Vendredi 7 mai 5 07 /05 /Mai 23:18

daily erotic picdump 252 04

La maîtresse guide Lucy à travers le grand hall, monte devant elle le grand escalier de marbre blanc, marche rapidement en donnant des à-coups à la laisse, traîne son esclave nue qui frissonne plus de gêne et de peur que de froid le long d’un couloir où s’alignent des portes fermées, s’arrête enfin devant l’une d’elles et l’ouvre. Une chambre. La chambre de Lucy pour au moins deux semaines d’initiation.

Un grand lit, un bureau, une baie vitrée donnant sur une terrasse ensoleillée, un placard mural, un grand miroir, les meubles sont en bois sombre, les tissus clairs, des tableaux contemporains, des photos en noir et blanc.  Une porte mène probablement à la salle de bain. L’ensemble est harmonieux, de bon goût, agréable à l’œil, apaisant pour Lucy  qui n’en mène pas large.

 

« Tu n’as pas besoin de ta valise ni de tes affaires personnelles. Tu trouveras ce qu’il te faut pour le moment dans ton placard et dans la commode. Quelqu’un va venir s’occuper de toi. Interdiction de sortir de ta chambre, interdiction de te promener en liberté, interdiction d’ôter tes boules de geisha, tu es une novice, tu attends les ordres. »

 

bf nb Enseignement particulier 01

La maîtresse décroche la laisse du collier de chien qui enserre toujours le cou de Lucy, la suspend à une patère près de la porte d’entrée et sort de la chambre en lui jetant un dernier regard narquois. La porte se ferme, laissant Lucy à sa solitude dénudée. Elle se précipite vers le placard espérant y découvrir un vêtement à enfiler. Si quelqu’un doit venir, elle ne veut pas se trouver à nouveau nue devant une inconnue, à moins que ce ne soit un homme… son sexe ruisselle encore de désir, une de ses mains glisse entre ses cuisses et elle sent avec effarement son miel qui coule le long de la peau fine de son entrejambe… Déception, dans le placard l’attend simplement un long et fin peignoir de soie blanche, transparente, une délicate broderie dans le dos représente un dragon vert aux yeux rouges. Elle l’enfile en soupirant, ne prend pas la peine de nouer le ruban qui sert de ceinture puis fait un petit tour d’inspection des lieux. La salle de bain est claire, lumineuse grâce à la grande fenêtre qui laisse la vue sur le parc, elle revient dans la chambre, va vers la commode, renonce à ouvrir les tiroirs sachant d’avance sa déception… Ils risquent d’être vides. Elle ouvre le grand lit et se jette dessus. La sensation est agréable, le coton des draps est frais, elle frissonne un peu et ses tétons se dressent, le frisson qu’elle ressent glisse le long de sa colonne vertébrale, la chair de poule se dessine sur tout son corps, ses cuisses frottées l’une contre l’autre glissent sur le liquide qui coule toujours de sa chatte, la sensation provoque un léger sourire chez Lucy qui oublie un moment ses angoisses et se laisse aller à une caresse délicate de son clitoris gonflé. Elle revoit en images ce qu’elle vient de découvrir dans cette demeure, pense au goût de cette chatte qu’elle vient de lécher,  une première fois vécue comme ça restera ancrée dans sa mémoire… Ses doigts glissent maintenant entre ses lèvres ouvertes, jouent avec le cordon des boules de geisha qui dépasse de sa fente, tire doucement dessus pour les faire bouger au fond de son vagin.

bf nb Enseignement particulier 02

 

Son excitation remonte puissamment. Elle a maintenant les jambes largement ouvertes, ne résiste plus au désir de jouissance qui lui brûle le bas-ventre, elle exerce des pressions différentes sur son clitoris, joue avec ce bouton de plaisir, pénètre sa fente avide, s’entend gémir, accélère ses mouvements. Sa main libre joue avec ses seins, en pince les bouts avec douceur, puis de plus en plus fort. Elle repense aux coups de cravache qu'elle a reçu un instant auparavant sur ses fesses et sur sa chatte. Ses lèvres sont encore douloureuses du contact avec le cuir. Elle revoit la chatte de la maîtresse ouverte et baignée de liquide de désir, elle passe sous son nez les doigts qui ont caressé et pénétré cette fente offerte, l'odeur est douce, suave, elle les lèche. Ils ont peu de goût. Frustrée, elle porte à sa bouche les doigts de son autre main, ceux qui sont couverts de son jus à elle, l'odeur de ce liquide est plus forte, le goût en est plus épicé. Elle gille à nouveau ses doigts en elle, plus profondément, ils entrent en contact avec es boules de geisha, jouent avec elles, les poussent vers le fond du sexe puis tirent sur le petit cordon pour que l'une d'entre elles se coince contre la vulve gonflée, contre cette zone qui semble plus sensible, plus délicieuse à agacer. Elle se boit encore, sent encore son odeur, tente de retrouver dans sa mémoire l'odeur de sa maîtresse... Déjà esclave et heureuse de l'être...

 

bf nb Enseignement particulier 03

Ses doigts glissent maintenant au-delà de sa chatte, vers son cul, surprise de cette envie, surtout surprise par la sensation que déclenche ce geste... Ses doigts timides remontent dans la chatte puis redescendent, l'un d'eux force un peu l'entrée étroite, glisse à l'intérieur du cul.

Elle a les yeux fermés, ne veux plus voir ce décor qui lui rappelle sa nouvelle condition d’esclave. Elle a maintenant un doigt fermement inséré dans son trou sombre et son autre main ne lâche plus sa chatte, le clitoris est malmené ou caressé, la fente est pénétrée, ses seins sont durcis, sa chatte ouverte laisse couler son liquide qui inonde ses doigts, son cul et mouille la raie de ses fesses. La pulpe de ses doigts qui danse sur son clitoris brûlant fait monter son plaisir, elle pousse un long gémissement lorsque l’orgasme éclate, ses sens s’évanouissent, elle se cambre, elle sent les spasmes de sa vulve qui explose de plaisir. C’est infiniment bon… infiniment fort…

 

Lorsqu’elle ouvre à nouveau les yeux,  un cri s’étrangle dans sa gorge… Une femme est là, debout devant elle et la regarde en souriant. De taille moyenne, des cheveux bruns coupés très courts, une allure souple et athlétique, des yeux noirs moqueurs… Elle porte une jupe en jean près du corps et un marcel blanc qui laisse deviner des seins libres et fermes.

 

« Tu as fini ? Moi, c’est Leslie… tu te tais et tu me suis »

Leslie prend la laisse suspendue et l’agrafe au collier de Lucy. « Je vais te préparer »

Les deux femmes quittent la pièce sans échanger d’autres paroles.

Traînée à nouveau au travers des corridors, Lucy tente de fermer maladroitement le peignoir léger et se demande à quelle sauce elle va être mangée… Son sexe ruisselle entre ses cuisses… Son orgasme n’a fait qu’aggraver les choses, elle dégouline, elle a été surprise, observée… Elle se sent humiliée, rouge de honte… mais terriblement curieuse de la suite des évènements…

Par belle femme
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Retour à l'accueil

Commentaires

Il est question de marcel ici aussi ? Allons donc tout cela est de bon augure
commentaire n° :1 posté par : etienne le: 08/05/2010 à 12h46
pourquoi se priver du bonheur de porter un marcel ?
commentaire n° :2 posté par : bfemme le: 09/05/2010 à 16h37

Journal d'une belle femme

  • Le journal d'une belle femme.
  • : Le journal d'une belle femme.
  • : Vous ouvrez le journal profondément intime de Bfemme. Bfemme est un pseudo imaginé par mon amant. Bien sur tout cela n'est que le fruit de mon imaginaire, de mes phantasmes et de mes souvenirs. Les photos qui on été choisies pour illustrer ces textes ont été trouvées sur le web et dans mon disque dur. N'hésitez pas à exprimer vos émotions, je ruissellerai à vous lire.... Bfemme
  • Partager ce blog
  • Retour à la page d'accueil
  • Contact

Pages de mon album.

Vos commentaires

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus