Mercredi 21 avril 3 21 /04 /Avr 12:05

bf stele fist6

Shopping 

La voilà partie, bien décidée à faire une razzia dans sa petite boutique préférée… T-shirts, pantalons, jupettes, elle n’a besoin de rien, bien sûr… Juste une envie, un besoin de se faire plaisir.

Elle pousse la porte en souriant, entre, le carillon de l’entrée tinte, elle jette un œil circulaire à la ronde, entend la porte se fermer doucement derrière elle. Tiens, une nouvelle vendeuse, jolie fille… Celle-ci s’approche… « Bonjour… Je peux vous aider ? » Sourires. « Non, pas tout de suite, je fais le tour et vous appelle ensuite. Merci » « Bien sûr, je vous laisser regarder tranquillement . »

Echange de sourires, décidément, elle est charmante. Jupe au-dessus des genoux, fins d’ailleurs ses genoux, bustier moulant, des seins superbes… A croquer… 

Cécile fait le tour de la boutique, passe sa main sur les tissus, en froisse certain pour s’assurer de leur soyeux ou de leur douceur . Elle déteste tout ce qui gratte, pique, agresse la peau. De temps en temps, elle sort un vêtement suspendu du rayon le regarde, le retourne, jette un œil au prix, à la composition du tissu, à la taille. Elle repère la place des pièces sélectionnées dans les rayons, observe, juge, sélectionne… mais n’oublie pas d’observer la belle vendeuse… Echanges de sourires, les regards semblent s’attirer… 

« Voilà, j’ai fait un choix assez vaste, je vais vous montrer, ainsi j’essaye tout d’un coup. »

La jeune femme s’approche de Cécile : « Montrez-moi ce qui vous plaît, je m’occupe de tout. »

« Ne me dites pas ça ainsi… Vous seriez surprise du résultat ! »

« On ne me surprend pas si facilement madame » Leurs rires fusent… Voyons la suite… 

Cécile refait le tour du magasin, suivie de la vendeuse. Une vaste sélection de jupes, pantalons, chemises et t-shirts est faite, quelques ceintures larges, une ou deux robes. 

« Venez, la cabine est par ici »

Cécile pénètre dans la vaste cabine d’essayage à la suite de la vendeuse qui installe tous les vêtements à la patère. « N’hésitez pas à m’appeler si il y a un problème de taille. »

Cécile se déshabille, est en sous-vêtements : un coordonné chocolat avec quelques broderies. Le soutien-gorge pigeonnant met en valeur sa poitrine, le string à la seinture un peu large dévoile ses fesses galbées. Elle se regarde dans le miroir, se plaît,  sourit et choisit une jupe assez courte, bleu marine et un t-shirt assorti. Le haut est impeccable, décolleté délicat, vue imprenable sur la jolie vallée entre ses seins. La jupe pose problème… Trop étroite… impossible à enfiler… Cécile entrebaille la porte, passe la tête : « Mademoiselle… la jupe est trop serrée, il me faudrait la taille au-dessus. »

« J’arrive tout de suite, appelez-moi Leslie. »

Leslie entre dans la cabine, regarde tout d’abord le t-shirt, fait une moue admirative, un sourire, baisse les yeux lentement sur le ventre de Cécile, prend son temps pour regarder ses hanches, ses jambes… « Vous êtes pourtant bien mince… et belle…  Tournez-vous que je vois… »

Interloquée, Cécile se retourne, montre ses fesses… murmure un « Appelez-moi Cécile alors, Leslie », se ressaisit et lui faisant face à nouveau : « Vous avez la taille au-dessus ? »

« Je vais voir. »

Pendant que la vendeuse s’affaire dans les rayons, Cécile enfile d’autres vêtements, sélectionne ce qui va, met de côté ce qui ne va pas. Leslie revient.

« Voilà la taille au-dessus. Je me suis permise de prendre un autre vêtement qui devrait aller parfaitement avec vos formes » Une robe. Blanche, longue, moulante, en maille tissée serrée.

Cécile regarde la robe, sous le charme de ce vêtement très féminin, étonnée que cette merveille lui ait échappé dans les rayons, elle ôte le chemisier qu’elle venait d’enfiler, elle tend la main pour la prendre…  Leslie fait une petite grimace… «Cécile, je vous conseille d’enlever le soutien-gorge, ça va faire des marques sous le tissu. Tournez-vous, je vais le dégrafer » « Encore » se dit Cécile, surprise de devoir montrer ses fesses pour la deuxième fois en quelques minutes à cette Leslie qui a bien du charme décidément. 

La jeune femme dégrafe lentement le soutien-gorge dans le dos de Cécile, fait remonter ses mains douces vers les épaules, le long des bretelles, les  fait glisser le long des bras, délicatement, récupère le vêtement d’une main, le pose enfin.

Cécile pivote sur elle-même pour lui faire face. Elle ne bouge plus, la fixe du regard, plante ses yeux dans ceux de Leslie, offre ses seins à son regard. Elles ne bougent pas pendant un temps infini… quelques secondes…  une éternité.

Avec un sourire complice Leslie prend la robe qu’elle tend à Cécile. Il faut rompre le charme. Essayer ce fourreau blanc. Somptueuse… Cette robe est somptueuse… Elle épouse parfaitement les seins, la taille, les hanches, les cuisses, les jambes de Cécile. Faite pour elle, faite sur elle semble-t-il…

« Elle vous va vraiment très bien, vous êtes vraiment belle… Cependant… »

« Cependant ?! »

« Cependant, on devine votre string en-dessous… La robe est serrée, près du corps, regardez, sur vos hanches… » Joignant le geste à la parole, Leslie a posé derechef ses mains sur les hanches de sa cliente, les caresse, les frotte, dessine le contour du string avec ses doigts. « Je devrais peut-être l’enlever… »

Avec un sourire amusé, Cécile relève la robe jusqu’à sa taille, fixant Leslie, elle retire son string et le pose nonchalamment. Sa toison bien taillée est apparente, son bronzage est uniforme, la peau de son bas-ventre semble douce. Leslie qui ne peut détacher ses yeux impudiques du sexe de la femme qui est debout devant elle, se passe nerveusement la langue sur les lèvres. Cécile prend son temps pour baisser la robe… « En effet, c’est mieux… plus de trace visible »

« Vous êtes vraiment belle… » « Je vous trouve tout à mon goût également »

Les deux femmes s’approchent l’une de l’autre, leurs seins se frôlent, leurs mains cherchent à se poser sur les hanches, sur la taille, leurs lèvres s’entrouvrent, leurs langues entrent enfin en contact… Bouche contre bouche, langue contre langue, salives mêlées. Tout en douceur. Le baiser dure. Elles se laissent perdre toute retenue, pénètrent à tour de rôle la bouche de l’autre, lèchent les lèvres, se sucent la langue, les mains visitent les cheveux, les cous, les épaules, les bras, les seins, les hanches, les tailles, les fesses…

Au bout d’un long moment, elles cessent leur jeu, se regardent, puis reprennent de plus belle, seules au monde dans cette grande cabine. La robe blanche de Cécile est soulevée, passée par la tête, ôtée ; le petit string blanc de Leslie finit au sol, arraché par Cécile maintenant à genoux devant le sexe à la toison fine de la jeune femme. La langue de Cécile se fraye un passage entre les lèvres humides, atteint le clitoris, cela provoque un frisson dans tout le corps pâle de Leslie et une vague de miel inonde le sexe de Cécile…

Leslie appuie son dos contre le mur, sur les vêtements suspendus, pas encore essayés. Elle écarte d’avantage les cuisses, ouvre sa chatte de ses deux mains, gémit, ferme les yeux. Elle se laisse glisser au sol entrainant dans sa chute tous les habits inutiles. La bouche de Cécile n’a pas lâché  le sexe de Leslie qui est maintenant sur le dos, offerte, jambes écartées, fente ouverte, ruisselante. Les doigts de Cécile atteignent l’orifice, le majeur y pénètre, suivi de l’index… L’intérieur de la chatte est trempé, chaud, doux. Du bout des doigts, Cécile insiste sur la vulve, délicatement, sa langue est concentré sur le clitoris gonflé dont elle se régale : elle le lèche comme si il s’agissait d’une glace, épicée, sucrée, parfumée. Elle sent les contractions du vagin, spasmes de désir, elle entend les gémissements de plaisir, ses mouvements de doigts se font plus pressants, un troisième doigt prend place, frotte, lime, caresse, appuie judicieusement.

Sans cesser son œuvre, Cécile lève les yeux vers le ventre de Leslie, elle le voit se contracter, elle voit et sent les mouvements de copulation de son bassin ; sa bouche et ses doigts ne lâcheraient la chatte sur le point de jouir pour rien au monde. Sur une  plus forte contraction du vagin, Leslie pousse un cri rauque, jouit follement, ruisselle de plaisir. Son orgasme est puissant, sa chatte coule à en inonder son cul… Cécile ne résiste pas à l’envie d’y enfoncer son pouce, décuplant encore le plaisir de la jeune femme.

Les gestes se calment enfin, les sens se reprennent… Le silence revient. 

Cécile retire doucement ses doigts des orifices de Leslie, sourit et glisse ses doigts trempés dans la bouche de Leslie. « Bois »

Son autre main se saisit des cheveux de Leslie, lui soulève la tête, elle se glisse à  califourchon sur la femme toujours allongée, approche son sexe inondé  de la bouche de Leslie et, toujours en la maintenant par les cheveux, s’assoie sans ménagement sur sa bouche. Elle frotte sans vergogne sa chatte qui ruisselle sur tout le bas du visage de Leslie. Elle l’empêche de bouger en lui maintenant fermement les cheveux. Elle a besoin de prendre le contrôle de la jeune femme, de la dominer…

Leslie est toujours habillée, à par le string perdu au fond de la cabine.

Cécile s’installe à genoux sur le tas de vêtements, ordonne à Leslie d’enlever son haut afin de libérer ses seins. L’autre s’exécute, silencieuse.

Elle l’attrape ensuite par la nuque et la force à s’installer à quatre pattes, fesses offertes, jupe relevée, seins libres. Cécile observe un moment sa proie, fouille dans les vêtements épars, trouve une large ceinture, la passe autours des cuisses de Leslie et serre fort la boucle pour l’entraver. Elle lui appuie sur les épaules pour les plaquer au sol, trouve une autre ceinture, la prend par la boucle, l’enroule deux fois autour de sa main et commence à caresser tout le corps offert avec.

« Tu as voulu me provoquer, tu dis qu’on ne peut te surprendre facilement… Voyons ça… »

Le bout de la ceinture part de la nuque et descend le long du dos, glisse sur la jupe relevée, atteint les fesses, glisse sur les cuisses et file le long des jambes vers les pieds. Un premier coup est assené sur la plante des pieds. Le second sur les mollets, ensuite les cuisses, puis les fesses…  Les premiers coups ne sont pas douloureux, Cécile apprend à manipuler la large bande de cuir. Petit à petit, cependant, les claques deviennent plus précises, les fesses en font les frais, elles rougissent vite. Le dos est laissé tranquille. Lorsque les cris de Leslie deviennent incontrôlables, Cécile prend son foulard et baillonne sa prisonnière. Elle pose ensuite la ceinture et reprend les claques du plat de la main. Elle aime sentir la sensation de chaleur au contact de la peau rougie et sur la paume de sa main ; elle sent également les débordements d’excitation de sa chatte qui coule en larmes le long de ses cuisses. Son bas-ventre est tendu. Son sexe est demandeur.

Cécile se glisse au sol devant le visage de Leslie, lui caresse doucement le visage, lui sourit… « Tes fesses semblent suffisamment surprises ; maintenant, tu vas me lécher comme je t’ai léchée, me pénétrer, comme je t’ai pénétrée, avec tes doigts, avec ta langue… Ma chatte est à toi, montre-moi tes talents de chienne. »

Soulagée, Leslie s’exécute,  dans cette position inconfortable, cul rougi toujours en l’air. Elle baisse les yeux vers la chatte mouillée, y pose ses lèvres, y enfonce sa langue au plus profond, son nez écrasé contre le pubis de sa maîtresse ; elle entreprend de la lécher avec passion, avec application… Elle pose sa langue contre le cul, remonte entre les lèvres, atteint le clitoris, recommence inlassablement, encore, encore. Cécile soupire de bonheur, s’abandonne. « N’oublie pas tes doigts ma belle »

Un doigt timide pénètre dans le sexe gourmand…

« Allez, je veux sentir tes doigts ou je reprends la ceinture… »

Un deuxième doigt…  « Encore » un troisième doigt…

« Tu veux tâter de ma ceinture ? je dois te motiver d’avantage ? » Un coup  sur le dos accompagne ces mots…

Leslie enfonce alors vigoureusement quatre doigts dans la chatte qui n’attendait que ça.

Cécile pousse un cri de plaisir, donne de violents coups de bassin pour s’y empaler d’avantage…

« Je ne sens plus ta langue »

La langue reprend sa valse sur le clitoris. La main de Leslie dégouline de cyprine suave ; prise d’un accès de rage, Leslie ferme sa main, réunit tous ses cinq doigts et entreprend de forcer le passage… Sa langue s’active, son bras pousse en avant, sous l’effort, ses fesses tanguent, ses cuisses toujours entravées lui font perdre d’équilibre, elle tombe sur le côté. Ca lui donne un appui supplémentaire pour faire pression sur le sexe béant… la main s’enfonce, le poing franchit la barrière, Cécile hurle de plaisir, pousse encore son bassin en avant, son orgasme violent, démentiel, douloureux, magnifique explose jusque dans sa tête. Elle a l’impression de sombrer, de perdre connaissance… La jouissance dure longtemps, puis s’estompe… Son corps se détend progressivement, les mouvements cessent, les gémissements se taisent.

Avec précaution, Leslie retire sa main. Les deux femmes se regardent, hébétées, contemplent le désastre qui règne autour d’elle dans la cabine d’essayage…

Leslie se libère les jambes de la ceinture. Il va falloir remettre un peu d’ordre…

Le tintement du carillon résonne… Une cliente !

« Je m’occupe de vous tout de suite madame » lance Leslie en enfilant rapidement son bustier. Elle sort en riant de la cabine. « Je pense que je vais acheter cette robe » se dit Cécile…

Par belle femme
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