soulève un bras, le plie de façon à bien tendre sa peau et entreprend d’enlever tout le duvet naissant de cette zone. Quand elle juge son travail satisfaisant, elle change de côté, s’applique puis après avoir posé l’appareil, elle contrôle à l’aide du miroir grossissant ; elle n’est pas satisfaite et recommence des deux côtés en vérifiant à chaque fois le résultat. Lorsqu’il ne reste plus aucun poil disgracieux, elle décide de s’occuper de ses jambes.

 

Pour ça, elle se tourne d’abord vers l’ordinateur qu’elle feignait d’ignorer jusque là et le positionne de façon à ce que sa webcam soit dirigée vers le bord de la baignoire sur lequel elle s’assoit.

L’homme derrière son écran l’observe maintenant attentivement.

Elle pose sa jambe gauche sur le bord de la baignoire, la droite étant à l’intérieur et se penche en avant, épilateur à la main, sein écrasé contre la cuisse relevée. Sans plus se préoccuper de son portable connecté, elle commence son épilation par l’extérieur de la jambe, puis le dessus ; pour faire l’intérieur du mollet, elle écarte un peu la cuisse, libérant son sein gauche enfin libre, lourd, appel à la main… Elle finit par le dessous du mollet qui l’oblige à ouvrir encore plus sa cuisse.

Elle ne lève pas les yeux et ne sais pas si l’homme est attentif ou pas.


La Belle femme pose son pied gauche au sol et le droit sur le rebord de la baignoire, même rituel jusqu’à la perfection.

Elle se remet debout et change la tête de son appareil pour le transformer en tondeuse puis enjambe le rebord de la baignoire pour s’y installer debout, face au grand miroir. Un œil vers l’ordi la stoppe dans son geste et elle se penche afin de l’approcher d’elle pour lui faire pratiquement face.

La tondeuse dans la main droite, légèrement penchée en avant, elle s’aide de sa main gauche pour coiffer le peu de poils qu’elle conserve au dessus de son sexe, la tondeuse servant à raccourcir, à domestiquer cette toison noire et rebelle.

Elle se montre ensuite totalement face à sa caméra afin que l’homme profite pleinement du spectacle de cette chatte tondue. La Belle femme sent  dans son sexe le plaisir que lui procure cet exhibitionnisme intime. Elle pose une de ses jambes loin sur le rebord de la vasque et glisse deux doigts dans son sexe. Ils ressortent mouillés. Elle les approche de la caméra pour que l’homme soit conscient de l’effet de sa présence virtuelle.

Elle le voit secouer la tête… il a son sourire grave… Elle aime son sourire grave.

 

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La femme change à nouveau la tête de son petit appareil maintenant transformé en épilateur. Elle s’assoit sur le rebord de la baignoire, écarte largement les jambes et en contorsions étranges passe l’épilateur tout autour de son sexe : au-dessus, puis de chaque côté, ensuite, il faut descendre près des grandes lèvres puis passer sur les grandes lèvres… Elle grimace sans doute, mais s’applique, tire la peau de sa main gauche, elle s’en moque, elle est seule… face à son ordinateur !

Elle change de position et contourne prudemment son anus, vise les zones les plus sensibles donc celles qui doivent être les plus douces au toucher ou à la langue…

Enfin, la torture s’achève…

Elle range son petit matériel et ce faisant frôle souvent le portable ce qui donne à l’homme des images qui passent rapidement où il reconnaît sans doute un ventre, un pubis, un bout de hanche, le nombril…

 

Le moment de la douche. Mais d’abord la toilette intime…

Elle roule une serviette de toilette et la glisse sous l’ordinateur de façon à le faire pencher vers l’avant, la caméra interne est ainsi dirigée vers l’intérieur de la baignoire.

La femme fait couler l’eau afin qu’elle tiédisse et pendant ce temps envoie un petit message écrit sur Skype : « ça risque d’être un peu coloré… »

 

Elle s’installe ensuite accroupie, jambes inconfortablement écartées face à la cam et prend le pommeau de douche à la main. Elle glisse deux doigts mouillés d’eau dans son sexe et les retire en les faisant glisser contre la paroi de son sexe pour en sortir les sucs. Un peu gênée, elle surveille la couleur, le premier jour de son cycle… Elle sait que ça peut être particulièrement sanglant, comme une grosse coupure profonde, une blessure mystérieuse… Ce matin il n’en est rien, quelques traces imperceptibles… elle lève un regard vers la caméra comme pour le rassurer… Elle lui sourit, il ne perd pas un geste, son regard tendre la fixe, même dans cette situation elle se sent belle et désirable.

Un autre sourire, puis elle se redresse, essuie ses doigts sur une serviette et tapote rapidement sur le clavier : « je lave l’autre partie… »

Elle reprend sa posture, glisse sa main plus loin entre ses cuisses, atteint son anus dans lequel elle glisse un doigt pour le même rituel : le jet d’eau rince immédiatement le doigt qui s’introduit plusieurs fois dans cet orifice jusqu’à ce que tout semble parfaitement propre…

L’homme rit un peu, comme gêné… Elle aussi… gênés mais amusés…

Enfin la douche, sa boule en filet de plastique jaune, son savon d’Alep, elle se frotte vigoureusement partout afin d’avoir toujours la peau douce… Mousse abondante, rinçage, serviette chaude.

Elle sort de la baignoire, ajuste encore la position de son portable et se brosse les dents, se coiffe, se crème…

Elle se tourne à nouveau vers l’homme qui est toujours là, enlève sa serviette et à nouveau lui présente sa chatte, une jambe posée sur le couvercle des toilettes.

Les deux doigts indiscrets retournent visiter le sexe sitôt lavé, sitôt inondé de désir, ses doigts brillent, imprégnés du liquide clair…

Il est temps qu’elle s’habille…

Skype nous rend insensibles au temps à l’heure qui tourne…

Par belle femme
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Samedi 24 avril 6 24 /04 /Avr 23:11

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Depuis 6 mois, J’ai pris l’habitude de retrouver la ‘’belle femme’’ pour des après-midi coquins. Les barrières ont été posées au début de notre relation :
‘’Nous sommes tous les 2 en couple donc  nous ne risquons rien ".
Au fur et a mesure que l’attirance devenait plus forte je me répétait :

‘’On ne risque rien’’ pour me rassurer.
Mais je sens bien que je suis en danger… en danger d’attirance violente. Ce que la belle femme m’a offert aujourd’hui va me marquer longtemps.

Je commence à sonder l’attirance de mon amante pour la douleur. Toutes les tentatives d’explications de son plaisir si particulier n’ont pas été réellement convaincantes.

-‘’Je veux être à toi,’’ –‘’ je veux que tu me possèdes’’, -‘’ je veux que tu me prennes’’….Ah oui ? Aujourd’hui je décide de franchir une étape dans mon désir de la posséder plus encore.

Ma belle femme arrivera à 12h 30. Quelques fessées lui ont fait passer l’envie d’être en retard.

12 heures : Je m’assure que le champagne est frais et les flûtes glacées.
 Ce matin, j’ai acheté 2 sangles d’épaisseur appropriée. Dans la chambre, je coince les sangles sur le haut des portes des placards.
Au passage je sors le sac à malice. Foulards en soie, plug, toys  sont étalés sur le lit.
Je prends la cravache qu’elle a apportée la semaine dernière. Je la contemple. Interrogations. Je la fais tomber délicatement sur ma main pour évaluer la douleur. Evidement il faut claquer un peu plus. J’essaie de nouveau avec un peu plus de nervosité. Mieux ! Je claque un peu plus fort sur ma cuisse. Quand même. Evidemment cela peut faire très mal. En attendant cela doit provoquer une peur terrible.
Je peux maintenant évaluer la douleur mordante que peut procurer un coup bien placé.
 Je la manipule malgré tout sans gène. Je la fais siffler en fouettant devant moi. J’examine la poignée de l’objet, de l’épaisseur d’un doigt…Evalue la petite languette à l’extrémité. Je me suis approprié l’objet…La peur sera dans son camp.

12h30 : Dans le jardin, le bruit de la décapotable annonce l’arrivée de la belle femme. J’ai compris que mes fessées pour 1 minute de retard ne l’effrayent plus réellement et je souris en cherchant une excuse pour la punir, la posséder…Bof !  je pense à l’adage un brin macho :

"Bats ta femme tous les jours, si tu ne sais pas pourquoi elle le sait "’ Y a-t-il un sens caché ? Re-sourire de serpent.

En bas, bruit de pas dans la cuisine. Eternel sourire. Tenue féminine au possible. Toujours ses bottes qui lui donnent 5 cm de plus. Je me sens toujours un peu petit quand je la prend dans mes bras. Nous en avons parlé. Nous avons appris à dominer notre différence de taille. Adolescente elle a souffert de sa grande taille. Aujourd’hui elle sait gérer l’allure  que cela lui procure. Tout est proportionné : ses épaules façonnées par la natation. Sa poitrine généreuse, sa taille fine et ses hanches tellement féminines. Je sais que quand je la baise tout devient petit chez elle. Elle a l’art de se mettre en boule.

Apres avoir discuté 5 minutes, je la prends par la main et elle comprend que j’ai envie de passer aux choses sérieuses…

DESHABILLEE

Dans la chambre elle découvre les foulards sur le lit et continue à sourire…C’est quelque chose qui m’a toujours épaté chez la belle femme : sa capacité à sourire en toutes circonstances…Elle comprend qu’elle va souffrir et elle continue à sourire de toutes ses dents. Cela ne va pas durer : elle doit avoir peur et elle va trembler…

Doucement je prends ses poignets et les noue chacun avec un foulard. Elle me regarde faire. Je scrute son visage pour voir quand va disparaître son sourire. Je dois l’embrasser. Elle sent bon et je boit une bouffée de son odeur. Je sais qu’elle n’a pas encore vu les sangles qui dépassent en haut des portes des placards.

Avec beaucoup de délicatesse je l’invite à se lever…Son tricot et son soutien-gorge volent au fond de la chambre….Je continue d’embrasser sa poitrine et je ne peux m’empêcher de mordiller ses tétons qui pointent. Elle n’a pas de chance. Ses tétons sont durs et de taille respectable. Donc ils sont faits pour attirer langue et dents.

-« La vie est injuste ».

Son sourire disparaît quand elle ferme les yeux. Je jubile. Elle ne sait pas encore ce qui l’attend vraiment….Moi je sais qu’elle est déjà devenue ma chose. Je trouve la fermeture minuscule de sa robe de bohémienne. Elle tombe à ses chevilles dévoilant ses longues jambes et ses bottes…J’ai l’impression qu’elle se sent forte et protégée avec ses bottes. Ses talons de 5 cm lui donnent encore plus d’allure.

« Mais c’est pas tes pieds que je vais baiser !!! »

ATTACHEE.

Je la guide alors vers la porte du placard. Elle ne rit plus. Elle a compris que ce ne serait pas une petite cartouche rapide sur le lit…Je monte ses bras par les liens qui entravent ses poignets. D’un geste rapide je fais passer la sangle installée en haut de la porte par les liens et je bloque le tout…

"C’est froid " me dit elle quand son dos touche la porte du placard.
Je la plaque fermement contre la porte. Au moins elle sait pourquoi elle a froid. Pour la première fois elle pousse un cri. Plaisir ? Peur ? Frisson ?
 Avec l’index sur ma bouche je lui fais comprendre que je ne veux plus l’entendre. Elle se tait et son sourire disparaît. Elle me regarde faire et je pense qu'elle doit, maintenant,  commencer à avoir peur. Enfin je noue un foulard sur ces yeux…Elle ne voit plus rien.

Je me recule pour la contempler. Les bras attachés et immobilisés au dessus de la tête. Ses cheveux lâchés sur ses épaules. Je regarde ses seins magnifiques et son ventre que j’aime lécher. Elle a toujours sa culotte. Violette. De la très belle lingerie. Mais ce n’est pas ce qui m’intéresse pour le moment. Mon regard descend le long de ses jambes. Longues, fines et musclées par des années de sports et de natation. Et je regarde ses bottes. Tant mieux, elle n’aura pas froid aux pieds.

Elle est complètement à ma merci et le sait…Je m’assieds sur le lit en face d’elle et la contemple en me touchant la queue….Je me lève et me rapproche d’elle. Je lui glisse dans l’oreille que c’est une salope et que je vais la traiter comme tel aujourd’hui. Je me frotte le gland contre sa cuisse. Je sais qu’elle aimerait toucher ma queue, me prendre dans la bouche, mais elle ne peut pas bouger. Elle ne peut que sentir mon excitation.

Je m’approche d’elle et je la lèche. Sous les bras d’abord. Elle gémit bien et cela me plait. Puis je lui lèche les seins et son ventre.
 Avec le pouce et l’index je prends le bord de sa culotte et le tire vers le haut. Le tissus pénètre dans sa chatte accentuant sa forme de fruit. Elle gémit fort. Il est temps d’aller vérifier son désir…J’écarte l’entre jambe de sa culotte et glisse un doigt dans sa chatte. C’est une inondation…Sa cyprine s’étire sur mon doigt en un long fil dont je touche la consistance. Elle sait qu’elle va se faire baiser et gémit maintenant sans retenue.

Sa culotte tombe sur ses bottes. Elle est complètement nue devant moi. Encore une fois je m’assois sur le lit et la contemple…

LA CRAVACHE :

Je prends la cravache. Doucement je la plaque contre son ventre et ses seins. Elle a reconnu l'objet et elle pousse un petit cri d’effroi. Un petit coup de cravache immédiat sur l’extérieur de la cuisse lui fait comprendre que je ne veux plus qu’elle crie. Avec la languette, je caresse ses seins et descends le stick entre ses cuisses. Jusqu’aux bottes. Je lui enlève le foulard. Elle découvre ce qu’elle avait deviné. Elle fixe la cravache que je lui présente devant les yeux. Elle va avoir mal. Elle va être marquée, elle le sait, elle le veut. Son regard ne lâche plus la cravache que je fais glisser sur sa peau de haut en bas et entre ses cuisses.

Que sait-elle de moi ? Je peux être un effroyable pervers qui va la martyriser jusqu’au sang ?
Nous nous regardons en nous défiant….Veut’elle me provoquer ? Elle veut me montrer qu’elle n’a pas peur et qu’elle est prête à tout pour s’offrir à moi. Elle me regarde fièrement et relève la tête avec un regard insolent…

«Je ne crierai pas, je subirai tout ce que tu veux m’infliger. Je suis à toi….’’

Je souris et lui glisse dans l’oreille :

«  Tourne toi belle salope »

La poitrine plaquée contre le bois de la porte, elle me présente maintenant ses fesses. Doucement, très doucement, je mets des petits coups de cravaches sur ses fesses qui marquent immédiatement. Des petits gémissement lui échappent et cela me fait immédiatement triquer. Les coups de cravache sont légers mais les marques sur les fesses m’excitent. Je dois contenir cette excitation. Elle a confiance en moi. Mais comment résister à ces flux de sang qui arrive dans mon bas ventre. Je ne sais pas si ce sont les cris ou la vue des traces sur ces fesses qui m’excitent à ce point mais ça m’excite sérieux…

Je m’empare de ses fesses que j’écarte doucement jusqu'à découvrir son anus et sa chatte. Je ne peux m’empêcher de m’agenouiller et la lécher. Elle continue à gémir et je m’aperçois qu’elle me tend son cul pour que je la lèche encore plus.

« Mais je ne suis pas là pour ça ! »

 Je mouille la poignée de la cravache et doucement j’en introduis 10 centimètres dans son cul.

« je te conseille de serrer les fesses car je te punirais si la cravache tombe au sol »

A chaque phrase sévère, elle gémit d’humiliation.  Je n’ai pas l’intention d’être mignon sur ce coup là. Deux claques bien placées lui laissent l’empreinte de ma main sur les fesses. El la cravache tombe sur la moquette.

«  Tu n’aurais pas dû »

Claques sur les fesses. Je ramasse la cravache et sans ménagement je la réintroduis dans son cul qui est de plus en plus mouillé. Elle ne pourra pas tenir mais je m’en fiche, elle serre les fesses. Je la matte se tortiller pour empêcher la cravache de lui échapper, pour la garder dans son anus. Elle est indécente et ça me plait. La cravache glisse de nouveau au sol. Re-claque sur les fesses.

Je veux l’humilier encore plus. Lui faire sentir qu’elle n’est plus qu’un sexe pour moi. Assis sur le lit je présente mon pied entre ses cuisses. Doucement je remonte jusqu'à son cul que je veux punir. Je présente mon orteil et lentement je la pénètre…Je vois mon gros orteil disparaître dans son cul. Elle crie et laisse échapper ses plaintes…

bf nb ecartelée 26598

ECARTELEE :

Je lui demande de se retourner. Elle me fait face de nouveau. J’attrape sa botte droite et je l’attache à la seconde sangle fixée sommet du placard. Je prends sa jambe sous le genou et je la monte à l'horizontale jusqu'à la hanche. Doucement je tends la sangle. La belle femme se retrouve écartelée. Elle est maintenant parfaitement indécente. Son sexe jusqu'à présent plus ou moins fermé est maintenant ouvert et offert à ma vue. Je distingue très bien tous les détails qui d’habitude disparaissent entre ses cuisses. La position obscène au possible lui gonfle la vulve et c’est une pêche bien mûre que j’ai devant les yeux. Ses petites lèvres qui dépassent de sa chatte sont dures et marrons. Son regard fier et insolent à maintenant disparu et ma belle femme ferme les yeux en gémissant. Je présente la cravache à l’entrée de sa chatte…Elle a pris une autre dimension.

Je m’approche de son oreille et je lui décrit ce que je vois avec des mots si crus qu’elle gémit en les entendant. Je lui décris sa chatte épilée, ouverte, ruisselante. Offerte à mes doigts qui la violent déjà. Le bout de la cravache lèche jusqu’au clito…Elle va finir par crier. Par demander une pause .Je me mets à genoux devant elle et je lèche sa chatte…J’aime vraiment cela…Sa consistance, son désir qui s’échappe, les cris qu’elle pousse quand ma langue perce son cul…

La belle femme jouit d’être possédée par mes coups de langue

Je la détache comme une poupée de chiffon et l’allonge sur le lit. Elle écarte ses jambes et je la pénètre pour jouir rapidement en elle. Les bras en croix, sa main serre la cravache.

Je l'embrasse tendrement et plaque sa tête contre mon torse

Par belle femme
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Vendredi 23 avril 5 23 /04 /Avr 23:05

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Echange de mails sur Facebook :

De Carine à Sophie :

« Amies ? Sur une suggestion d'Etienne G...

Ferons-nous un plongeon ensemble ? »

De Sophie à Carine :

« Bonjour ! Pourquoi pas faire un joli plongeon toi, moi et mon copain Pierre, un de ces dimanches ? ;);) »

De Carine à Sophie :

« Un proposition bien alléchante... mais je ne plonge pas sans Etienne, au propre, comme au figuré...

:-)))))

à bientôt... »

De Carine à Etienne :

« Je ne plonge pas sans toi, il n'en est pas question. Tu es mon homme, mon plaisir est de mon montrer à toi, ou de me donner à toi...

J'ai envie de toi à en avoir les larmes aux yeux ( et des crampes au poignet)

bisous mon tendre mec »

D’Etienne à Carine :

« Tu es mon trésor »

 

Tout a commencé sur Facebook…

Toujours sur une suggestion d’ami, Carine a fait la connaissance d’Etienne… D’échange de bons mots en échange de mots coquins, ils se sont donné rendez-vous et sont devenus amants. De moments de plaisir en moments de plaisirs plus osés, ils ont échangé leurs fantasmes, en ont mis certains à exécution, partagent des jeux de plus en plus poussés, ont encore de nombreux projets à réaliser.

D’un accord commun et tacite, ils sont fidèles l’un à l’autre, et si l’un d’eux a envie d’une tierce personne, c’est un jeu à trois qui est organisé, sans tabou, sans retenue, ils vont au bout de leurs envies.

   

Etienne connait Sophie depuis un an. Il a découvert d'etonnantes facettes trés recement.

 

Etienne, Sophie et Pierre, le compagnon de Sophie se sont  fixé un rendez-vous  pour une plongée .

Après la plongée, le remontant aidant, les langues se délient, on parle de tout, de rien, on parle aussi un peu de coquineries. Mais un bout de phrase  dans la bouche de Sophie retient l’attention d’Etienne :
''Fessée une belle invention... ''.

Carine a innitié Etienne recement aux plaisirs d'une fessée bien donnée et bien reçue.

Etienne la délivre avec un plaisir grandissant  et Carine les reçoit avec le même contentement.

Mais dans la bouche de Sophie ? Pourquoi cette allusion ? Ce plaisir ne semble pas si courant ?

 

 

Au cours des jours qui suivent, Etienne raconte sa journée avec ses nouvelles connaissances, décrit Sophie à Carine, son charme, son allusion aux fessées, son gout pour la lingerie et les escarpins …Sophie est une femme superbe, grande, blonde, des fesses et des seins magnifiques et surtout un rire éclatant. Il évoque l’envie qu’il aurait de les voir ensemble...


Etienne a senti que  Sophie était une femme directe. Un bref échange téléphonique permet de s'assurer sans détour de l'envie de Sophie et Pierre de vivre des choses peu ordinaires. 


Des fantasmes naissent, lentement… de part et d’autres…

Carine rêve de posséder une femme soumise, esclave de ses sens, obéissant à ses ordres les plus sévères, Sophie est toute disposée à se transformer en soumise, à subir une autorité féminine et à jouer à ces jeux pervers qu’elle apprécie sans retenue…

Carine et Sophie finissent par devenir « amies sur Facebook » et voici donc l’origine de cet échange de mails pleins de sous-entendus…

Cependant, la femme étant ce qu’elle est… chacune tire la couverture à soi… ou plutôt, chacune a une préférence pour la présence de son homme…

D’autant que Pierre ne semble pas avoir très envie de partager Sophie avec un autre homme… Quant à Etienne, sa position est plus tolérante ...en apparence…

 

bf sepia soumise 005

Il ne reste donc qu’une solution… Les deux femmes vont se donner en spectacle aux deux hommes, spectateurs, voyeurs dévoyés à ces jeux obscènes…

 

Ainsi soit-il, le rendez-vous est pris.

Il a fallu cependant penser et organiser un peu le scénario… En effet, il ne suffit pas de se rencontrer et de se dire : « Toi, tu te mets là, moi ici, etc… » Difficile d’improviser pour la mise en place… Après, on se laisse porter par le courant, mais pour démarrer, il faut un script… C’est du sérieux…

 

Etienne et Carine arrivent chez Sophie et Pierre à l’heure convenue. Pierre ouvre la porte, les fait entrer, présentations rapides, vite une coupe de champagne, Sophie reste invisible.

Direction la chambre où Etienne reste seul avec Carine qui se prépare : vêtements enlevés, elle reste en bottes à talons, sous-vêtements noirs, cravache à la main.

Des sex-toys et différents accessoires sont déjà prévus à portée de main, Carine sort les siens de son sac.

Foulards, cordelettes, pinces, harnais, godes, préservatifs, tout est prêt…

Un petit coup à la porte qui s’ouvre sur une Sophie qui apparaît enfin, tenue en laisse par son homme, les yeux bandés, vêtue d’un string blanc.

Pierre la guide vers Carine et confie la laisse à celle-ci… Les deux hommes silencieux vont s’asseoir.

Carine ne dit rien, ne tire pas sur la laisse, contemple sa proie sans bouger.

Sophie ne sait que penser, bouge un peu les mains nerveusement puis laisse tomber ses bras le long du corps, immobile, elle attend…

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Carine commence à frôler le corps de son esclave du bout de la cravache, le ventre, les seins, le cou, la bouche qu’elle force à s’ouvrir en y appuyant le bout en cuir souple pour qu’il la pénètre. Dès que Sophie a une réaction et commence à sucer le bout de la cravache, Carine le retire et recommence son jeu. La cravache glisse le long du cou, les épaules, descend dans le dos, Carine tourne autour de sa chose en la tenant toujours en laisse, l’agace avec son instrument de douleur, délicatement, atteint les fesses, glisse dessus, semble les ignorer, descend sur les cuisses, entre les cuisses, l’intérieur des jambes, les mollets, les chevilles, les pieds.

Carine prend soin de ne pas faire de bruit, de passer partout sur le corps qui s’est mis à trembler d’attente et d’excitation.

Un premier coup de cravache claque sur les fesses, la partie la plus charnue, celle qui appelle le plus la violence et l’autorité.

Toujours sans un mot, Carine tire Sophie vers le lit, s’assoit au bord et guide son esclave vers elle, la force à se pencher, à se plier et à se soumettre : elle l’allonge sur ses jambes de façon à ce que le bassin de Sophie soit sur les cuisses de Carine. Ainsi Sophie a les fesses bien offertes, légèrement surélevées…

Sans ménagement, Carine coince le bas de la laisse au sol sous ses bottes et baisse le string blanc jusque sous les fesses de Sophie. Elle pose ensuite sa cravache et entreprend de caresser le cul ainsi offert.

Les deux hommes assistent à la scène sans un mot, leur érection se voit dans leurs vêtements… Tout le reste de leur corps semble figé.

Enfin, Carine se met à parler… Tout en caressant la lune offerte, elle donne les consignes à son esclave :

« Pour le moment, tu te comportes bien, c’est parfait. Je vais te préparer un peu le cul pour le chauffer… Ce n’est pas une punition, loin de là… Mais il faut que tu sois sensibilisée  aux punitions que tu risques d’avoir. Pour ça, tes fesses doivent être déjà bien rouges et brûlantes. » En disant cela, Carine commence à donner des claques sur les fesses fermes de Sophie, elle claque méthodiquement chaque parcelle de peau afin d’y imprimer ses marques, d’en prendre possession. Elle assène des fessées régulières, pour  que l’autre sache quand elle va ressentir la douleur. Les gémissements de Sophie se transforment bientôt en cris, elle se met à remuer, tente de se dégager, prend appui sur les bras… Mais la laisse toujours maintenue coincée sous les bottes l’en empêche.

« Arrête de bouger comme ça, sinon, j’attaque vraiment les punitions » Sophie s’immobilise.

La maîtresse cesse de frapper, se saisit de la laisse et en faisant tourner le collier passe la laisse dans le dos de l’esclave, elle lui prend ensuite les deux bras, les plie dans son dos et les attache avec la laisse, bien serrés.

Elle prend ensuite la cravache et claque les cuisses encore intactes avec la cravache qui fait un bruit sec en s’abattant sur la peau fine.

L’esclave crie, se retient de bouger, Carine sent son sexe déborder d’excitation. Elle lève les yeux vers les deux hommes qui ont les visages tendus, pantalons ouverts maintenant, ils se branlent en contemplant la scène… Ne pas intervenir doivent-ils se dire…

« Vous devriez vous mettre à l’aise, ce n’est qu’un début… » leur suggère Carine, souriante.

Sans plus s’intéresser à eux, elle libère les bras de Sophie, la pousse afin de pouvoir se lever et la guide sur le lit. « Mets-toi à genoux, tu garde ton string comme il est, sous tes fesses »

L’autre s’exécute…

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Carine se met en face d’elle, à genoux également, pose la laisse et la cravache et se penche vers la bouche de la femme soumise pour frôler ses lèvres avec les siennes. Le jeu dure un moment, jusqu’à ce que les deux langues deviennent incontrôlables et s’emmêlent, l’une et l’autre… Imperceptiblement, les deux femmes se rapprochent, dressées sur leur genoux, les mains entre en jeu, les corps se collent l’un à l’autre, elles se frottent, se caressent, s’embrassent maintenant à pleine bouche, l’une aveuglée par son foulard, l’autre les yeux fermés, tout à la douceur de cet échange sensuel, féminin, emprunt de chaleur, de force animale. Elles gémissent de concert, oublient pour un moment le jeu de rôles où chacune à sa place… Carine, les mains dans les cheveux de Sophie la libère de son foulard, les yeux s’ouvrent, elles se découvrent, se sourient, reprennent leur baiser, se séparent, échanges des mots crus à voix basse : « belle salope », « je vais bien m’occuper de toi », « dévorer la chatte », « baiser le cul », « chienne »…

Elles jettent un œil curieux aux hommes qui ont leur queue raide dans la main, sourient de plaisir…

Carine se ressaisit la première, elle est la maîtresse, elle reprend la laisse et ses droits…

« A quatre pattes » Lorsque Sophie a pris la pose qui satisfait Carine, celle-ci se déshabille lentement, en fixant les deux hommes, face à eux. Soutien-gorge, seins libérés, le string mouillé de désir est lancé sur les genoux d’Etienne qui s’en saisit et le porte à sa bouche. Carine retourne vers le lit, s’y installe.

« Viens me lécher comme une chienne soumise que tu es. Garde bien ton cul en l’air… Ces messieurs doivent se rincer l’œil… Peut-être même en profiter »

Sophie s’exécute, plonge vers les cuisses ouvertes de Carine qui s’est allongée sur le dos, a repris la laisse d’une main et la cravache de l’autre. Elle tient fermement le lien de cuir  tendu et tapote sur les épaules et le dos de Sophie avec la cravache, pour la motiver, pour la rappeler à l’ordre en cas de manque de motivation.

Sophie attaque le cunni du bout de la langue, délicatement, en partant du cul de sa maîtresse pour remonter lentement jusqu’au clito. La chatte offerte est ruisselante, sucrée, trempée. Bientôt, Sophie plonge sa langue au plus profond du sexe béant, y colle sa bouche, ses lèvres, sent son menton dégouliner de cyprine chaude. Sans lâcher la laisse, Carine attrape Sophie par les cheveux pour plaquer son visage contre sa chatte et s’y frotte pour le mouiller, l’imprégner de son odeur. Lorsqu’elle lâche les cheveux, Sophie a le bas du visage inondé, luisant de salive sexuelle.

« Enfile-moi tes doigts »

L’autre s ‘exécute encore, glisse un doigt, puis deux, puis d’autres, Carine en perd le compte, s’écroule en arrière, ferme les yeux, laisse échapper un râle puissant, à la mesure de son orgasme qui dure à n’en plus finir… Elle tire finalement sur la laisse pour

mettre fin à la dégustation de la soumise qui a toujours le cul en l’air.

« Ne bouge pas » ordonne enfin la maîtresse qui a repris ses sens lentement. Elle se lève, va vers le guéridon où sont présentés les jouets, se saisit de plusieurs d’entre eux et revient vers le lit, du côté du cul de la belle offerte. Enfin, elle lui retire son string, puis, avec l’aide de la cravache, sans frapper, juste en faisant appui sur les cuisses, lui écarte les jambes et entreprend de fouiller sa chatte dégoulinante de deux doigts sévères…

Un troisième doigt suit, puis un quatrième…

La maîtresse prend possession du sexe de son esclave.

« Tu aimes ça… tu aimes te faire fouiller comme une chienne, tu aimes te faire baiser par mes doigts… Je vais faire mieux que ça… je vais te baiser le cul aussi. »

Joignant le geste à la parole, elle retire ses doigts de la chatte demandeuse pour y glisser un beau gode, long, souple, jusqu’au fond du vagin, lentement, profondément… Elle le retire tout aussi lentement pour l’enfoncer à nouveau. « Je pense qu‘il est suffisamment mouillé comme ça » Elle le fait remonter lentement, le fait glisser sur le petit bout de chair sensible entre la chatte et le cul et appuie fermement le gland de latex contre le trou sombre qui s’ouvre sans difficulté sous la pression.

Le gode disparaît sans résistance au fond du gouffre noir. Sophie pousse un cri de plaisir, cambrée, tendue.

Carine appuie fermement sur les épaules de Sophie pour les plaquer au lit et commence à faire des va-et-vient avec le sex-toy dans le cul de Sophie. Elle lui demande ensuite d’écarter ses fesses avec ses mains afin de l’empaler encore plus profondément. Lorsqu’elle sent que le gode a atteint la limite, elle dit : « Mets-toi sur le dos, je n’en ai pas fini avec toi. »

Sophie se laisse tomber sur le côté, se met sur le dos, écarte spontanément les cuisses.

Carine prend des pinces à seins qu’elle avait sélectionné parmi les jouets et les fixe délicatement sur les tétons de sa victime, mais la douleur reste violente, Sophie crie et fait un geste comme pour enlever les pinces.

Carine, furieuse se jette sur la cravache en disant : « Arrête ça tout de suite ! » et pour bien se faire comprendre, commence à cravacher la chatte offerte de Sophie qui crie de plus belle sous la douleur brûlante, mais écarte tout de suite les bras pour montrer qu’elle ne touchera pas aux pinces.

Carine se calme, sourit, s’installe à genoux entre les cuisses de sa douce soumise et s’approche de sa chatte, la contemple, la découvre, l’ouvre encore plus qu’elle ne l’est déjà en tirant ses petites lèvres luisante de suc vers l’extérieur. Elle plonge à pleine bouche vers ce sexe attirant et se remet à manipuler doucement le gode toujours enfoncé dans le cul. Elle n’oublie pas de glisser un doigt délicat dans la chatte qui coule abondamment, en insistant sur la petite colline douce cachée derrière le clitoris… Elle joue, elle lèche, elle manipule, elle bave, elle lime, elle empale, elle baise tendrement et profondément les deux sexes frémissant de désir… L’orgasme de Sophie est intense… Sa plainte de plaisir précipite auprès d’elles les deux hommes qu’elles avaient oubliés. Ils veulent les regarder de près, ne pas en perdre une miette, prendre part au festin…

Encore passifs, bien qu’ils soient en train de bander de façon impressionnante, ils ne les touchent pas, respectent encore leur jeu pour quelques instants, mais sont au bord de l’explosion.

Lorsque les deux femmes se séparent enfin, chacune se tourne en souriant vers son amant et s’offre à lui, pantelante, docile, aimante.

Les hommes reprennent possession de leur femme respective et en jouissent, avec fougue et passion, avec une pointe de jalousie, une forme de fierté et de contentement.

Tout le monde sourit… C’était un beau spectacle…

Par belle femme
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Mercredi 21 avril 3 21 /04 /Avr 12:05

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Shopping 

La voilà partie, bien décidée à faire une razzia dans sa petite boutique préférée… T-shirts, pantalons, jupettes, elle n’a besoin de rien, bien sûr… Juste une envie, un besoin de se faire plaisir.

Elle pousse la porte en souriant, entre, le carillon de l’entrée tinte, elle jette un œil circulaire à la ronde, entend la porte se fermer doucement derrière elle. Tiens, une nouvelle vendeuse, jolie fille… Celle-ci s’approche… « Bonjour… Je peux vous aider ? » Sourires. « Non, pas tout de suite, je fais le tour et vous appelle ensuite. Merci » « Bien sûr, je vous laisser regarder tranquillement . »

Echange de sourires, décidément, elle est charmante. Jupe au-dessus des genoux, fins d’ailleurs ses genoux, bustier moulant, des seins superbes… A croquer… 

Cécile fait le tour de la boutique, passe sa main sur les tissus, en froisse certain pour s’assurer de leur soyeux ou de leur douceur . Elle déteste tout ce qui gratte, pique, agresse la peau. De temps en temps, elle sort un vêtement suspendu du rayon le regarde, le retourne, jette un œil au prix, à la composition du tissu, à la taille. Elle repère la place des pièces sélectionnées dans les rayons, observe, juge, sélectionne… mais n’oublie pas d’observer la belle vendeuse… Echanges de sourires, les regards semblent s’attirer… 

« Voilà, j’ai fait un choix assez vaste, je vais vous montrer, ainsi j’essaye tout d’un coup. »

La jeune femme s’approche de Cécile : « Montrez-moi ce qui vous plaît, je m’occupe de tout. »

« Ne me dites pas ça ainsi… Vous seriez surprise du résultat ! »

« On ne me surprend pas si facilement madame » Leurs rires fusent… Voyons la suite… 

Cécile refait le tour du magasin, suivie de la vendeuse. Une vaste sélection de jupes, pantalons, chemises et t-shirts est faite, quelques ceintures larges, une ou deux robes. 

« Venez, la cabine est par ici »

Cécile pénètre dans la vaste cabine d’essayage à la suite de la vendeuse qui installe tous les vêtements à la patère. « N’hésitez pas à m’appeler si il y a un problème de taille. »

Cécile se déshabille, est en sous-vêtements : un coordonné chocolat avec quelques broderies. Le soutien-gorge pigeonnant met en valeur sa poitrine, le string à la seinture un peu large dévoile ses fesses galbées. Elle se regarde dans le miroir, se plaît,  sourit et choisit une jupe assez courte, bleu marine et un t-shirt assorti. Le haut est impeccable, décolleté délicat, vue imprenable sur la jolie vallée entre ses seins. La jupe pose problème… Trop étroite… impossible à enfiler… Cécile entrebaille la porte, passe la tête : « Mademoiselle… la jupe est trop serrée, il me faudrait la taille au-dessus. »

« J’arrive tout de suite, appelez-moi Leslie. »

Leslie entre dans la cabine, regarde tout d’abord le t-shirt, fait une moue admirative, un sourire, baisse les yeux lentement sur le ventre de Cécile, prend son temps pour regarder ses hanches, ses jambes… « Vous êtes pourtant bien mince… et belle…  Tournez-vous que je vois… »

Interloquée, Cécile se retourne, montre ses fesses… murmure un « Appelez-moi Cécile alors, Leslie », se ressaisit et lui faisant face à nouveau : « Vous avez la taille au-dessus ? »

« Je vais voir. »

Pendant que la vendeuse s’affaire dans les rayons, Cécile enfile d’autres vêtements, sélectionne ce qui va, met de côté ce qui ne va pas. Leslie revient.

« Voilà la taille au-dessus. Je me suis permise de prendre un autre vêtement qui devrait aller parfaitement avec vos formes » Une robe. Blanche, longue, moulante, en maille tissée serrée.

Cécile regarde la robe, sous le charme de ce vêtement très féminin, étonnée que cette merveille lui ait échappé dans les rayons, elle ôte le chemisier qu’elle venait d’enfiler, elle tend la main pour la prendre…  Leslie fait une petite grimace… «Cécile, je vous conseille d’enlever le soutien-gorge, ça va faire des marques sous le tissu. Tournez-vous, je vais le dégrafer » « Encore » se dit Cécile, surprise de devoir montrer ses fesses pour la deuxième fois en quelques minutes à cette Leslie qui a bien du charme décidément. 

La jeune femme dégrafe lentement le soutien-gorge dans le dos de Cécile, fait remonter ses mains douces vers les épaules, le long des bretelles, les  fait glisser le long des bras, délicatement, récupère le vêtement d’une main, le pose enfin.

Cécile pivote sur elle-même pour lui faire face. Elle ne bouge plus, la fixe du regard, plante ses yeux dans ceux de Leslie, offre ses seins à son regard. Elles ne bougent pas pendant un temps infini… quelques secondes…  une éternité.

Avec un sourire complice Leslie prend la robe qu’elle tend à Cécile. Il faut rompre le charme. Essayer ce fourreau blanc. Somptueuse… Cette robe est somptueuse… Elle épouse parfaitement les seins, la taille, les hanches, les cuisses, les jambes de Cécile. Faite pour elle, faite sur elle semble-t-il…

« Elle vous va vraiment très bien, vous êtes vraiment belle… Cependant… »

« Cependant ?! »

« Cependant, on devine votre string en-dessous… La robe est serrée, près du corps, regardez, sur vos hanches… » Joignant le geste à la parole, Leslie a posé derechef ses mains sur les hanches de sa cliente, les caresse, les frotte, dessine le contour du string avec ses doigts. « Je devrais peut-être l’enlever… »

Avec un sourire amusé, Cécile relève la robe jusqu’à sa taille, fixant Leslie, elle retire son string et le pose nonchalamment. Sa toison bien taillée est apparente, son bronzage est uniforme, la peau de son bas-ventre semble douce. Leslie qui ne peut détacher ses yeux impudiques du sexe de la femme qui est debout devant elle, se passe nerveusement la langue sur les lèvres. Cécile prend son temps pour baisser la robe… « En effet, c’est mieux… plus de trace visible »

« Vous êtes vraiment belle… » « Je vous trouve tout à mon goût également »

Les deux femmes s’approchent l’une de l’autre, leurs seins se frôlent, leurs mains cherchent à se poser sur les hanches, sur la taille, leurs lèvres s’entrouvrent, leurs langues entrent enfin en contact… Bouche contre bouche, langue contre langue, salives mêlées. Tout en douceur. Le baiser dure. Elles se laissent perdre toute retenue, pénètrent à tour de rôle la bouche de l’autre, lèchent les lèvres, se sucent la langue, les mains visitent les cheveux, les cous, les épaules, les bras, les seins, les hanches, les tailles, les fesses…

Au bout d’un long moment, elles cessent leur jeu, se regardent, puis reprennent de plus belle, seules au monde dans cette grande cabine. La robe blanche de Cécile est soulevée, passée par la tête, ôtée ; le petit string blanc de Leslie finit au sol, arraché par Cécile maintenant à genoux devant le sexe à la toison fine de la jeune femme. La langue de Cécile se fraye un passage entre les lèvres humides, atteint le clitoris, cela provoque un frisson dans tout le corps pâle de Leslie et une vague de miel inonde le sexe de Cécile…

Leslie appuie son dos contre le mur, sur les vêtements suspendus, pas encore essayés. Elle écarte d’avantage les cuisses, ouvre sa chatte de ses deux mains, gémit, ferme les yeux. Elle se laisse glisser au sol entrainant dans sa chute tous les habits inutiles. La bouche de Cécile n’a pas lâché  le sexe de Leslie qui est maintenant sur le dos, offerte, jambes écartées, fente ouverte, ruisselante. Les doigts de Cécile atteignent l’orifice, le majeur y pénètre, suivi de l’index… L’intérieur de la chatte est trempé, chaud, doux. Du bout des doigts, Cécile insiste sur la vulve, délicatement, sa langue est concentré sur le clitoris gonflé dont elle se régale : elle le lèche comme si il s’agissait d’une glace, épicée, sucrée, parfumée. Elle sent les contractions du vagin, spasmes de désir, elle entend les gémissements de plaisir, ses mouvements de doigts se font plus pressants, un troisième doigt prend place, frotte, lime, caresse, appuie judicieusement.

Sans cesser son œuvre, Cécile lève les yeux vers le ventre de Leslie, elle le voit se contracter, elle voit et sent les mouvements de copulation de son bassin ; sa bouche et ses doigts ne lâcheraient la chatte sur le point de jouir pour rien au monde. Sur une  plus forte contraction du vagin, Leslie pousse un cri rauque, jouit follement, ruisselle de plaisir. Son orgasme est puissant, sa chatte coule à en inonder son cul… Cécile ne résiste pas à l’envie d’y enfoncer son pouce, décuplant encore le plaisir de la jeune femme.

Les gestes se calment enfin, les sens se reprennent… Le silence revient. 

Cécile retire doucement ses doigts des orifices de Leslie, sourit et glisse ses doigts trempés dans la bouche de Leslie. « Bois »

Son autre main se saisit des cheveux de Leslie, lui soulève la tête, elle se glisse à  califourchon sur la femme toujours allongée, approche son sexe inondé  de la bouche de Leslie et, toujours en la maintenant par les cheveux, s’assoie sans ménagement sur sa bouche. Elle frotte sans vergogne sa chatte qui ruisselle sur tout le bas du visage de Leslie. Elle l’empêche de bouger en lui maintenant fermement les cheveux. Elle a besoin de prendre le contrôle de la jeune femme, de la dominer…

Leslie est toujours habillée, à par le string perdu au fond de la cabine.

Cécile s’installe à genoux sur le tas de vêtements, ordonne à Leslie d’enlever son haut afin de libérer ses seins. L’autre s’exécute, silencieuse.

Elle l’attrape ensuite par la nuque et la force à s’installer à quatre pattes, fesses offertes, jupe relevée, seins libres. Cécile observe un moment sa proie, fouille dans les vêtements épars, trouve une large ceinture, la passe autours des cuisses de Leslie et serre fort la boucle pour l’entraver. Elle lui appuie sur les épaules pour les plaquer au sol, trouve une autre ceinture, la prend par la boucle, l’enroule deux fois autour de sa main et commence à caresser tout le corps offert avec.

« Tu as voulu me provoquer, tu dis qu’on ne peut te surprendre facilement… Voyons ça… »

Le bout de la ceinture part de la nuque et descend le long du dos, glisse sur la jupe relevée, atteint les fesses, glisse sur les cuisses et file le long des jambes vers les pieds. Un premier coup est assené sur la plante des pieds. Le second sur les mollets, ensuite les cuisses, puis les fesses…  Les premiers coups ne sont pas douloureux, Cécile apprend à manipuler la large bande de cuir. Petit à petit, cependant, les claques deviennent plus précises, les fesses en font les frais, elles rougissent vite. Le dos est laissé tranquille. Lorsque les cris de Leslie deviennent incontrôlables, Cécile prend son foulard et baillonne sa prisonnière. Elle pose ensuite la ceinture et reprend les claques du plat de la main. Elle aime sentir la sensation de chaleur au contact de la peau rougie et sur la paume de sa main ; elle sent également les débordements d’excitation de sa chatte qui coule en larmes le long de ses cuisses. Son bas-ventre est tendu. Son sexe est demandeur.

Cécile se glisse au sol devant le visage de Leslie, lui caresse doucement le visage, lui sourit… « Tes fesses semblent suffisamment surprises ; maintenant, tu vas me lécher comme je t’ai léchée, me pénétrer, comme je t’ai pénétrée, avec tes doigts, avec ta langue… Ma chatte est à toi, montre-moi tes talents de chienne. »

Soulagée, Leslie s’exécute,  dans cette position inconfortable, cul rougi toujours en l’air. Elle baisse les yeux vers la chatte mouillée, y pose ses lèvres, y enfonce sa langue au plus profond, son nez écrasé contre le pubis de sa maîtresse ; elle entreprend de la lécher avec passion, avec application… Elle pose sa langue contre le cul, remonte entre les lèvres, atteint le clitoris, recommence inlassablement, encore, encore. Cécile soupire de bonheur, s’abandonne. « N’oublie pas tes doigts ma belle »

Un doigt timide pénètre dans le sexe gourmand…

« Allez, je veux sentir tes doigts ou je reprends la ceinture… »

Un deuxième doigt…  « Encore » un troisième doigt…

« Tu veux tâter de ma ceinture ? je dois te motiver d’avantage ? » Un coup  sur le dos accompagne ces mots…

Leslie enfonce alors vigoureusement quatre doigts dans la chatte qui n’attendait que ça.

Cécile pousse un cri de plaisir, donne de violents coups de bassin pour s’y empaler d’avantage…

« Je ne sens plus ta langue »

La langue reprend sa valse sur le clitoris. La main de Leslie dégouline de cyprine suave ; prise d’un accès de rage, Leslie ferme sa main, réunit tous ses cinq doigts et entreprend de forcer le passage… Sa langue s’active, son bras pousse en avant, sous l’effort, ses fesses tanguent, ses cuisses toujours entravées lui font perdre d’équilibre, elle tombe sur le côté. Ca lui donne un appui supplémentaire pour faire pression sur le sexe béant… la main s’enfonce, le poing franchit la barrière, Cécile hurle de plaisir, pousse encore son bassin en avant, son orgasme violent, démentiel, douloureux, magnifique explose jusque dans sa tête. Elle a l’impression de sombrer, de perdre connaissance… La jouissance dure longtemps, puis s’estompe… Son corps se détend progressivement, les mouvements cessent, les gémissements se taisent.

Avec précaution, Leslie retire sa main. Les deux femmes se regardent, hébétées, contemplent le désastre qui règne autour d’elle dans la cabine d’essayage…

Leslie se libère les jambes de la ceinture. Il va falloir remettre un peu d’ordre…

Le tintement du carillon résonne… Une cliente !

« Je m’occupe de vous tout de suite madame » lance Leslie en enfilant rapidement son bustier. Elle sort en riant de la cabine. « Je pense que je vais acheter cette robe » se dit Cécile…

Par belle femme
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