Dimanche 9 mai 7 09 /05 /Mai 04:47

bf stele wrap arms to side

La belle femme s’est envolée.

Cela me laisse le temps pour repenser à l’attirance qui la pousse vers tant de ‘’premières ‘’.

Bien sur, tout est attirant chez la belle femme. Mais plus précisément et de haut en bas j’aime ses cheveux, sa bouche, ses seins, son ventre, son sexe,ses cuisses et ses pieds…

Suis-je fétichiste pour adorer la belle femme par tranche ? Je m’interroge quand même.

Lors d’une bulle dont nous avons le secret, j’ai acheté avec le champagne un rouleau de film alimentaire.

La belle femme est arrivée élégante et ponctuelle. Le retard n’est plus admissible depuis sa première fessée. Rires et champagne avant de monter dans la chambre.

Le plateau champagne est posé sur le lit à coté du rouleau de film. Je guette le regard de belle femme qui découvre le rouleau sur le lit.

Sourire ! Question :

- « C’est pour moi ce cadeau ? »

La belle femme sait sourire pour masquer une angoisse. Et j’essaie de deviner ce qu’elle pense à ce moment.

Sans un mot je la prends par les mains et je lui fais comprendre qu’aujourd’hui je vais la déshabiller. La chambre n’est jamais surchauffée et je m’amuse des frissons  qui la parcourent lorsque je fais glisser par terre ses fins vêtements et ses sous-vêtements. Elle a compris qu’elle ne devait plus parler. Je dois la laisser seule avec ses sensations et son angoisse.

Elle est maintenant debout devant le lit, nue. Mes mains glissent de ses épaules à ses hanches pour dessiner ses formes parfaitement féminines. Mes doigts effleurent son pubis et l’ouverture de son sexe qui apparaît maintenant en haut de ses cuisses.

Elle ne sourit plus et me regarde la caresser. C’est encore trop.

            Ses cheveux :

Je la fais pivoter et je suis maintenant dans son dos. Ses épaules devant moi attirent un baiser dans le cou. J’attrape ses cheveux à pleine main, tire sa tête en arrière et je mords son épaule. Fermement dans le muscle jusqu'à ce que j’entende un cri de surprise et un long feulement de plaisir. Je pense que mes morsures lui vont droit au cerveau de femelle et lui descendent directement dans le sexe. Je la serre très fort pour lui faire sentir ma force et mon désir.

Je saisis ses fesses que j’écarte doucement mais fermement. Son cul se tord et je vois distinctement la partie arrière de sa vulve. Ma main glisse dans sa fente et découvre le désir qui l’inonde déjà.

Je sais maintenant qu’elle est déjà à moi. Je pourrais la projeter à plat ventre sur le lit et la pénétrer sans préliminaire.

Je la retourne debout face à moi et m’empare du rouleau de film étirable.

En commençant par le bas, j’applique et entoure le film sur ses chevilles, ses mollets puis ses genoux. Je fais attention de chevaucher et plaquer le film pour une adhésion parfaite.

Toujours en tournant le rouleau autour de la belle femme, je remonte le long de ses cuisses et ses fesses. En arrivant devant son sexe je lui glisse un long coup de langue. Elle projette son pubis en avant pour accentuer la pression sur ma langue. Elle est ruisselante et son liquide féminin fait déjà des filets qui s’accrochent à ma langue.

Désolé petite chatte, aujourd’hui tu seras emballée.

Le film passe et enferme son pubis, ses fesses et son ventre.

Sous le film, la peau ne respire plus et je devine la transpiration qui l’humidifie déjà.

Très vite je fais tourner le rouleau autour de ses bras ballants faisant attention de laisser libre la main droite.

Elle l’agite pour montrer qu’elle n’est pas totalement captive.

Elle ne sourit plus depuis le début. Mais maintenant sa bouche s’est entrouverte pour laisser passer l’air en prévision de je ne sais quelle apnée.

Je continue à emballer la belle femme et maintenant j’entoure et plaque le film sur ses seins et ses épaules.

Je déchire le film et plaque la dernière couche sur son cou.

La belle femme est devant moi, debout, nue et totalement immobilisée.

Sous le film transparent je devine sa toison pubienne ou le peu que sa coquetterie a laissé.

Ses seins enfermés transpirent et le film se trouble. La tache marron de ses mamelons apparaît nettement. Je touche sa main qui reste notre seul point de contact.

Sa bouche :

Les yeux de belle femme fixe ma bite en érection et je la plaque sur sa cuisse. Je m’amuse à la frotter sur le film devant sa chatte. En tournant autour d’elle je la frotte contre son cul enfermé et aplati par le film. Je passe ma main dans ses cheveux. Sadiquement je glisse ma bite dans sa main et elle s’y accroche comme à une poignée. C’est le seul contact qu’elle peut avoir avec moi. Je l’empoigne à pleine main et je l’embrasse en la violant avec ma langue. Ce n’est que par  là qu’elle peut être pénétrée et je devine son désir de prendre ma bite dans la bouche. Elle reste la bouche ouverte.

Je la fais basculer sur le lit. Elle est parfaitement impuissante et sa bouche est toujours offerte.

Je me glisse à son coté et lentement j’approche ma bite de sa bouche. Elle l’engloutit complètement. Jusqu’aux couilles. Son nez cogne contre mon pubis. Je n’arrive pas à m’extraire et sens au bout de mon gland le fond de sa gorge. Enfin je sors ma bite et regarde la salive qui coule au coin de sa bouche. Ses yeux coulent un peu et elle n’a pas fermé sa bouche. De nouveau je lui pénètre la bouche et savoure son aspiration et les gargouillis obscènes. Elle aspire, elle suce, elle presse et sa tête va d’avant en arrière pour se faire pénétrer avec violence. Je suis incapable de maîtriser mon bassin qui donne des coups puissants comme si je pénétrais son sexe. Je retire encore mon sexe et me délecte de sa bouche qui est devenue un sexe.

Je bande comme un âne.

            Ses pieds :

Je la tourne sur le dos. Seuls dépassent du film sa main et ses pieds. Je ne peux m’empêcher de les caresser. J’aime masser et m’occuper de ses pieds. La belle femme est grande et ses pieds sont ….proportionnés. Comprendre qu’elle ne fait pas du 36. Parfaitement entretenus, la belle femme a évidement de beaux pieds. Serait-elle belle si elle avait des pieds moches ?

Puis je décide de reprendre mon jeu et d’explorer une autre partie de la belle femme que j’aime :

Ses seins :

Avec les dents, j’entreprends de déchirer le film au dessus de ses mamelons. Bien sûr, je fais attention de ne pas accrocher sa peau sensible avec mes dents. Je devine à certains cris que me dents ont mordu un peu trop fort. Je dégage enfin avec les doigts un trou suffisamment grand pour extraire les 2 seins du film plastique.

Elle est sur le dos, emballée comme un rouleau de printemps et ses seins pointent hors du film, comprimés mais libres. Je commence à les lécher doucement, fermement et sans limite. De haut en bas, les mamelons, autour des mamelons, de bas en haut. Le gauche, le droit. En les prenant à pleine main je comprends combien ils sont devenus sensibles. Sûrement la compression qui a libéré la sensualité vers la pointe des seins. La belle femme se balance de gauche à droite et se cambre pour m’offrir encore plus de seins et réclamer encore plus de langue.

Son ventre :

Je sais que la belle femme n’aime pas que je touche son nombril. C’est le seul orifice qui m’est interdit. J’entreprends donc avec mon doit perceur de déchirer le film étirable au niveau de son nombril. La belle femme a compris et oscille la tête de droite a gauche dans un signe désespéré de refus. Son ventre et son nombril sont maintenant libres. Je caresse son ventre si doux et mon doigt sadique tourne autour de son nombril. La belle femme commence à gémir. Elle sait qu’elle est impuissante. Elle se cambre, de haut en bas et de gauche à droite pour échapper à mon doigt ‘’pénétreur’’. Je lui plaque le dos contre le lit et je pénètre doucement son nombril. Elle crie, se cambre violement. Que son nombril est beau. Je crois que c’est le premier détail qui m’a plu chez la belle femme. Et elle le sait. Elle veut bien le montrer mais on n’a pas le droit de la violer par là. Je pousse le vice jusqu'à lui lécher le ventre et introduire ma langue dans son embouligue. Râle d’agonie. Sourire diabolique les yeux dans les yeux.

            Sa chatte :

Ma main continue de la caresser au travers du film. Elle est maintenant parfaitement soumise à mes désirs, incapable de la moindre fuite. 2 options : tortillage de droite à gauche ou de haut en bas.

Mon doigt perceur entreprend un trou au niveau de son pubis. Un trou de 20 centimètre ? Sa chatte est maintenant apparente et offerte. Je glisse ma main et découvre l’état dans lequel elle est. Elle ruisselle et son jus coule dans la raie du cul. Je glisse ma main entre son sexe jusqu'à sentir le film plaqué contre ses fesses. Mon pouce, mes doigts pénètrent son sexe, son cul aussi humide. Je déchire encore le trou et elle pousse son sexe contre ma main. C’est moi qui décide de ce qui doit être pénétré, violé, pincé. Elle crie. Je la regarde dans les yeux et je comprends que son orgasme est proche. Je descends ma bouche et donne 2 coups de langue contre son clito qui est maintenant parfaitement apparent.

- « Je jouis, je jouis, c’est bon c’est fort. »

Je savoure ma puissance et continue de la pénétrer avec mes doigts et pousse le plus possible.

Je retourne la belle femme sur le ventre et libère son cul en déchirant le filme jusqu’à mi-cuisse.

Je guide ma queue et la présente devant son cul. Elle se cambre et sans difficulté je l’encule. Elle ouvre ses fesses pour mieux m’absorber. Je la pénètre profondément en écoutant ses cris de plaisir et de jouissance. La pénétration anale venant semble-t’il compléter la jouissance de son clito. Je jouis moi aussi, dans son cul. Profondément.

Elle feule et se cambre encore plus pour sentir les contractions de ma queue.

Nous restons un moment imbriqués. Elle, le cul cambré et serré et moi, la bite déjà flasque et prisonnière.

Je la retourne une dernière fois sur le dos. Baisers profonds et reconnaissants de tant de plaisir. Je déchire le film et la libère par morceaux de film que je jette au pied du lit. Elle est ruisselante de transpiration et de plaisir. Moi aussi.

Ses cheveux :

Sans dire un mot elle se plaque contre ma poitrine et je lui caresse les cheveux que j’aime aussi.

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Par Bfemme
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Commentaires

étrange sensation que la perte de la mobilité, la perte du contrôle... et pourtant... magnifique pouvoir du désir, magnifique pouvoir des regards et des expressions du visage... En un mot : emballée !
commentaire n° :1 posté par : bfemme le: 10/05/2010 à 18h15

Journal d'une belle femme

  • Le journal d'une belle femme.
  • : Le journal d'une belle femme.
  • : Vous ouvrez le journal profondément intime de Bfemme. Bfemme est un pseudo imaginé par mon amant. Bien sur tout cela n'est que le fruit de mon imaginaire, de mes phantasmes et de mes souvenirs. Les photos qui on été choisies pour illustrer ces textes ont été trouvées sur le web et dans mon disque dur. N'hésitez pas à exprimer vos émotions, je ruissellerai à vous lire.... Bfemme
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